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  • Qu’auriez-vous fait ?
    Réveillez-vous ! 1976 | 22 septembre
    • que Paul n’agissait pas de façon tortueuse avec les autres. Une personne tortueuse se détourne de la voie de la droiture. Elle ne peut recevoir la faveur de Dieu, car les Écritures déclarent : “L’individu tortueux est une chose détestable pour Jéhovah, mais Son intimité est avec les hommes droits.” — Prov. 3:32.

      Par conséquent, quiconque désire nouer des relations étroites avec Jéhovah, le Dieu Très-Haut, s’efforcera de se conduire honnêtement en toutes circonstances. Nous savons que Paul agissait ainsi, car il écrivit : “Continuez à prier pour nous, car nous avons la conviction d’avoir une conscience honnête, désireux que nous sommes de nous conduire honnêtement en toutes choses.” — Héb. 13:18.

  • Ceux qui adorent Dieu devraient-ils être végétariens ?
    Réveillez-vous ! 1976 | 22 septembre
    • Ceux qui adorent Dieu devraient-​ils être végétariens ?

      “LE VÉGÉTARISME : UN MODE DE VIE EN EXPANSION, SURTOUT PARMI LES JEUNES.” Ce titre apparaissait sur toute la largeur d’une page du New York Times du 21 mars 1975. L’article expliquait qu’actuellement les végétariens “ont de puissants partisans, notamment

  • Le monde des homosexuels
    Réveillez-vous ! 1976 | 22 septembre
    • Le monde des homosexuels

      HOMOSEXUALITÉ — à quoi ce mot vous fait-​il penser ? Beaucoup de personnes n’ont qu’une connaissance limitée du sujet. Alors que, comme jamais auparavant, les homosexuels réclament considération et compréhension, peu de gens cherchent à savoir pourquoi les homosexuels sont ce qu’ils sont.

      Fondamentalement nous savons tous ce qu’est un homosexuel, mais c’est à peu près tout. La première partie du terme vient du mot grec homos qui signifie “semblable, le même”. Un homosexuel est donc une personne qui préfère avoir des relations sexuelles avec quelqu’un du même sexe. Les homosexuels masculins préfèrent d’autres hommes. Les femmes homosexuelles ou lesbiennes aiment mieux avoir des rapports sexuels avec d’autres femmes plutôt qu’avec des hommes. Mais le sujet est loin d’être épuisé par ces définitions.

      Le monde des homosexuels doit être considéré vraiment comme un monde, une culture ou un mode de vie unique en son genre. Ce n’est pas seulement une question de préférence sexuelle. Celui qui est étranger à ce monde ne peut le comprendre que partiellement. Cependant, ces dernières années, on a fait de plus en plus la lumière sur le sujet. Surtout au cours des cinq dernières années, les homosexuels eux-​mêmes ont révélé quel était leur mode de vie.

      Qui sont les homosexuels ?

      Tout d’abord, il est bien de faire certaines distinctions. Tous les homosexuels ne doivent pas être confondus avec les travestis. Ces derniers sont des personnes qui aimeraient être du sexe opposé et qui s’habillent et se comportent comme si elles l’étaient réellement. Certains vont même jusqu’à changer de sexe, c’est-à-dire qu’ils subissent une opération pour être physiquement transformés. Les hommes reçoivent des hormones qui développent la poitrine et rendent la peau plus douce. Leurs organes sexuels sont enlevés et on leur façonne un vagin artificiel, parfois avec les tissus sensibles du pénis ou du scrotum. Ils sont, bien sûr, incapables d’avoir des enfants, mais ils peuvent, dans une certaine mesure, éprouver l’orgasme dans les relations sexuelles.

      Les femmes qui veulent changer de sexe prennent des testostérones, de sorte que les poils croissent plus abondamment sur leur visage et leur poitrine. Chez certaines lesbiennes on a provoqué l’agrandissement du clitoris ou bien on leur fournit un pénis artificiel, ce qui leur permet d’avoir des rapports avec une autre femme.

      Cependant, la plupart des homosexuels ne sont pas ainsi et ne veulent pas être assimilés à ce qu’ils appellent la lie de leur monde. La majorité des homosexuels masculins vous diront qu’ils sont contents d’être un homme et qu’ils ne désirent nullement être une femme. Sexuellement, toutefois, ils préfèrent la compagnie d’autres hommes.

