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SchischacAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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(I Rois 11:40). Quelques années plus tard, dans la cinquième année de Roboam, successeur de Salomon (993/992 av. n. è.), Schischac envahit Juda avec une armée puissante composée de chars et de cavaliers. Il s’empara de villes fortifiées en Juda, puis arriva à Jérusalem. Mais Jéhovah ne lui permit pas de détruire la ville, car Roboam et les princes de Juda s’étaient humiliés après avoir reçu un message du prophète Schémaïah. Cependant, Schischac dépouilla la ville de ses trésors. — II Chron. 12:1-12.
Il existe des preuves archéologiques de l’invasion de la région palestinienne par Schischac. Un fragment de stèle découvert à Méguiddo mentionne Sheshonq (Schischac) et laisse entendre que la stèle a été érigée là pour commémorer sa victoire. De plus, un bas-relief sur le mur d’un temple de Karnak (la partie nord de l’ancienne ville égyptienne de Thèbes) énumère plus de 150 villes ou villages conquis par Schischac. Un grand nombre de ces localités, qui peuvent être identifiées à des sites bibliques, étaient situées dans le royaume des dix tribus. Cela indiquerait que le but de la campagne de Schischac n’était pas de venir en aide au royaume des dix tribus, mais d’accroître la puissance et l’influence de l’Égypte.
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SCIE
Instrument tranchant consistant en une lame crantée ou dentée munie d’une ou de deux poignées, ou parfois en une lame fixée à un montant. Les premières scies ne coupaient pas dans les deux sens; certaines sciaient quand on les tirait vers soi et d’autres quand on les poussait. En règle générale, les scies égyptiennes étaient en bronze et, le plus souvent, biseautées en direction de la poignée pour que le scieur coupe en tirant. La lame était tantôt insérée dans la poignée, tantôt attachée à celle-ci au moyen de courroies. Les Assyriens avaient des scies à lame de fer munies de deux poignées. Les charpentiers hébreux et ceux d’autres nations se servaient de scies pour couper le bois, et les maçons utilisaient des scies capables de tailler la pierre. — És. 10:15; I Rois 7:9.
Parmi les travaux que David assigna aux captifs ammonites, il y avait le sciage des pierres (II Sam. 12:29-31). Leurs instruments comprenaient des “haches” ou, littéralement, des “scies de pierre”, selon le texte massorétique de I Chroniques 20:3. Dans certains cas on taillait la pierre à l’aide de scies à lame de cuivre munie de dents de pierre. Il semble qu’on mettait aussi parfois un abrasif, tel que la poudre d’émeri, sous le tranchant des lames de cuivre ou de bronze pour faciliter la taille des pierres.
La persécution des fidèles témoins de Jéhovah qui vécurent avant Jésus Christ fut parfois si sévère que certains sont morts “sciés”. (Héb. 11:37, 38.) Selon la tradition, le méchant roi Manassé aurait fait infliger à Ésaïe ce cruel supplice, mais cela n’est pas confirmé par les Écritures.
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ScorpionAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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SCORPION
Petit animal (du genre des arachnides, que les biologistes ne rangent pas parmi les insectes) classé avec les araignées, les tiques et les mites. À la différence des autres arachnides, la femelle du scorpion n’est pas ovipare mais vivipare. Dès leur naissance, les jeunes scorpions grimpent sur le dos de leur mère et s’y accrochent à l’aide de leurs pinces. Ils puisent dans leurs réserves d’énergie pour subsister ainsi jusqu’à leur première mue; ensuite, ils se laissent tomber et commencent à vivre comme les scorpions adultes.
Le scorpion a huit pattes, une queue longue et étroite formée de plusieurs segments, terminée par un aiguillon venimeux recourbé, et une paire de pinces, qui ressemblent à celles d’un homard, garnies de poils ultrasensibles. La queue est généralement redressée et recourbée vers l’avant, au-dessus du dos de l’animal; elle peut se balancer dans toutes les directions. Le scorpion se sert de son aiguillon pour se défendre et pour tuer ses proies. Il saisit sa victime avec ses pinces et la tue habituellement d’un coup d’aiguillon. Cet animal nocturne passe le jour caché sous des pierres, dans les fissures des bâtiments et même sous les tapis ou sous les lits. Il sort la nuit pour se nourrir d’araignées et d’insectes.
