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  • Comment éviter d’être massacré avec les ennemis du Roi
    La Tour de Garde 1974 | 1er mars
    • en prêchant et en enseignant “cette bonne nouvelle du royaume”. — Mat. 24:14.

      14, 15. a) À présent, qui doit rendre compte de la façon dont il a fait fructifier les “mines” ? b) Dans la parabole, quelle a été la récompense des esclaves qui ont enrichi leur Seigneur ?

      14 À présent, les membres du reste oint doivent rendre compte de l’usage qu’ils ont fait des mines symboliques. Ils savent que leur Seigneur s’attend à ce qu’ils les fassent fructifier. Quelle est leur récompense d’avoir accru le nombre des mines symboliques ? Après avoir rapporté le compte rendu de l’esclave dont la mine en avait rapporté dix autres, la parabole de Jésus poursuit en disant :

      15 “Il [le Seigneur revenu] lui dit : ‘C’est bien, bon esclave ! Parce que dans une très petite chose tu t’es montré fidèle, aie autorité sur dix villes.’ Le second [esclave] vint, disant : ‘Ta mine, Seigneur, a produit cinq mines.’ Il dit encore à celui-là : ‘Toi aussi, aie la charge de cinq villes.’” — Luc 19:17-19.

      16. a) Qu’indique le fait que l’“homme de naissance noble” ait donné l’autorité sur quinze villes à deux esclaves ? b) Les membres du reste, qui acquièrent des richesses pour le Seigneur Jésus Christ, reçoivent-​ils sur la terre l’autorité sur des villes ?

      16 Le fait qu’après son retour l’“homme de naissance noble” ait récompensé les esclaves bons et fidèles qui avaient fait valoir leur mine, en leur donnant autorité, selon le cas, sur dix ou cinq villes, prouve qu’il s’était assuré le pouvoir royal et qu’à présent il exerçait ce pouvoir. Puisqu’il a confié quinze villes aux deux premiers esclaves, manifestement son pouvoir royal était considérable. Ses esclaves s’étant montrés fidèles avec une mine d’argent dont la valeur était relativement petite, ils pouvaient se voir confier des responsabilités plus grandes, en l’occurrence le gouvernement de plusieurs villes. Dans l’accomplissement moderne de la parabole, les membres du reste oint qui font fructifier les biens précieux du Seigneur Jésus Christ régnant, bénéficient de sa faveur. Ils gardent leur espérance, qui est de régner avec lui dans le Royaume céleste. Mais à présent, pendant qu’ils le servent activement sur la terre, ils ne reçoivent pas le gouvernement sur des villes terrestres. L’approbation de leur Seigneur ne les autorise pas à se mêler de la politique du monde, ni à chercher des fonctions politiques sur la terre. Ils doivent se tenir à l’écart du monde jusqu’à la mort, s’ils veulent régner avec le Christ au ciel.

      Le méchant esclave

      17. Quelle question se pose quant au ressentiment que pourraient éprouver certains à faire fructifier les biens du Seigneur et qu’indique la parabole à ce propos ?

      17 Se pourrait-​il que nous soyons froissés ou offensés parce que le Seigneur Jésus Christ, à présent investi du pouvoir royal, exige que ses esclaves fassent fructifier les biens qu’il leur confie ? Pour comprendre si cette attitude serait pardonnable, examinons le cas de l’esclave qui avait agi autrement que ceux qui avaient fait valoir leur mine. Nous lisons : “Mais un autre vint, disant : ‘Seigneur, voici ta mine, que je gardais déposée dans un linge. Tu vois, j’étais dans la crainte de toi, parce que tu es un homme dur ; tu prends ce que tu n’as pas mis en dépôt et tu moissonnes ce que tu n’as pas semé.’” — Luc 19:20, 21.

      18. Convenait-​il d’excuser l’esclave improductif à cause de sa conscience ?

      18 Convenait-​il d’excuser cet autre esclave, à cause de sa conscience ? Non, car son Seigneur ne lui avait pas demandé d’agir mal ; il n’avait pas exigé qu’il se serve de sa mine pour faire un gain malhonnête. Peu importe comment il considérait son maître, en tant que simple esclave il aurait dû travailler honnêtement, comme son maître le lui avait demandé. S’il était trop paresseux pour travailler, il aurait dû mettre sa mine dans une banque et laisser aux banquiers le soin de travailler pour lui. Son excuse était donc bien faible.