      Parfois les homosexuels ont une préférence pour des professions particulières : par exemple, ils aiment être coiffeurs, ensembliers, dessinateurs de mode et acteurs. Pendant la saison 1967-​68, aux théâtres de Broadway, à New York, au moins 31 pour cent des 58 représentations ont été produites, dit-​on, par des homosexuels, et 38 pour cent d’entre elles avaient pour réalisateur un homosexuel.

      Mais les homosexuels ne sont nullement limités à ces professions. Un écrivain homosexuel a admis : “La plupart des homosexuels que j’ai connus ont fait carrière dans les affaires, dans les banques, dans les professions libérales, dans l’Église, dans la police, et plusieurs dans le sport professionnel.” Certains homosexuels préfèrent même des métiers spécialement masculins, peut-être pour qu’on ne les identifie pas facilement.

      Combien sont-​ils ?

      À cause de la discrétion de beaucoup d’entre eux, il est impossible d’avancer un chiffre exact. On considère New York comme l’endroit des États-Unis où il y en a le plus ; on a estimé que dans cette ville leur nombre varie entre 50 000 et plusieurs centaines de mille. Quand on interrogea la police de New York à ce sujet, elle répondit qu’elle “ne voulait même pas émettre une hypothèse”. On a prétendu qu’une ville du Texas de plus de 800 000 habitants compte 50 000 homosexuels, quoique 600 seulement soient “connus”.

      Pourquoi tant d’homosexuels sont-​ils si discrets ?

      Il y a à cela plusieurs raisons. Ils craignent de perdre leur emploi ou leur famille, ou bien ils redoutent des répercussions sociales. Aussi ne se font-​ils pas connaître ouvertement. Nombre d’entre eux parviennent même à cacher leur inversion à leur conjoint. Ceux-là, appelés “bisexuels”, acceptent d’avoir des rapports avec des personnes de l’autre sexe.

      Il y a plus de vingt-cinq ans, le docteur Kinsey découvrit que 25 pour cent des Américains interrogés avaient eu “plus d’une expérience homosexuelle”. Aujourd’hui, le docteur Wardell Pomeroy, l’un des chercheurs de l’équipe Kinsey, prétend que le pourcentage des homosexuels n’a pas réellement augmenté mais que beaucoup d’entre eux ne se cachent plus. Il est de fait que depuis environ cinq ans ils agissent plus ouvertement. Mais, justement à cause de cette plus grande liberté, il y a tout lieu de croire que le nombre des homosexuels a augmenté. Qu’est-​ce qui a contribué à cette “liberté”, et sûrement aussi à l’accroissement de l’homosexualité ?

      Un des principaux facteurs semble être le soutien populaire que cette pratique est en train de recevoir. Aux États-Unis et dans d’autres pays, depuis les années 60 on s’est efforcé d’accorder davantage de droits civils aux diverses minorités, et pas seulement aux minorités ethniques, mais aussi aux homosexuels.

      La presse écrite et radiotélévisée a donné de la publicité à leurs protestations et parfois a présenté leurs plaintes sous un jour favorable. On a rendu publics les traitements particuliers auxquels ils étaient soumis dans les domaines du logement et de l’emploi. Certains ont fait remarquer combien l’attitude qu’on adopte à leur égard était illogique en comparaison de la tolérance dont bénéficient les toxicomanes et les prostituées.

      En même temps, des hommes tels que des médecins, des écrivains et des avocats ont déclaré ouvertement être homosexuels. Cela a donné une certaine créance à leur mouvement.

      En outre, dans le cadre de la “révolution sexuelle”, on s’est livré à beaucoup d’expériences. De jeunes hommes et de jeunes femmes ont fait n’importe quoi dans leur recherche du plaisir. Il ne serait pas surprenant que bon nombre d’entre eux aient essayé l’homosexualité. Pour beaucoup de gens, cela a commencé par la masturbation, d’abord seul, puis avec quelqu’un du même sexe, peut-être dans un dortoir d’école ou dans une salle de douches de gymnase. Et, peu à peu, ils ont été pris dans l’engrenage.

      Finalement, ils se trouvent plongés, non pas seulement dans un certain mode de vie sexuel, mais dans toute une culture homosexuelle. Insensiblement, les amis qu’ils se font sont homosexuels. Leur façon de s’habiller en est influencée ; ils écoutent une musique différente. Bientôt, les voilà membres à part entière du monde des homosexuels.