Parmi plusieurs centaines de variétés de scorpions, dont la taille varie approximativement de deux à vingt centimètres, une douzaine environ se rencontrent en Palestine et en Syrie. Bien qu’en règle générale une piqûre de scorpion ne soit pas fatale aux humains, il existe plusieurs variétés dont le venin est proportionnellement plus puissant que celui de bien des vipères dangereuses du désert. Ainsi, certains considèrent que le scorpion jaune, qui est courant dans les pays bibliques, est l’un des plus meurtriers du monde. Des centaines de personnes, et parmi elles beaucoup d’enfants, sont mortes après avoir été piquées par lui. Révélation 9:3, 5, 10 attire l’attention sur les vives douleurs que cause la piqûre du scorpion. Ce passage décrit des sauterelles symboliques possédant “le même pouvoir qu’ont les scorpions de la terre” et capables de tourmenter les humains tout comme “un scorpion quand il frappe un homme”.
Les scorpions étaient répandus dans le désert de Juda et dans la péninsule du Sinaï, ce “redoutable désert”. (Deut. 8:15.) Une montée, à la frontière sud-est de Juda, située au sud-ouest de l’extrémité méridionale de la mer Morte, s’appelait même Acrabbim (qui signifie “scorpions”). — Nomb. 34:4; Josué 15:3; Juges 1:36.
Dans une illustration destinée à montrer que son Père céleste donnerait l’esprit saint à ceux qui le lui demanderaient, Jésus Christ fit remarquer qu’un père humain ne remettrait pas un scorpion à son fils si celui-ci lui demandait un œuf (Luc 11:12, 13). Quand il envoya ses soixante-dix disciples, Jésus leur donna autorité sur les choses mauvaises représentées par des serpents et des scorpions. — Luc 10:19; voir Ézéchiel 2:6.
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ScribeAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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SCRIBE
(héb. sophér, “recenseur, greffier, secrétaire, scribe”; gr. grammatéus, “un scribe, un lettré”).
Ce terme désigne une personne qui a fait des études. Le mot hébreu vient d’une racine signifiant “écrire” ou “compter” et il est rendu selon les cas par scribe, secrétaire ou copiste. Certains hommes de la tribu de Zabulon possédaient “l’équipement du scribe” pour compter et enrôler les soldats de l’armée (Juges 5:14; voir II Rois 25:19; II Chroniques 26:11). Des scribes ou des secrétaires servaient aussi au temple (II Rois 22:3). Le secrétaire du roi Joas collaborait avec le grand prêtre pour compter l’argent des contributions et le donner ensuite à ceux qui payaient les ouvriers travaillant aux réparations du temple (II Rois 12:10-12). Baruch écrivait sous la dictée de Jérémie (Jér. 36:32). Les secrétaires d’Assuérus, roi de Perse, étaient placés sous la direction de Haman lorsqu’ils rédigèrent le décret ordonnant la destruction des Juifs, et sous celle de Mardochée lorsqu’un décret contraire fut promulgué. — Esther 3:12; 8:9.
Les scribes hébreux exerçaient la fonction de notaires publics. Ils préparaient les actes de divorce et enregistraient d’autres transactions. À une époque plus tardive du moins, ils ne fixaient pas leurs honoraires, aussi fallait-il négocier au préalable avec eux. Habituellement, c’était l’un des contractants d’une transaction qui réglait les honoraires, mais quelquefois les deux parties en partageaient le paiement. Ézéchiel vit en vision un homme avec une écritoire de secrétaire qui accomplissait une œuvre de marquage. — Ézéch. 9:3, 4.
