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  • 2ème partie : La famille de Jésus
    La Tour de Garde 1959 | 15 novembre
    • [Schéma, page 349]

      (Voir la publication)

      LA FAMILLE DE JÉSUS

      TRIBU DE LÉVI Références scripturales

      Maison d’Aaron (Prêtres)

      Père d’Élisabeth Luc 1:5

      Zacharie Luc 1:5, 8

      Élisabeth Luc 1:5, 57

      Jean-Baptiste Luc 1:13, 60

      Autres maisons de Lévites Luc 1:36

      Mère d’Élisabeth

      Anne ? (Mère de Marie)

      Zébédée Mat. 26:37 ; Marc 1:20 ;

      Luc 5:10 ; Jean 21:2

      Salomé Mat. 20:20 ; 27:56 ;

      Marc 15:40 ; 16:1 ; Jean 19:25

      Jacques Mat. 4:21 ; 10:2 ; 17:1 ;

      Marc 3:17 ; 10:35 ; Luc 6:14 ;

      Actes 1:13 ; 12:2

      Jean Mat. 4:21 ; 10:2 ; Marc 3:17 ;

      Luc 6:14 ; Actes 1:13 ;

      Apoc. 1:4

      TRIBU DE JUDA

      Maison de David (Rois)

      Nathan Luc 3:31

      Héli Luc 3:23

      Marie Mat. 1:16 ; 13:55 ; Marc 6:3 ;

      Luc 1:27 ; Actes 1:14

      Jésus (Fils de Dieu) Mat. 1:25 ; Luc 1:35 ;

      (Fils de l’homme) Lc 2:7 ; 9:22

      (Fils adoptif de Joseph) Lc 4:22

      Salomon Mat. 1:7

      Jacob Mat. 1:16

      Joseph Mat. 1:16 ; 2:13 ; Luc 2:4 ;

      Jean 6:42

      Jacques Mat. 13:55 ; Marc 6:3 ;

      Actes 12:17 ; 15:13 ; 21:18 ;

      I Cor. 15:7 ; Gal. 1:19 ;

      Jacq. 1:1 ; Jude 1

      Joseph (Joses) Mat. 13:55 ; Marc 6:3

      Simon Mat. 13:55 ; Marc 6:3

      Jude Mat. 13:55 ; Marc 6:3 ;

      Jude 1

      Sœurs Mat. 13:56 ; Marc 6:3

      Mère de Joseph

      ?

      Alphée (Clopas) Mat. 10:3 ; Marc 3:18 ;

      Luc 6:15 ; Jean 19:25 ;

      Actes 1:13

      Marie Mat. 27: 56, 61 ; 28:1 ;

      Marc 15:40, 47 ; 16:1 ;

      Luc 24:10 ; Jean 19:25

      Jacques (Fils d’Alphée) Mat. 10:3 ; 27:56 ;

      (le mineur) Marc 3:18 ; 15:40 ;

      Luc 6:15 ; 24:10 ;

      Actes 1:13

      Femme

      Jude (Thaddée) Mat. 10:3 ; Marc 3:18 ;

      (Fils de Jacques) Luc 6:16 ; Jean 14:22 ;

      Actes 1:13

      Joses Mat. 27:56 ; Marc 15:40, 47

      Autres maisons de Juda

  • (22ème partie) : “ Que ta volonté soit faite sur la terre ”
    La Tour de Garde 1959 | 15 novembre
    • 22e partie : “ Que ta volonté soit faite sur la terre ”

