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  • Le concours annuel d’Argungu
    Réveillez-vous ! 1984 | 22 juin
    • Chaque calebasse a une extrémité ouverte et sert soit de bouée sur laquelle le pêcheur peut flotter, soit de récipient pour y mettre le poisson.

      L’appréhension grandit chez les spectateurs qui tendent le cou pour mieux voir. Beaucoup se demandent si la prise gagnante sera plus grosse que celle de 1979, qui pesait 98 kilos. Depuis le concours de l’année précédente, la pêche a été interdite dans cette partie de la rivière. L’eau y est très basse à cause de la saison sèche et l’endroit est devenu un vivier naturel.

      Le signal est donné par un coup de revolver. La pêche commence. Les hommes dévalent la rive en pente, et en l’espace de quelques minutes l’eau grise et peu profonde fourmille de pêcheurs. On entend alors un cri qui vient signaler la première prise.

      À chaque fois qu’un pécheur attrape un poisson de belle taille, les autres concurrents viennent à son aide. Des hommes, dans une embarcation, s’emparent de la prise pour la peser et l’étiqueter, et à mesure que le temps passe il leur faut travailler de plus en plus vite. Toutefois, peu de prises dépassent 30 kilos et beaucoup de pêcheurs n’attrapent que des poissons à peine plus gros que des sardines. Soudain, en voilà un qui pèse plus de 40 kilos. Comme la plupart des concurrents ont déjà quitté l’eau, le pécheur se croit le gagnant et fait le geste du vainqueur. Toutefois, quelques pêcheurs persévèrent en espérant faire une prise encore plus grosse. Leurs efforts sont récompensés. Avant que le temps soit écoulé, on entend un cri de triomphe. La prise est un bukuiki, comme on appelle ce poisson à Hausa; il mesure 1,30 mètre et pèse 50 kilos. C’est beaucoup moins que le record établi en 1979, mais c’est tout de même le gagnant de l’année!

      Le concours annuel d’Argungu ne tarde pas à s’achever. Les pluies de mai vont venir et pendant quelque temps le pays desséché sera couvert d’herbe verte, tandis que les plantes grimpantes et les arbrisseaux feront éclater leurs fleurs multicolores. De nouveau la rivière se remplira d’eau et de poissons, mais les pêcheurs n’y toucheront pas, attendant l’an prochain dans l’espoir de prendre un des gros poissons d’Argungu.

  • Une lettre de “plaintes”
    Réveillez-vous ! 1984 | 22 juin
    • Une lettre de “plaintes”

      Après une assemblée de district des Témoins de Jéhovah qui s’est tenue à Glens Falls, dans l’État de New York, la lettre qui suit a été adressée au rédacteur en chef du Post-Star, un journal local. Son contenu fut publié dans le journal. En voici la teneur:

      “La semaine dernière, des Témoins de Jéhovah venus d’un peu partout ont tenu une assemblée ici à Glens Falls. Je ne sais vraiment pas pendant combien de temps nous pourrons encore tolérer une conduite aussi révoltante.

      “Personne ne fumait de marihuana. Personne n’était sous l’influence de la drogue ou de l’alcool. On n’entendait pas de musique assourdissante, ni de chants immoraux. Pas de relations sexuelles illicites, pas de trafic de billets, pas de cris ni de hurlements. On n’a vu ni bousculades ni bagarres pour entrer ou sortir. Personne ne jurait ni ne blasphémait. Personne ne criait des obscénités. Personne n’avait de gestes obscènes. On n’entendait ni langage vulgaire ni plaisanteries grossières. Pas de conduite tapageuse nécessitant l’intervention de la police. Pas d’arrestation pour cause de débauche. Personne n’a eu besoin de faire appel aux forces de l’ordre. Au contraire, tout le monde se laissait diriger par les policiers. Le Civic Center n’était pas rempli de fumée et l’air était respirable.

      “Les femmes portaient des robes et ressemblaient à des femmes. Les hommes avaient les cheveux propres et bien coupés. Ils portaient des vestes et des cravates et avaient l’air respectable. Les maris tenaient leurs femmes par le bras. Parents et enfants restaient ensemble en famille. Les enfants obéissaient à leurs parents et n’étaient pas irrespectueux et brise-tout. Les gens portaient des Bibles au lieu de couteaux à cran d’arrêt. Personne ne commettait de vol.

      “Personne ne jetait des boîtes de bière ou de soda sur les pelouses de Glens Falls. Personne n’écrasait des bouteilles de bière ou de soda dans les rues de la ville.

      “C’était pour le moins inhabituel. Que se passait-​il donc? Serait-​ce si terrible si un plus grand nombre d’entre nous se conduisait de cette façon? Cela fait réfléchir, n’est-​ce pas?” — S.N.G., Whitehall, N.Y.

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