      Un monde qui s’agrandit

      Ce monde s’est tellement élargi qu’à présent, quand un homosexuel se rend dans une ville d’une certaine importance, il peut généralement trouver des personnes qui ont le même mode de vie que lui. Par exemple, dans beaucoup de grandes agglomérations, il y a quantité de bars, de restaurants et de clubs exclusivement homosexuels. Aux États-Unis, il existe même des agences de voyage, des agences “matrimoniales” et de lieux de villégiature pour homosexuels. Ces derniers peuvent lire des journaux qui leur sont spécialement destinés et qui, parfois, ont un tirage de plusieurs dizaines de milliers d’exemplaires. Ils peuvent lire des livres écrits par eux et pour eux et également consulter un dictionnaire spécial (The Queen’s Vernacular), pour trouver la signification de termes particuliers à leur mode de vie.

      Il existe aussi des expositions d’art et des défilés de mode pour homosexuels. Les homosexuels qui travaillent dans les affaires savent que leur monde n’est pas pauvre. Il n’y a pas longtemps, After Dark, revue américaine destinée à un public d’homosexuels, écrivit que ses abonnés avaient un revenu moyen de 18 000 dollars (environ 85 000 francs français). Soixante-trois pour cent sont des diplômés d’université et plus de 70 pour cent possèdent des titres et des actions. Quelque 40 pour cent ont voyagé en Europe au cours des cinq dernières années. Disons en passant que le tirage de cette revue est passé récemment de 49 500 à 71 300 exemplaires, rien qu’en un an.

      De plus, un homosexuel, qu’il se soit ou non déclaré ouvertement comme tel, entrera vraisemblablement en contact avec d’autres homosexuels au cours de ses activités quotidiennes. L’avocat, le médecin ou le dentiste qu’il consultera seront peut-être des homosexuels. Et même, mais oui ! les homosexuels ont leur propre Église. La Metropolitan Community Church, dirigée par Troy Perry, prétend que l’assistance à ses offices est l’une des meilleures de Los Angeles ; elle a maintenant une cinquantaine de filiales dans d’autres villes des États-Unis, du Canada et de Grande-Bretagne.

      Comme on l’a vu, être homosexuel implique plus qu’une orientation sexuelle particulière. C’est tout un mode de vie. Les différents aspects en sont conditionnés de façon à faire croire aux homosexuels que c’est un bon mode de vie.

      Mais est-​il réellement bon ? Les homosexuels eux-​mêmes le croient-​ils ? Celui qui vient tout juste d’être introduit dans leur monde le pense peut-être. Il serait bien, toutefois, de se poser les questions suivantes : L’homosexualité rend-​elle la vie plus satisfaisante ? Offre-​t-​elle les promesses d’un avenir sûr ? Ce sont là des questions importantes. En toute impartialité, les homosexuels eux-​mêmes devraient pouvoir y répondre.

      Que disent-​ils ? Que révèle leur expérience ?

  • Ont-ils trouvé le bonheur ?
    Réveillez-vous ! 1976 | 22 septembre
    • Ont-​ils trouvé le bonheur ?

      IL FAUT prendre la vie comme elle est, non comme on souhaite qu’elle soit. Beaucoup d’homosexuels voudraient sans doute qu’on les accepte tels qu’ils sont simplement comme des êtres humains peu importe le choix de leur compagnon de lit. Mais le fait est que les gens en général n’acceptent pas complètement quelqu’un de notoirement homosexuel.

      Les homosexuels estiment peut-être que c’est là une attitude injuste et discriminatoire. Mais ils ne peuvent rien y changer, car la plupart des gens ne sont pas attirés par leur mode de vie. C’est un point qu’eux-​mêmes et tous ceux qui sont près d’entrer dans leur monde doivent garder présent à l’esprit. L’opinion de la majorité leur créera de réels problèmes.

      L’emploi et la vie sociale

      Supposons qu’un homosexuel désire entrer dans l’enseignement. Que s’est-​il déjà passé en pareille circonstance ? Des parents et des directeurs d’école se sont inquiétés de l’influence qu’un tel enseignant pouvait avoir sur de jeunes garçons. Cela indigne peut-être l’homosexuel, mais s’il a choisi cette voie, il doit admettre que des parents ne voudront pas que leurs enfants s’y engagent.

      Une autre situation peut également se présenter. Dans la plupart des sociétés on s’attend qu’un jeune homme courtise une fille, puis se fiance. Que fait alors celui qui est homosexuel en secret ? Souvent, il feint malhonnêtement de s’intéresser à une jeune fille.

