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  • L’humilité, une aide dans l’adversité
    La Tour de Garde 1971 | 15 octobre
    • Efforçons-​nous chaque jour de cultiver l’humilité

      Pour que l’humilité nous aide dans l’adversité, il est indispensable de la cultiver chaque jour, dans nos pensées, nos paroles et nos actions. L’humilité implique un esprit modeste ; la personne humble n’a pas de grandes visées ou ambitions, elle n’est pas portée à considérer ses semblables avec dédain. Elle pense comme Paul, qui se disait “un homme moindre que le moindre de tous les saints”, et le “moindre des apôtres”. — Éph. 3:8 ; I Cor. 15:9.

      L’humilité devrait caractériser notre conversation. Désirons-​nous parler constamment de nous, de notre façon de voir les choses, de nos actions et de nos projets ? Nous arrive-​t-​il souvent de critiquer autrui ? L’humilité nous incitera à diriger notre attention sur Jéhovah Dieu, sa Parole, son œuvre et ses merveilleuses qualités, et à parler en bien de nos compagnons de service.

      Vous surprenez-​vous souvent en train de monopoliser la conversation ? Celui qui est humble laisse aux autres l’occasion de parler. Sont-​ils lents à s’exprimer ? Avec humilité, tact et amour, encouragez-​les à sortir de leur réserve ; vous les rendrez heureux et contribuerez à votre propre édification. Il y a plus de bonheur à permettre aux autres de s’exprimer qu’il n’y en a à faire soi-​même tous les frais de la conversation. — Actes 20:35.

      L’humilité caractérise-​t-​elle toutes nos actions ? Si l’on est humble, on s’abstiendra de pousser les autres et de vouloir toujours arriver le premier quand on doit faire la queue. Elle facilite l’accomplissement de besognes serviles, telles que les travaux du ménage ou le nettoyage de la Salle du Royaume. L’humilité suppose qu’on cherche à servir les autres au lieu de s’attendre à être servi. N’oubliez pas l’exemple de Jésus. Il est venu, non pour être servi, mais pour servir. — Mat. 20:28.

      En vérité, l’humilité doit être conseillée. Elle contribue au développement de relations pacifiques avec Jéhovah, notre Créateur. Elle procure la paix de l’esprit. Elle favorise le maintien de relations amicales avec nos semblables. D’autre part, elle est extrêmement précieuse lorsque nous avons le plus besoin d’aide, dans l’adversité.

  • Je me réjouis dans l’espérance du Royaume
    La Tour de Garde 1971 | 15 octobre
    • Je me réjouis dans l’espérance du Royaume

      Raconté par Alex Kellaris

      JE N’AVAIS que huit ans le jour où, agenouillé pour faire ma prière, les mots “Que ton règne vienne” me sont entrés profondément dans l’esprit. D’un bond, je me suis relevé et, courant vers ma mère, je lui dit : “Que signifient ces mots ?” Au lieu de me répondre comme elle avait l’habitude de le faire, elle m’a conseillé d’interroger le prêtre. Comme nous fréquentions assidûment l’église orthodoxe grecque de Lutron, notre petit village de Grèce, dans la province de Corinthe, j’ai décidé de suivre ce conseil.

      Nous assistions régulièrement aux offices. En fait, mon père était l’un des directeurs spirituels de l’église du village. Comme il s’intéressait vivement à la religion, j’ai reçu une solide instruction religieuse, et j’ai même servi comme enfant de chœur. J’avais donc de bonnes raisons d’aller voir le prêtre avec le ferme espoir d’obtenir une réponse satisfaisante. Or, non seulement le prêtre refusa de me répondre, mais il me réprimanda en disant : “Tu n’as pas le droit de m’interroger. Un prêtre ne reçoit d’ordres ni de questions de personne.” Inutile de vous dire que je suis resté interdit. Quand je pense que le plus cher désir de ma mère était de me voir devenir prêtre un jour !

      À mesure que je grandissais, cette question continuait à me tourmenter et je ne cessais d’interroger les gens à ce sujet, en particulier ceux qui me paraissaient attachés à la religion. Mais personne ne me donna de réponse vraiment acceptable. Je ne comprenais pas pourquoi il me fallait répéter maintes et maintes fois des mots dont j’ignorais le véritable sens.

      En 1912, quand j’eus seize ans, mes parents m’ont autorisé à émigrer aux États-Unis pour y rejoindre mon frère, établi à Toledo. Ce fut pour moi le début d’une vie nouvelle sous bien des rapports. Un jour que

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