fait: apprendre et retenir les paroles que Paul consigna par écrit en Philippiens 4:8 au sujet de nos pensées pour méditer régulièrement sur elles. Seriez-​vous capable de citer ce texte par cœur?

Le secret qui consiste à compter sur Dieu et à le servir joyeusement, dans l’abondance comme dans la pauvreté, est la clé d’une vie satisfaisante. Pensez un peu à la joie que Paul éprouvait en considérant le fruit que son dur travail avait porté dans la congrégation de Philippes. Il avait vu ce groupe de chrétiens croître en amour pour la vérité chrétienne et en zèle pour la propagation de la bonne nouvelle. Il notait également l’amour qu’ils témoignaient à leurs frères par leurs actes. Il pouvait retirer une profonde satisfaction en constatant qu’eux aussi avaient percé ce secret, qu’ils se reposaient entièrement sur Jéhovah dans toutes leurs activités et le servaient avec tout ce qu’ils possédaient.

Aujourd’hui, chaque chrétien ferait bien de se demander s’il a vraiment compris le secret capital que Paul énonça en Philippiens 4:12, 13. Si nous le connaissons, cela se reflétera, entre autres choses, en ce que nous jouirons de la bénédiction de Jéhovah et serons “remplis du fruit de justice”. (Philippiens 1:9-11; 4:17.) En outre, si nous avons percé ce secret capital et si nous vivons en harmonie avec lui, ceux qui nous entourent se sentiront incités à suivre notre exemple. Nous deviendrons des modèles pour les autres, à l’instar de Paul, qui pouvait se permettre d’exhorter les Philippiens en ces termes: “Devenez tous ensemble mes imitateurs, frères, et fixez vos regards sur ceux qui marchent selon l’exemple que vous avez en nous.” (Philippiens 3:17; voyez les Ph 3 versets 13 et 14). Pour nous-​mêmes et pour nos semblables, il s’agit d’un secret de la plus grande valeur, qui nous aidera à acquérir la vie éternelle.

Vous en souvenez-​vous?

Avez-​vous apprécié la lecture des derniers numéros de La Tour de Garde? Si c’est le cas, voyez si vous vous souvenez des quelques idées énoncées ci-après:

◻ La maladie est-​elle la conséquence d’un péché particulier?

Non, pas forcément. La maladie est l’une des preuves qui montrent que nous avons tous hérité d’Adam le péché et l’imperfection (Romains 5:12). En revanche, le péché volontaire peut amener quelqu’un à pécher contre l’esprit saint de Dieu, ce qui serait bien pire que la maladie physique (Matthieu 12:31, 32). — 15/11, pp. 30, 31.

◻ Pourquoi les chrétiens doivent-​ils se soucier du temps?

Dieu s’est toujours fixé un temps pour exprimer sa volonté et ses jugements. En consultant la Bible, nous pouvons nous renseigner sur la venue des événements qui touchent les humains, par exemple sur la présence invisible du Christ. — 1/1, pp. 4-7.

◻ Quelle preuve marquante montre actuellement que le Royaume de Dieu est une réalité?

L’existence de millions de Témoins de Jéhovah qui, dans le monde entier, se soumettent au Royaume de Dieu, démontre à l’évidence la réalité de la domination divine. Ces chrétiens ne voient plus les choses en fonction de leur race ou de leur nation, mais ils collaborent dans l’unité comme des frères et des sœurs (Jean 13:34, 35). — 15/1, pp. 6, 7.

◻ Quel est le “lieu saint” envahi par la “chose immonde” qui cause la désolation?

Le “lieu saint” est la “Jérusalem céleste”, représentée sur terre par les fidèles chrétiens oints de l’esprit saint. En substituant l’Organisation des Nations unies au Royaume de Dieu, les chefs religieux ont placé cet expédient humain dans le “lieu saint”. C’est là une “chose immonde” aux yeux de Dieu. Par ailleurs, la chrétienté prétend posséder un “lieu saint” qui représente son champ d’action religieux. Aujourd’hui, les Nations unies constituent une menace pour le “lieu saint” de la chrétienté en raison des mesures prises par de nombreuses nations athées. D’après la parole prophétique de Dieu, cet affrontement aboutira à la désolation de la chrétienté (Révélation 17:16). — 15/2, pp. 5, 6.

◻ Quel est le “saint secret” dont Paul parle dans sa lettre aux Éphésiens?

Il s’agit du dessein de Dieu, qui consiste à rétablir la paix et l’unité universelles grâce à son “administration”. (Éphésiens 1:9, 10.) — 1/3, p. 9.