LES COPISTES DES ÉCRITURES
C’est aux jours du prêtre Esdras que les scribes (sôphrim ou, francisé, sopherim) commencèrent à acquérir une certaine notoriété lorsqu’ils formèrent un groupe distinct. Copistes des Écritures hébraïques, ils étaient consciencieux dans leur travail et avaient peur de commettre des erreurs. Avec le temps, ils devinrent méticuleux à l’extrême, allant jusqu’à compter non seulement les mots, mais aussi les lettres. Plusieurs siècles après la venue du Christ sur la terre, l’hébreu ne s’écrivait encore qu’avec des consonnes; l’omission ou l’adjonction d’une seule lettre aurait donc souvent transformé un mot en un autre. Si les copistes décelaient la moindre erreur ou une seule lettre mal écrite, toute cette partie du rouleau était refusée, jugée impropre à l’utilisation dans la synagogue. Après quoi, cette portion était retranchée et remplacée par une autre qui ne comportait aucune faute. Il fallait lire chaque mot à haute voix avant de l’écrire. Inscrire de mémoire même un seul mot était considéré comme un péché grave. Les scribes religieux devinrent excessifs. On dit qu’ils nettoyaient pieusement leur plume avant d’écrire le mot ʼÈlohim (Dieu) ou ʼAdhônây (Seigneur).
Mais, en dépit du soin extrême qu’ils apportaient afin d’éviter les fautes d’inattention, avec le temps les sopherim commencèrent à prendre la liberté d’opérer des changements dans le texte. Selon eux, ils ont modifié le texte hébreu primitif dans 134 passages en remplaçant Yehôwâh par ʼAdhônây. Dans d’autres passages, ils remplacèrent ce mot par ʼÈlohim. Ils effectuèrent nombre de modifications à cause de la superstition en rapport avec le nom divin et, comme ils le prétendaient, pour éviter les anthropomorphismes, c’est-à-dire les expressions qui attribuent à Dieu des réactions humaines (voir JÉHOVAH [La superstition cache le nom]). Les massorètes, nom par lequel les copistes étaient connus des siècles après l’époque où Jésus était sur la terre, repérèrent les modifications apportées par les premiers sopherim et les indiquèrent dans la marge du texte hébreu. Ces notes marginales reçurent le nom de “Massore”. La Massore énumérait les quinze points extraordinaires indiqués par les sopherim. Il s’agissait de quinze mots ou phrases du texte hébreu signalés par des points au-dessus et au-dessous, dont la signification est controversée. Les sopherim avaient également effectué d’autres corrections ou changements.
LES SCRIBES: DES ENSEIGNANTS DE LA LOI
Au début, les prêtres servaient en tant que scribes (Esdras 7:1-6). Mais on insistait beaucoup sur la nécessité pour chaque Juif de connaître la Loi. Aussi, ceux qui étudiaient et acquéraient une très grande connaissance étaient-ils respectés. Ces érudits formèrent finalement un groupe indépendant dont beaucoup de membres n’appartenaient pas à la tribu sacerdotale. Lorsque Jésus était sur la terre, le terme “scribes” désignait donc une classe d’hommes versés dans la Loi. Ces érudits faisaient de l’étude systématique de la Loi et de son interprétation leur profession. Ils figuraient vraisemblablement parmi les enseignants de la Loi, les légistes (Luc 5:17; 11:45). On les associait généralement à la secte religieuse des Pharisiens, car ces derniers reconnaissaient les interprétations ou les “traditions” des scribes qui en étaient venues avec le temps à former une masse énorme de règles pointilleuses. L’expression “scribes des Pharisiens” apparaît plusieurs fois dans les Écritures (Marc 2:16; Luc 5:30; Actes 23:9). Elle peut indiquer que certains scribes étaient des Sadducéens, lesquels croyaient seulement en la Loi écrite. Les scribes des Pharisiens défendaient ardemment la Loi mais aussi les traditions, qui avaient pris de l’importance. Ils avaient une plus grande emprise sur le peuple que les prêtres. Les scribes étaient surtout à Jérusalem, mais il y en avait aussi dans toute la Palestine ainsi que dans d’autres pays, parmi les Juifs de la Diaspora. — Mat. 15:1; Marc 3:22; Luc 5:17; voir RABBI.
LES COPISTES DES ÉCRITURES GRECQUES CHRÉTIENNES
Lorsqu’il écrit aux Colossiens, l’apôtre Paul ordonne que sa lettre soit lue dans la congrégation de Laodicée, et qu’eux lisent la lettre destinée aux Laodicéens (Col.
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