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  • Je suis reconnaissant à Jéhovah de sa protection
    La Tour de Garde 1971 | 15 mars
    • celle que la Bible indiquait en ce qui concerne la chair humaine et l’usage qu’on doit en faire ; je lui ai cité les textes bibliques qui justifiaient notre conduite. Il m’a demandé si je pourrais conserver une bonne conscience après avoir refusé de donner mon rein à son jeune patient. Je lui ai répondu qu’il ne m’appartenait pas de donner cet organe, qui devait être utilisé conformément à la volonté de Celui qui l’avait créé. Il fut contraint de reconnaître que, même avec mon rein, il n’était pas sûr de guérir son malade. Je lui ai fait remarquer que ma vie future et celle de son malade par une résurrection dépendaient de notre obéissance aux principes divins consignés dans les Écritures.

      Je m’appuie sur Jéhovah

      Ensuite, l’anesthésiste est venu me voir. Dans cet hôpital, si je ne me trompe pas, l’anesthésiste a une très grande autorité. Il peut ordonner une transfusion sanguine sans se préoccuper de ce qui a été convenu entre le malade et le chirurgien. Il m’a présenté un papier à signer, contenant un paragraphe dans lequel il déclarait que mes convictions religieuses lui faisaient perdre une partie de ses moyens et que, de ce fait, à son avis, je courrais un risque grave. Il demandait à être déchargé de toute responsabilité au cas où je mourrais. Il était tard, et mes parents n’étaient pas là pour me conseiller. Silencieusement, j’ai prié Jéhovah de veiller sur moi au cours de cette épreuve. J’ai signé cette déclaration.

      Cet homme était irrité de se voir placé après Dieu, et il a permis à ses sentiments de gêner la bonne exécution du travail courant. Tandis que j’attendais à l’extérieur de la salle d’opération, je l’entendais qui essayait de persuader ses collègues de tenir tête au chirurgien. De nouveau, j’ai imploré l’aide de Jéhovah. C’est alors que le chirurgien est entré Qu’allait-​il faire ? Il a refusé catégoriquement de passer outre à l’engagement qu’il avait pris envers moi, déclarant qu’il n’appartenait à aucun homme de me critiquer ou de critiquer toute autre personne quand il s’agissait de convictions religieuses légitimes.

      À contrecœur, l’anesthésiste a consenti à faire son travail. Il a été très brusque et dur avec moi pendant qu’il me préparait. Ses gestes pour accomplir une tâche courante étaient maladroits. Ses erreurs, devenues manifestes, trahissaient sa colère, qui ne cessait de croître. Finalement, après qu’il eut commis plusieurs fautes graves, le professeur d’anesthésie, chargé de surveiller l’opération, est intervenu et a fait lui-​même le travail.

      Le succès de l’opération a été dramatique. Dans les deux minutes qui ont suivi l’ablation du rein, la tension a commencé à baisser puis, ayant atteint le degré normal, s’est stabilisée. J’ai quitté l’hôpital, mais une nouvelle augmentation dangereuse de la tension m’a obligé à y retourner. Sept jours plus tard, je commençais à aller mieux. De toute évidence, il s’était produit dans mon corps une réaction postopératoire due au fait que mon organisme, autrefois chargé d’une grande quantité de rénine, devait maintenant s’habituer à une sécrétion moindre. À présent, tout est fini ; je ne me suis jamais senti aussi bien.

      Depuis ma guérison, il m’a fallu réapprendre beaucoup de choses. Il semble que c’est surtout ma mémoire qui a beaucoup souffert au cours des trois dernières années. Mais quel privilège de retrouver des fonctions normales ! Et comme je suis heureux que Jéhovah m’ait protégé pendant cette épreuve si difficile ! J’espère qu’il me sera possible d’arranger mes affaires pour devenir prédicateur à plein temps du Royaume promis par Dieu, Royaume qui apportera la santé et la paix à ceux qui mettent leur confiance en Jéhovah.

      À tes côtés, cher compagnon, pour louer Jéhovah,

      D. B.

  • Rien ne s’oppose à la création spéciale
    La Tour de Garde 1971 | 15 mars
    • Rien ne s’oppose à la création spéciale

      Fait significatif, on peut lire dans l’Encyclopédie britannique, ferme défenseur de la théorie de l’évolution, la remarque suivante : “Cependant, dans l’étude des seules formes de vie, rien n’exclut la possibilité que (comme l’indique une stricte interprétation du livre de la Genèse) nous fassions partie d’une création directe, spéciale, et que les modifications, susceptibles de se produire dans les animaux ainsi créés, aient été seulement d’ordre secondaire, ne méritant pas qu’on en parle comme d’un important processus de l’évolution.” — Édition de 1965, tome XVII, page 108.

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1971 | 15 mars
    • Questions de lecteurs

      ● Dieu choisit-​il encore des personnes pour être avec son Fils dans le Royaume céleste ? Ou bien ceux qui se vouent aujourd’hui à Jéhovah ont-​ils tous l’espérance de vivre sur la terre ?