      Peu de temps avant que la puissance mondiale babylonienne, autrefois puissante, s’écroulât devant les Mèdes et les Perses, le captif juif exilé, Daniel le prophète, eut sa vision montrant de quelle manière le prochain Empire médo-perse serait renversé à son tour par le conquérant grec, Alexandre le Grand, et comment l’Empire macédonien ou grec lui succéderait, ainsi que d’autres puissances mondiales qui auraient affaire avec le peuple de Jéhovah dont Daniel était un membre. Dans le huitième chapitre de la prophétie de Daniel Da 8, Alexandre le Grand fut représenté par une corne bien visible qui s’éleva entre les yeux d’un bélier. La mort d’Alexandre fut représentée par la rupture de la grande corne. Mais à la place de celle-ci s’élevèrent quatre cornes, représentant les quatre empires helléniques qui sont issus des possessions d’Alexandre. L’une de ces quatre cornes donna naissance à une “ petite corne ” qui devint très puissante sur la terre. L’accomplissement historique de la prophétie biblique a prouvé que cette “ petite corne ” symbolique n’était pas l’Empire romain qui dévora les quatre empires helléniques, mais le système impérial ultérieur qui sortit de ce qui faisait autrefois partie de l’Empire romain, c’est-à-dire la double puissance mondiale anglo-américaine. Celle-ci prit naissance en Grande-Bretagne que Rome garda sous sa puissance jusqu’en 436 de notre ère.

      29. Quand le pacte de la Société des Nations entra-​t-​il en vigueur ? Quand cette Société commença-​t-​elle à fonctionner ? Mais que commençait à faire la chrétienté ?

      29 La conférence de la paix s’ouvrit à Paris, en France, le 18 janvier 1919 ; le président américain Wilson y assistait. Le traité de paix qui en résulta, y compris le pacte de la Société des Nations, fut signé à Versailles, en France, le 28 juin 1919. Le 13 octobre de la même année, ratifié par trois grandes puissances alliées, il entra en vigueur avec son pacte de la Société des Nations. Le Sénat des États-Unis refusa de suivre le président Wilson et d’approuver ce traité. Il considérait que la souveraineté nationale de l’Amérique n’était pas suffisamment sauvegardée dans ce pacte. L’Amérique conclut plus tard une paix séparée avec l’Allemagne. La Société des Nations, “ image ” symbolique “ de la bête sauvage ”, commença réellement à fonctionner le 10 janvier 1920, à Londres, en Grande-Bretagne. Mais auparavant, la chrétienté religieuse commença à adorer l’“ image ” symbolique.

      30. Qu’offrit de faire le Conseil fédéral des Églises du Christ d’Amérique ? Comment attribua-​t-​il à la Société proposée un rôle messianique ?

      30 Le Conseil Fédéral des Églises du Christ d’Amérique s’offrit en qualité de prêtre pour officier devant l’“ image ”. Devançant la conférence de la paix, alors que le président Wilson préconisait simplement la Société des Nations, ce Conseil fédéral plaida en faveur de cette dernière et lui attribua le rôle du Christ, le Messie. Son comité exécutif se réunit à Atlantic City, New-​Jersey, et, le 12 décembre 1918, souscrivit au plan du président Wilson en vue d’une Société des Nations. Il adopta la Déclaration suivante (que nous ne citons qu’en partie) :

      La crise de la guerre est passée, mais une crise mondiale s’est abattue sur nous...

      “ Devons-​nous sombrer ”, demanda Lloyd George, “ dans les rivalités, animosités et concurrences en fait d’armements qui animaient autrefois les nations, ou devons-​nous imiter le règne sur la terre du Prince de la Paix ? ”

      Le moment est venu d’organiser le monde pour la vérité, le droit, la justice et l’humanité. C’est pourquoi, comme chrétiens, nous réclamons la création d’une Société des Nations libres à la prochaine Conférence de la Paix. Une telle Société n’est pas un simple expédient politique ; c’est plutôt l’expression politique du royaume de Dieu sur la terre.

      ... Les morts héroïques seront morts en vain, si de la victoire ne naissent de nouveaux cieux et une nouvelle terre où la justice habitera.

      L’Église a beaucoup à donner et beaucoup à gagner. Elle peut apporter toute la puissance de sa sanction en communiquant au nouvel ordre international quelque peu de la gloire prophétique du Royaume de Dieu. Qu’est-​ce que le royaume de Dieu, si ce n’est le triomphe de la volonté de Dieu dans les affaires des hommes, “ la justice, la paix et la joie dans le saint Esprit ? Et qu’est-​ce que cette vision d’une fédération mondiale de l’humanité organisée sur un fondement juste et loyal, en vue du maintien effectif et impartial de la paix, si elle n’est une vision du royaume de Dieu ?