      À ce propos, un homosexuel de Dallas, au Texas, a dit : “Il y a quantité de jeunes hommes très recherchés dans cette ville et qui sortent avec les plus jolies filles qu’ils peuvent trouver. Beaucoup de jeunes filles voudraient les épouser, mais eux veulent simplement être vus avec elles. Pour éviter qu’une situation embarrassante ne se produise, ils doivent sans cesse changer de filles.” Il n’est pas possible d’agir ainsi indéfiniment. Que se passe-​t-​il alors ? Cet homosexuel répond :

      “La pression est très forte. J’ai fait cela pendant longtemps et, finalement, j’ai dû abandonner. Je n’agissais pas bien, ni envers moi-​même ni envers les jeunes filles. Mais survivre est le principal, et nous nous efforçons de le faire, à notre façon.”

      Franchement, est-​ce là ce que vous désirez dans la vie ? Vivre de la sorte, c’est vivre un mensonge, c’est se chercher une “couverture” vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Beaucoup finissent par céder et n’essaient plus de se cacher derrière une façade de respectabilité.

      Problèmes familiaux et personnels

      Ce qui aggrave les problèmes, c’est le fait que certains ne se démasquent que lorsqu’ils sont mariés et ont une famille. Ils brisent alors le cœur de leur conjoint et les enfants doivent être mis au courant. Certains conseillers reconnaissent qu’il leur est pénible d’avoir affaire à des enfants qui ont appris qu’un de leurs parents est homosexuel.

      Mais que dire des “mariages” homosexuels ? Peuvent-​ils remplacer les relations hétérosexuelles ? Non, disent les homosexuels eux-​mêmes. Ces “mariages” sont incertains et instables ; très peu durent longtemps et même ceux qui tiennent sont parfois marqués par des “infidélités”. En doutez-​vous ? Lisez donc ce qu’en dit William Carroll, qui est homosexuel :

      “Alors que les couples homosexuels que j’ai connus luttaient généralement pour maintenir des relations durables et bonnes, très souvent ces ‘mariages’ prennent un caractère orageux, chacun des deux partenaires cherchant à dominer l’autre. À cause des conflits émotifs et de diverses pressions sociales, la plupart de ces liaisons ne durent pas longtemps — six mois à deux ans est probablement la moyenne.”

      Pourquoi “la plupart de ces liaisons” sont-​elles de courte durée et prennent-​elles “un caractère orageux” ? Voyez comment les homosexuels font connaissance, ainsi que l’explique Carroll :

      “Par un agréable après-midi, vous flânez dans la rue. Vous apercevez parmi les gens un jeune homme ; il vient vers vous et semble vous regarder fixement. Pendant qu’il s’approche, ses yeux parcourent votre corps, puis se rivent sur les vôtres. Ce regard expressif, qui essaie de vous communiquer quelque chose, s’attache à vous tandis que vous vous croisez. Eh bien, Monsieur, vous avez été repéré. Celui qui a été ainsi repéré, et qui est lui-​même intéressé, s’arrêtera, comme par hasard, peut-être pour examiner une vitrine, puis, lentement, il regardera en arrière. Le jeune homme au regard expressif s’arrêtera et regardera lui aussi en arrière.”

      Certains homosexuels vous diront que cette pratique est indigne d’eux. Mais ce n’est pas l’avis de Carroll. Il dit :

      “Je ne pense pas qu’il soit exagéré de dire que cette façon d’agir, que ce soit dans la rue, au bureau, dans les magasins, au théâtre, en soirée et, évidemment, dans les bars homosexuels, est assez courante (...). L’impulsion et la licence qu’implique cette pratique sont partie intégrante du monde homosexuel.”

      Les homosexuels reconnaissent que l’une des conséquences de ‘cette impulsion et de cette licence’ est que, souvent, ils ne savent absolument pas avec qui ils vont partager leur lit. Parfois, ils ne connaissent même pas le nom de l’autre.

      Est-​ce de cette façon qu’on noue des liens solides et durables ? Est-​ce de cette façon qu’on apprend à connaître quelqu’un et à avoir confiance en lui ? Il n’est pas étonnant que ces relations prennent “un caractère orageux”.

      Les maladies vénériennes sont un autre effet de ‘cette impulsion et de cette licence’ : Ces maladies sont en augmentation parmi les homosexuels et elles les affectent d’une manière particulière. La blennorragie et la syphilis du larynx, de la bouche et de l’anus sont de plus en plus courantes chez les homosexuels, disent les médecins. Cela n’a rien de très attirant pour quelqu’un qui se respecte.