      Le choix des héritiers du Royaume devant être associés à Jésus-Christ commença le jour de la Pentecôte de l’an 33 de notre ère, avec l’effusion de l’esprit de Dieu sur environ 120 disciples de Jésus (Actes 2:1-21). Quelque soixante ans plus tard, Jésus-Christ révéla à l’apôtre Jean que le nombre total des héritiers du Royaume serait de 144 000. — Rév. 7:1-8 ; 14:1-3.

      Depuis la Pentecôte de l’an 33, Jéhovah Dieu a choisi ceux qui devaient être cohéritiers de son Fils. Il est impossible de dire combien, au cours des siècles, ont été ajoutés aux premiers milliers mentionnés dans le livre des Actes (2:41 ; 4:4). Même à notre époque, jusque vers 1935, l’appel a continué pour rassembler les autres membres de la classe des 144 000, c’est-à-dire le “reste”. Depuis lors, l’accent a surtout été mis sur le rassemblement de la “grande foule” des “autres brebis”, qui ont une espérance terrestre. L’“épouse” a étendu à ces personnes l’invitation à boire de l’eau de la vie (Rév. 22:17). Leur nombre s’est considérablement accru tandis que celui des chrétiens affirmant avoir reçu l’appel céleste (Héb. 3:1) a diminué. Pratiquement toutes ces personnes espèrent recevoir les bénédictions inhérentes à la vie éternelle sur la terre redevenue un paradis. Leur nombre est plusieurs fois supérieur à 144 000. — Luc 23:43 ; Jean 10:16 ; Rév. 7:9-15.

      Cela signifie-​t-​il que depuis 1935 les chrétiens déjà ressuscités dans les cieux et le reste des disciples oints de l’esprit encore sur la terre constituent le nombre complet des 144 000 ? Oui, c’est là la conclusion indiquée par les faits. L’appel général pour être de ces chrétiens oints a cessé. Toutefois, il est possible qu’avant la “grande tribulation” certains d’entre eux, encore sur la terre, se montrent infidèles (Mat. 24:21, 22). Dieu désire disposer, après l’achèvement de son action concernant les disciples oints, d’un nombre complet de 144 000 fidèles qui occuperont une place permanente dans le Royaume. Par conséquent, si l’un d’eux, encore sur la terre, se montrait infidèle, il devrait être remplacé (I Cor. 9:27 ; Rév. 3:11). Par qui ? Ce pourrait être par une personne récemment baptisée ou par un membre de la “grande foule” ayant démontré jusque-​là son intégrité dans l’épreuve. Nous ne pouvons pas limiter le choix de Jéhovah et de Jésus-Christ. Toutefois, les exemples et les principes bibliques indiquent sans aucun doute une préférence pour une personne éprouvée plutôt que pour un néophyte, surtout si l’on considère le peu de temps qui reste (Voir Luc 22:28, 29 ; I Tim. 3:6). Jéhovah dispose certainement d’une grande réserve d’“autres brebis” fidèles parmi lesquelles il pourrait choisir s’il en décidait ainsi.

      Le “sceau” dont il est question dans Révélation 7:1-3 a un rapport étroit avec le choix éventuel de remplaçants. L’apôtre Paul nous explique en quoi il consiste ; dans Éphésiens 1:13, 14, il écrit : ‘Par le moyen de Christ également, après avoir cru, vous avez été scellés de l’esprit saint promis, qui est un gage par avance de notre héritage.’ Ce “gage” leur donne l’assurance qu’ils ont été choisis. C’est une garantie pour l’appel céleste et il les désigne comme ayant été engendrés de l’esprit de Dieu avec l’espérance de recevoir pour récompense finale, s’ils se montrent fidèles, la vie dans les cieux. — II Cor. 5:5.

      Depuis la Pentecôte de l’an 33 de notre ère, ceux donc qui ont reçu l’appel céleste, y compris les chrétiens de notre époque moderne, ont reçu le sceau de l’esprit saint. Un chrétien qui serait choisi pour en remplacer un autre recevrait lui aussi ce sceau. Qu’est-​ce que cette action consistant à marquer du sceau les 144 000 et qui est achevée pendant que les “quatre vents” des cieux sont retenus ? La vision de la Révélation montre que finalement tous les 144 000 gardent ce sceau de façon permanente. Ils conservent ce sceau qu’ils ont reçu au moment de leur appel par Dieu et ne le perdent pas par infidélité. Au milieu des épreuves, le sceau demeure sur leur “front”, montrant ainsi que Dieu les approuve aux yeux de tous comme ses esclaves fidèles et éprouvés. Étant “appelés et élus et fidèles”, leurs places leur seront assurées (Rév. 17:14). Comme l’indique le livre “Alors sera consommé le mystère de Dieu” (angl.), page 83, l’action consistant à marquer du sceau se réfère au “nombre complet des chrétiens oints, voués et baptisés, ‘les esclaves de notre Dieu’

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