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  • Le rétablissement est encore possible
    La Tour de Garde 1965 | 1er décembre
    • et vous partirez ; vous me prierez, et je vous exaucerai. Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous (...). Et je vous ramènerai.” Enfin, rappelons-​nous les paroles d’encouragement prononcées par Jéhovah et l’incomparable appel qu’il lance à chacun : “J’habite dans les lieux élevés et dans la sainteté ; mais je suis avec l’homme contrit et humilié, afin de ranimer les esprits humiliés, afin de ranimer les cœurs contrits.” Notez que dans chaque cas il est question du cœur ; il ne suffit donc pas de reconnaître mentalement ses besoins, ce doit être quelque chose de plus profond. On peut donc dire avec certitude que Jéhovah, pour sa part, se tournera vers ceux qui le cherchent sincèrement et qui désirent revenir à lui. Pour de telles personnes, le rétablissement est encore possible. — Actes 17:26, 27 ; Jér. 29:12-14 ; És. 57:15.

      25 Il reste encore d’autres aspects intéressants de ce sujet à considérer, et la Bible nous apprend de nombreuses choses qui nous guident et nous encouragent. C’est la raison pour laquelle nous examinerons l’une des paraboles de Jésus. Celle-ci convient particulièrement à notre thème, car elle lance un appel caractéristique. Nous voulons parler de la parabole ou image bien connue du fils prodigue.

  • Un jeune homme s’égare
    La Tour de Garde 1965 | 1er décembre
    • Un jeune homme s’égare

      1. a) Pourquoi Jésus fit-​il souvent usage de comparaisons ? b) Comment révéla-​t-​il la cause réelle de la difficulté ?

      JÉSUS parla beaucoup en usant de comparaisons, et c’est la raison pour laquelle nous sommes enclins à nous demander pourquoi il employa si souvent cette méthode d’enseignement. En règle générale, le but d’une comparaison est de faire comprendre facilement une chose, afin qu’elle se grave dans l’esprit. Toutefois, il y a des exceptions, témoin le cas dont il est question ici. Les disciples posèrent cette question à Jésus : “Pourquoi leur parles-​tu en usant de comparaisons ?” La réponse de Jésus est frappante, car il se référa aux mêmes choses que nous avons mises en évidence, à savoir la nécessité de revenir à la raison et l’attitude de cœur, qui est d’une importance capitale. En effet, Jésus répondit à ses disciples : “À vous est donné de comprendre les saints secrets du royaume des cieux, mais à ces gens-​là, cela n’est pas donné.” Cela peut sembler être une décision arbitraire de la part de Jésus, mais celui-ci poursuivit en expliquant que la difficulté résidait chez les personnes elles-​mêmes. Citant la prophétie d’Ésaïe, qui s’accomplissait à son époque, Jésus déclara : “Car le cœur de ce peuple s’est épaissi, et de leurs oreilles ils ont entendu avec ennui, et ils ont fermé les yeux ; pour qu’ils ne voient pas de leurs yeux, ni n’entendent de leurs oreilles, ni n’en saisissent le sens de leur cœur et ne reviennent et que je ne les guérisse.” — Mat. 13:10, 11, 15, 34.

      2. Comment la méthode d’enseignement employée par Jésus servit-​elle d’épreuve, et quel en fut le résultat ?

      2 Certes la majorité des contemporains de Jésus l’écoutaient avec plaisir, le considérant comme un merveilleux conteur d’histoires. Mais ces hommes ne voulaient pas que son message trouble leur point de vue et leur mode de vie. Aussi fermèrent-​ils mentalement leurs oreilles et leurs yeux, de façon à ne pas recouvrer leurs sens, ce qui les obligerait à reconnaître la nécessité de changer leur cœur et de marcher dans une tout autre direction. Marc rapporte que Jésus fut “extrêmement attristé de l’insensibilité de leur cœur”. (Marc 3:5.) Ainsi, la méthode d’enseignement employée par Jésus, à savoir les comparaisons, servit à les éprouver, épreuve à laquelle ils succombèrent, si bien qu’ils perdirent même la connaissance qu’ils avaient acquise ainsi que les privilèges qui s’offraient à eux. C’est ce que Jésus dit en ces termes : “Celui qui n’a pas, même ce qu’il a lui sera enlevé.” — Mat. 13:12.

      3. Quelle situation semblable retrouvons-​nous aujourd’hui, et quelle sage ligne de conduite suivrons-​nous ?

      3 Il en est de même aujourd’hui, et plus particulièrement en ce qui concerne les hommes au sein de la chrétienté. Ils ont leur religion et l’église de leur choix, et bon nombre d’entre eux n’ont pas l’intention de changer, ni même d’admettre le besoin de modifier quoi que ce soit dans leur vie. Quand un témoin de Jéhovah leur rend visite, cherchant à attirer leur attention sur le message biblique relatif à notre époque, tout au plus écoutent-​ils d’un air ennuyé. En fait, ils ferment leurs oreilles, leurs yeux et également leur porte. Ils sont décidés ; ils diront “non” aux témoins de Jéhovah, quelle que soit la façon dont ceux-ci les aborderont. C’est là leur responsabilité, toutefois, il n’est pas nécessaire qu’il en soit ainsi. De même qu’aux jours de Jésus, il appartient maintenant à chacun de prendre une décision. Lorsque ses disciples le lui demandèrent, Jésus arrêta son récit pour donner la signification de ses comparaisons. Aussi faisons-​nous bien de nous arrêter afin de chercher la signification et l’application moderne de ces passages bibliques. Nous savons qu’ils furent écrits “pour notre instruction”, spécialement pour notre époque où “sont arrivées les fins des systèmes de choses”. — Mat. 13:36 ; Rom. 15:4 ; I Cor. 10:11.

      4. Résumez la comparaison du fils prodigue.

      4 La comparaison du fils prodigue revêt une très grande signification. Mais afin d’avoir l’image clairement présente à l’esprit, nous réviserons brièvement cette comparaison, où il est question d’un homme et de ses deux fils. Le plus jeune d’entre eux demanda à son père sa part d’héritage. Celui-ci accéda à sa requête, et le jeune homme prit tous ses biens et partit pour un pays lointain, où il dilapida sa fortune en menant une vie de débauche. Soudain, la famine sévit dans le pays, et se trouvant dans le besoin, il accepta de garder les cochons. On ne lui permettait même pas de manger leur pâtée. Dans ce piteux état, il revint à la raison et décida de retourner chez lui. Il reconnaîtrait s’être conduit comme un pécheur, et demanderait à son père de le prendre, non comme fils, mais comme un homme à gages. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et courut à sa rencontre, lui souhaitant une chaleureuse bienvenue. Tout de suite, on le revêtit de la meilleure robe, on lui mit l’anneau à la main, les sandales aux pieds, et un festin fut organisé avec de la musique et des danses. Comme le fils aîné s’approchait de la maison, il apprit ce qui s’y passait ; courroucé, il ne voulut pas entrer. Son père le supplia, mais il ne lui fit que des objections. Avec beaucoup d’amabilité, le père lui expliqua de nouveau pourquoi il avait agi ainsi, essayant de le

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