      L’Église peut apporter un esprit de bonne volonté, sans lequel aucune Société des Nations ne peut subsister...

      La Société des Nations est établie dans l’Évangile. Comme l’Évangile, elle a pour objectif “ la paix sur la terre et la bonne volonté parmi les hommes ”. Comme l’Évangile, son message est universel.

      Implorons notre Père céleste, le Dieu tout-puissant, pour que les Délégués de paix des nations soient guidés par l’Esprit divin et éclairés par la divine Sagesse et incorporent dans le nouvel édifice de la vie du monde Sa juste, tendre et sainte volonté...

      31. Que fit le comité exécutif du Conseil fédéral pour que les documents ci-dessus fussent présentés ? Qu’envoya-​t-​il au président Wilson ?

      31 Le comité exécutif du Conseil fédéral des Églises vota aussi des Résolutions à l’appui de cette Déclaration. L’une d’elles nommait une “ Commission spéciale appropriée représentant, dans toute la mesure possible, les Églises protestantes d’Amérique, avec mission de présenter les documents ci-dessus à la Conférence de la paix des Nations alliées et associées ”. À la suite de l’adoption de la Déclaration et des Résolutions, un avis fut rendu et un câblogramme envoyé par le comité exécutif au président Wilson à Paris, pour l’avertir de son action. Plus tard, une lettre datée du 18 décembre 1918 fut adressée au président Wilson ; elle comprenait une copie du câblogramme, la Déclaration et la Résolution adoptée à l’appui de cette dernière. Elle faisait connaître aussi la nomination de la Commission spéciale chargée de présenter officiellement la Déclaration à la Conférence de la Paix sitôt après son ouverture.a

      32. Quelle preuve historique avons-​nous que la Commission spéciale présenta la Déclaration à la Conférence de la Paix à Paris ?

      32 Cette Commission spéciale présenta-​t-​elle la Déclaration à la Conférence de la Paix à Paris, après son ouverture le 18 janvier 1919 ? Dans le rapport annuel du Conseil fédéral des Églises du Christ d’Amérique pour l’année 1919, année du calendrier, on peut lire cette phrase à la page 11 :

      À la Conférence de la Paix de Paris une commission représentative du Conseil fédéral fut reçue par les représentants du gouvernement à qui elle présenta les actes du comité exécutif qu’elle était chargée de communiquer à la Conférence de la Paix.

      33. Quelle autre action fut entreprise par le Conseil fédéral des Églises à l’égard de l’adoration de la Société des Nations ?

      33 Il fut fait davantage encore. Le Traité de Paix fut signé le 28 juin 1919. Le Bulletin du Conseil fédéral de juin 1919, à la page 94, dit ce qui suit, dans un article intitulé “ Résolutions adoptées par le Conseil fédéral des Églises du Christ en session spéciale à Cleveland, Ohio, du 6 au 8 mai 1919 ” :

      I. Justice sociale

      ...

      II. Affaires nationales et internationales

      DÉCIDE : que nous exprimions notre gratitude pour l’établissement de la Société des Nations, tel que l’accepta la Conférence de la Paix de Paris et que nous prenions l’engagement d’appuyer sa ratification par le Sénat des États-Unis et de nous attacher à son succès.

      34. Comment les efforts du Conseil se révélèrent-​ils vains ?

      34 Leurs efforts furent vains. Le Sénat américain n’adopta jamais le Traité de Paix de Paris et sa charte de la Société des Nations. Le dévouement du Conseil fédéral des Églises n’a jamais fait un succès de la Société des Nations. L’attachement des organisations religieuses à l’empire britannique de la septième puissance mondiale, non plus. La Société des Nations n’empêcha pas la deuxième guerre mondiale et l’introduction de la bombe atomique. Elle disparut officiellement le 10 janvier 1946.

      35. Sous le rapport du Royaume de Dieu, que constituait cette Déclaration telle qu’elle fut présentée à la Conférence de la Paix de Paris ? Quelle action les églises de la chrétienté adoptèrent-​elles ainsi à l’égard du temple nominal de Dieu ?