      19. Sur la base de quoi son maître lui répondit-​il, et en quels termes ?

      19 Son maître lui répondit et le jugea sur la base de son excuse. Nous lisons : “Il lui dit : ‘Par ta propre bouche je te juge, méchant esclave. Tu savais, n’est-​ce pas, que je suis un homme dur, prenant ce que je n’ai pas mis en dépôt et moissonnant ce que je n’ai pas semé ? Pourquoi donc n’as-​tu pas mis mon argent dans une banque ? Et à mon arrivée, je l’aurais recueilli avec un intérêt.’” — Luc 19:22, 23.

      20, 21. a) En qualifiant cet esclave de “méchant”, son maître se montrait-​il injuste et dur ? b) Que montre la parabole pour ce qui est de savoir si le “méchant esclave” méritait une nouvelle chance ?

      20 En qualifiant cet esclave inutile de “méchant”, son maître n’était pas injuste et trop dur à son égard, car l’esclave en question, qui avait craint de travailler avec la mine d’argent, avait délibérément fait subir une perte à son maître. Il avait perdu un temps précieux et de l’argent ; il n’avait pas utilisé ces choses loyalement, avec le désir de contribuer à la prospérité de son maître et d’accroître ses biens. Se borner à remettre exactement la somme qu’il avait reçue il y a longtemps n’était pas une façon convenable pour un esclave d’accueillir un roi ! Quelle insulte ! Quel manque de respect ! Quel manque de dignité ! Quel manque de joie et d’enthousiasme au sujet du royaume que son maître venait de recevoir ! Il avait complètement manqué de servir son maître, alors qu’il avait le temps et les moyens de le faire. Au moment de la reddition des comptes, méritait-​il de recevoir une nouvelle occasion de servir ? Notez la réponse :

      21 “Alors il [le maître] dit à ceux qui se tenaient là : ‘Prenez-​lui la mine et donnez-​la à celui qui a les dix mines.’ Mais ils lui dirent : ‘Seigneur, il a dix mines !’ — ‘Je vous le dis, à quiconque a, l’on donnera davantage ; mais à celui qui n’a pas, même ce qu’il a lui sera enlevé. Quant à mes ennemis, qui n’ont pas voulu que je devienne roi sur eux, amenez-​les ici et égorgez-​les devant moi.’” — Luc 19:24-27.

      22. a) Quelle occasion royale cet esclave a-​t-​il perdue ? b) De quel côté s’était-​il rangé, et pourquoi les paroles de son maître étaient-​elles de mauvais augure pour cet esclave ?

      22 Sa mine lui ayant été enlevée, l’esclave inutile perdit l’occasion de se montrer digne d’avoir “autorité sur dix villes” ou “la charge de cinq villes”, et ainsi de prendre part au royaume de son maître devenu roi (Luc 19:17, 19). Celui-ci ne pouvait lui confier aucune des responsabilités de son royaume. Non seulement, son attitude avait été négative à l’égard du royaume de son maître, mais il s’était rangé du côté de ceux qui étaient positivement contre l’investiture de cet homme comme roi sur eux. La parabole ne précise pas si l’esclave fut égorgé en même temps que les ennemis du maître qui ne voulaient pas de lui comme roi. Toujours est-​il qu’aussitôt après que le maître eut dit qu’un esclave qui n’a aucun zèle pour le royaume de son maître perdra l’occasion qui lui a été offerte, il ordonna à ses sujets royaux d’égorger ses ennemis devant lui.

      23. a) Que n’a pas fait cet esclave bien qu’ayant été qualifié de “méchant” ? b) Considérant l’échec de cet esclave, que doivent faire les esclaves baptisés et oints du Christ depuis la fin des temps des Gentils en 1914 ?

      23 Notez que cet esclave inutile ne fut pas qualifié de “méchant” pour avoir maltraité les autres esclaves ou commis un acte d’immoralité comme la fornication, l’adultère ou l’homosexualité. Non, il fut jugé méchant parce qu’il refusa de soutenir son maître dans ses efforts pour s’assurer un royaume ; il ne travailla pas pour faire croître les richesses du royaume de son maître. N’étant pas pour son maître comme roi, il était contre lui (Mat. 12:30 ; Luc 11:23). De même, depuis la fin des temps des Gentils en 1914, pour les chrétiens baptisés et oints, “esclaves” du Roi régnant Jésus Christ, ce serait une chose très grave que de négliger leur devoir de faire croître la connaissance publique, le soutien et le nombre des adhérents fidèles de son Royaume. Leur devoir est de ‘faire des affaires’ avec les mines symboliques qu’il leur a confiées jusqu’à ce qu’il leur demande des comptes.