      Quel avenir est réservé aux homosexuels ?

      Quel avenir peut espérer un homosexuel ? La plupart des gens, quand ils vieillissent, souhaitent connaître un certain degré de sécurité. Les homosexuels peuvent-​ils espérer une telle sécurité ? Non, d’après la plupart d’entre eux. Ralph Schaffer explique pourquoi dans un article du Gay Sunshine. Il écrit :

      “Dans quatre villes, à des centaines de réunions pour la libération de l’homosexuel, j’ai calmement élevé la voix pour parler de la jeunesse du monde homosexuel (...). De tous nos [problèmes], c’est le plus pénible et le plus difficile à résoudre (...). Il est tragique parce que la moitié d’entre nous sont solitaires, à l’écart et non désirés. (...) Nous entendons beaucoup parler de l’esprit homosexuel, un esprit d’amour particulier et tendre. Où est-​il ? Comment peut-​on parler de cela quand des millions d’homosexuels de plus de 30 ans sont solitaires, isolés, rejetés, non aimés et non désirés ? (...) Naturellement les jeunes ne croient pas vraiment qu’un jour ils seront de vénérables vieillards de 33 ans ! Croyez-​moi, cela vient plus vite qu’on ne le pense. (...) Aux réunions pour la libération des homosexuels, j’en ai rencontré plus qu’au cours de toute ma vie. [Mais] je ne me suis jamais senti aussi seul.”

      Schaffer se rend compte combien la vie des homosexuels est vaine et sans espoir. Il existe rarement entre eux des relations durables, confiantes et sûres.

      Il n’est pas étonnant que de nombreux homosexuels finissent par souffrir de profonde dépression. Le Daily Citizen de Tucson (États-Unis) a demandé à un homosexuel de l’endroit d’écrire un article sur sa vie. Il commença ainsi : “Quelle ironie qu’on me demande de dire en quoi consiste l’existence d’un homosexuel, alors que je regarde ma vie qui s’achève (...) ! Je traverse une période de crise. De nouveau. Quand un homosexuel prend de l’âge, les périodes critiques viennent plus vite, sont plus aiguës, plus graves. J’ai presque 40 ans, et je suis trop vieux, trop gros (...) trop laid pour (...) attirer un amoureux. (Avoir un amoureux est le seul rempart contre ce mal qu’est la solitude et que connaît presque tout homosexuel.) ” D’autres homosexuels ont la même pensée et parlent de “l’appréhension de vieillir seul”.

      Le point de vue biblique — est-​il sévère ?

      Il est difficile pour n’importe qui aujourd’hui de trouver le bonheur et un certain degré de sécurité. Mais d’après les récits de nombreux homosexuels, pour eux, c’est encore plus incertain et décevant. Comparez leurs propres confessions avec les déclarations faites par l’apôtre Paul au sujet de l’homosexualité. Nous lisons : “C’est pourquoi Dieu les a livrés à des appétits sexuels honteux (...) et [ils reçoivent] en eux-​mêmes la rétribution intégrale qui leur était due.” (Rom. 1:26, 27). D’après ce que reconnaissent les homosexuels eux-​mêmes et d’après les résultats de leur conduite, on doit admettre l’exactitude de ces paroles bibliques. L’homosexualité conduit à la frustration et au désespoir, et ceux qui la pratiquent reçoivent donc leur “rétribution”.

      Il n’est pas étonnant que la Bible parle de l’homosexualité comme d’“appétits sexuels honteux” et qu’elle déclare que, “ceux qui pratiquent de telles choses méritent la mort”. (Rom. 1:32.) Naturellement, c’est Dieu et son Fils glorifié qui exécuteront cette sentence de mort en temps voulu. — II Thess. 1:6-10.

      “Mais n’est-​ce pas sévère de la part de Dieu ?”, demanderont peut-être certains, qui ajouteront : “Après tout, l’homosexuel n’y peut rien s’il est ainsi.” Beaucoup pensent en effet qu’ils ne peuvent changer, aussi estiment-​ils que Dieu est trop sévère. Ils prétendent qu’on “naît homosexuel” et que c’est une inclination génétique. Mais si c’est le cas, pourquoi certains individus sont-​ils homosexuels pendant une partie de leur vie seulement, peut-être la dernière ? Si l’homosexualité était héréditaire, logiquement on serait homosexuel pendant toute sa vie. La pratique de l’homosexualité a donc une autre cause.