      35 Indépendamment même de la Parole prophétique de Dieu, les faits rapportés par l’histoire révèlent que la Société des Nations n’était pas l’image terrestre du Royaume de Dieu, établie dans l’Évangile, mais une contrefaçon blasphématoire et d’institution humaine du Royaume de Dieu. C’était une “ image ” idolâtrique “ de la bête sauvage ”, bête politique à laquelle le grand dragon, Satan le Diable, avait donné “ sa puissance, et son trône, et une grande autorité ”. (Apoc. 12:3, 4, 7-9, 13-17 ; 13:1, 2.) La Déclaration adoptée par le comité exécutif du Conseil des Églises à Atlantic City et présentée par l’intermédiaire de sa Commission spéciale à la Conférence de la Paix de Paris, à la fin de janvier 1919, était un abominable blasphème contre le véritable Royaume de Dieu, une fausse prophétie qui trompa le monde, un acte d’idolâtrie répugnant s’adressant à l’“ image ” bestiale. Par cette action accomplie en janvier 1919, les chefs religieux de la chrétienté et les hommes politiques de la septième puissance mondiale et de ses alliés dressèrent une abomination devant Jéhovah Dieu, une chose répugnante à ses yeux. Puisque les églises de la chrétienté se disaient le temple de Dieu, elles introduisirent en réalité une idole abominable dans le temple religieux.

      36. Ainsi, qui les églises de la chrétienté imitèrent-​elles ? De qui la septième puissance mondiale était-​elle l’instrument en dressant l’abomination ?

      36 En établissant cette “ abomination qui cause la désolation ”, le clergé religieux de la chrétienté imita ceux qui rejetèrent Jésus-Christ en 33 de notre ère et qui s’écrièrent devant le gouverneur romain Ponce Pilate : “ Nous n’avons de roi que César. ” (Jean 19:15). C’est ici que la septième puissance mondiale devint l’instrument du “ dieu de cet ordre de choses ” en établissant l’“ abomination qui rend désolé ” “ l’abomination qui cause la désolation ” (Mat. 24:15, NW). Cela marque un point important dans le calcul du temps prophétique.

      “ LA TRANSGRESSION QUI CAUSE LA DÉSOLATION ”

      37. Qu’est-​ce qui se rattache à cette abomination qui désole ? Qu’apprit Daniel de la bouche de l’ange ?

      37 Cependant, une “ transgression ” se rattache à l’“ abomination qui cause la désolation ”. Daniel dit qu’un ange posa une question à ce sujet : “ Et j’entendis un saint qui parlait ; et un autre saint dit au personnage qui parlait : Jusqu’où va la vision du sacrifice continuel et de la transgression qui désole (la transgression qui cause l’épouvante, JPS ; qui rend désolé, RS), pour livrer le lieu saint et l’armée pour être foulés aux pieds ? Et il me dit : Jusqu’à deux mille et trois cents soirs et matins ; alors le lieu saint sera purifié (victorieux, JPS ; restauré dans sa condition véritable, RS). ” — Dan. 8:13, 14, Da.

      38. Quelles questions se posent concernant la “ transgression qui cause la désolation ” ? Pourquoi les réponses sont-​elles nécessaires ?

      38 Le “ sacrifice continuel ” fut ôté au point culminant de la période de “ un temps, deux temps, et la moitié d’un temps ”, le 7 mai 1918b. Ce fut vers la fin de janvier 1919 que l’“ abomination qui cause la désolation ” fut dressée en vue d’être adorée. Mais, à ce moment-​là, la “ transgression qui désole ” n’avait pas été commise, pour que les deux mille trois cents soirs et matins commencent à compter. Alors, que fut cette “ transgression ” ? Quand fut-​elle commise, et par qui ? Voici les faits présentés par les témoins de Jéhovah :

      39. Comment l’œuvre de témoignage d’après guerre fut-​elle frayée après la première guerre mondiale ? Quelle révélation et quelle action se produisit-​il concernant la Société des Nations ?

      39 Le 26 mars 1919, les représentants et les rédacteurs de la Watch Tower Bible & Tract Society, détenus au Pénitencier

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