      24. a) Quels privilèges les “esclaves” chrétiens ne voudraient pas voir transférer à d’autres ? b) Pour eux, que signifierait la perte de leur récompense royale ?

      24 Ces chrétiens devraient veiller à ce que leurs privilèges par rapport au Royaume du Christ ne leur soient pas enlevés et donnés à un autre chrétien qui prêche et enseigne le Royaume avec zèle, semblable à l’esclave qui avait gagné dix mines. Si leur mine symbolique leur était enlevée, ils n’auraient aucune place dans le Royaume céleste pour gouverner en quelque sorte sur “dix villes” ou “cinq villes”. S’ils perdaient leur mine, ils perdraient tout. Ils seraient détruits avec les vrais ennemis du gouvernement messianique de Dieu, qui ne veulent pas que Jésus Christ exerce le pouvoir royal sur eux pendant mille ans (Rév. 20:4, 6). Le temps approche où les saints anges accompagnant Jésus Christ lors de son avènement devront exécuter la vengeance divine sur tous ceux qui s’opposent au Royaume messianique ou refusent de le soutenir. Ce jour viendra avant la bataille d’Har-Maguédon.

      25. a) Pourquoi l’exécution de la vengeance divine commencera-​t-​elle avant Harmaguédon ? b) Que nous arriverait-​il si nous ressemblions au “méchant esclave” ?

      25 L’exécution commencera par la destruction de l’empire religieux appelé Babylone la Grande, au début de la “grande tribulation” figurée par le siège et la destruction de Jérusalem en l’an 70 (Rév. 17:1-16 ; Mat. 24:15-22). Malheur à nous si nous faisons partie de la classe de prétendus chrétiens figurée par le “méchant esclave” qui garda sa mine dans un linge, mais se l’est vu enlever par la suite ! Nous serions détruits éternellement dans la “grande tribulation”, avec les “ennemis” du Roi.

      26. Quelles sont les deux classes de personnes qui seront épargnées lors du massacre des ennemis du Roi ? Pourquoi ?

      26 Les “esclaves” ou chrétiens oints qui acquièrent des richesses spirituelles pour leur Maître céleste, le Roi Jésus Christ, seront épargnés lors du massacre des ennemis du Roi. Il en sera de même des membres de la “grande foule” qui coopèrent avec les activités fructueuses des “esclaves” fidèles et utiles, et qui prennent loyalement position devant le trône de Jéhovah Dieu et de son Agneau Jésus Christ, s’écriant avec enthousiasme à qui veut les entendre : “Victoire à notre Dieu qui siège sur le trône et à l’Agneau !” — Apoc. 7:9, 10, 14, 15, Osty.

  • Déclaration et résolution
    La Tour de Garde 1974 | 1er mars
    • Déclaration et résolution

      1. Quelles personnes étaient réunies en assemblée internationale et à quel titre ont-​elle fait une déclaration et pris une résolution ?

      NOUS, partisans du meilleur gouvernement possible pour toute la famille humaine, réunis en ce samedi ______________ (Date) 1973, à l’assemblée internationale des témoins chrétiens de Jéhovah ayant pour thème “La victoire divine” et tenue à ______________ (Ville), ______________ (Pays), faisons la déclaration publique et la résolution suivantes au nom de l’unique Source de tout gouvernement juste, le Souverain Seigneur de l’univers :

      2. Qu’a révélé l’étude des saintes Écritures quant au commencement de la détresse qui afflige l’humanité et concernant la prétendue mort du Souverain universel ?

      2 Par solidarité avec les autres créatures humaines, nos cœurs sont profondément touchés par la détresse que toute l’humanité connaît sans cesse et de plus en plus depuis 1914, année où éclata la Première Guerre mondiale. Nous qui vivons en même temps que la génération qui a connu, senti et vécu ce premier conflit mondial, avons cherché une explication de la détresse de l’humanité dans la Parole écrite inspirée de la Source de tout gouvernement parfait, c’est-à-dire dans les saintes Écritures ou sainte Bible. Dans ses pages éclairées par les événements modernes, nous avons appris que la détresse universelle et l’angoisse des nations n’ont pas commencé en 1914 simplement par accident, sans raison valable, ni d’une manière inopinée. Cette détresse sans précèdent commença au moment prévu par le Maître Horloger, le Souverain universel, le Créateur du soleil, de la lune et des étoiles dont le cours est d’une précision chronométrique. Dieu n’est pas mort en ce qui concerne les affaires

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