      Une étude a laissé entendre que les hommes homosexuels ont tendance à avoir moins de testostérone, ou hormone mâle, dans le sang et aussi moins de sperme que les hommes hétérosexuels. Cependant, même si c’est vrai, la question soulevée par le New England Journal of Medicine est intéressante. Les homosexuels le sont-​ils parce qu’ils manquent de testostérone, ou manquent-​ils de testostérone parce qu’ils sont devenus homosexuels ? On ne peut pas le déterminer de façon sûre.

      Divers défenseurs de l’homosexualité estiment que cette pratique devrait être considérée comme normale parce que, disent-​ils, elle existe aussi dans le monde animal. On a observé par exemple des singes mâles montant d’autres singes mâles. Le fait que des animaux font certaines choses n’est pas une raison pour que les hommes les fassent également. Néanmoins, les témoignages indiquent-​ils réellement que les animaux sont homosexuels ? Non. L’Encyclopédie britannique (éd. de 1974) dit : “Cette grande quantité de données ne permet cependant pas de déterminer si l’un quelconque de ces animaux est homosexuel. On ne connaît aucun animal adulte, à part l’être humain, qui préfère les relations sexuelles avec son propre sexe.”

      D’autres ont dit que le fait de ne pas avoir un père ferme, capable de diriger sa famille, peut conduire à l’homosexualité. Il est certain qu’un garçon devrait avoir un exemple viril sur lequel se modeler (Éph. 6:1-4). Toutefois, quand il y a plusieurs garçons dans une famille sans père, tous devraient devenir homosexuels si c’était là la seule cause. Or, c’est rarement le cas. Beaucoup de garçons ont été élevés sans bénéficier d’une bonne direction paternelle et ils ne sont pas pour autant devenus homosexuels.

      Les experts dans ce domaine sont d’accord sur un point : la cause exacte de l’homosexualité est inconnue. Il y a sans nul doute une combinaison de facteurs, mais une chose est certaine : les homosexuels ont choisi ce mode de vie. Darrel Johnson, rédacteur à la revue Gay-Vue, montre qu’il en est bien ainsi, lorsqu’il écrit :

      “Chaque personne a la possibilité de se conformer à l’un ou à l’autre des modes de vie sexuels. Cela étant établi, chacune, à un moment donné, se décide finalement pour l’un d’eux.”

      Warren Blumenfeld, coordonnateur du Centre national des étudiants homosexuels, fait même une comparaison avec l’achat d’une automobile. Il dit : “L’un préfère une Cadillac, l’autre une voiture de sport.”

      On devient donc homosexuel parce qu’on le veut bien. Comme la Bible le dit, les homosexuels agissent “selon les désirs de leur cœur”. C’est pourquoi la condamnation de la Bible est justifiée quand elle déclare qu’ils reçoivent “en eux-​mêmes la rétribution intégrale qui leur était due en raison de leur égarement” ; ils “n’hériteront pas le royaume de Dieu”. — Rom. 1:24-27 ; I Cor. 6:9, 10.

      Il s’ensuit logiquement qu’ils peuvent changer s’ils le veulent réellement. La Bible parle en effet de gens qui, au premier siècle, pratiquaient ces choses ; puis elle ajoute : “C’est là ce qu’étaient certains d’entre vous. Mais vous avez été lavés.” — I Cor. 6.11.

      La vie réelle

      Êtes-​vous membre de la communauté homosexuelle ? Honnêtement, ce mode de vie vous a-​t-​il apporté une véritable satisfaction ? Des milliers d’homosexuels ont dû reconnaître qu’ils n’ont pas trouvé le bonheur. Au contraire, comme le dit William Carroll, beaucoup sont devenus “cyniques, désespérés et ont même été jusqu’au suicide”. Pourquoi laisser les choses aller aussi loin ? Pourquoi ne pas changer de conduite, tels ces homosexuels du premier siècle, et jouir vraiment de la vie ?

      Toute personne qui désire réellement conformer sa vie à la volonté de Dieu et trouver le bonheur véritable est invitée par les éditeurs de ce périodique à contacter les Témoins de Jéhovah. Ils désirent vous aider à apprendre comment ‘avoir la vie et l’avoir en abondance’. — Jean 10:10.

      [Illustration, page 9]

      Quelle influence une institutrice homosexuelle aura-​t-​elle sur mon enfant ?

      [Illustration, page 9]

      Un “mariage” homosexuel peut-​il durer ?

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