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De nouvelles imprimeries pour diffuser le message du RoyaumeRéveillez-vous ! 1974 | 22 janvier
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À qui l’honneur en revient-il ? De même que l’apôtre Paul (après qu’Apollos et lui eurent accompli leur œuvre de prédication) reconnut que c’est ‘Dieu qui fait croître’, les témoins de Jéhovah reconnaissent que c’est grâce à Jéhovah Dieu que leur œuvre de prédication de la bonne nouvelle de son Royaume est prospère. — I Cor. 3:5-7.
Que ferez-vous ?
Il est donc évident que la situation religieuse actuelle a un double aspect. Comme le reconnaissent à la fois les membres et les chefs de nombreuses Églises de la chrétienté, celles-ci s’affaiblissent sérieusement.
Dans le même temps, l’œuvre qui, selon Jésus, allait devoir être effectuée par ses disciples n’a jamais été aussi florissante. Comme l’indiquent les faits, ce sont les témoins chrétiens de Jéhovah qui accomplissent cette œuvre. Tout ce qu’ils croient ainsi que le message qu’ils prêchent se trouvent dans la Bible, la Parole de Dieu. C’est cette bonne nouvelle qui a donné à des centaines de milliers de personnes sincères un but réel dans la vie. Elle leur a permis de fréquenter un peuple menant une vie pure et s’intéressant vraiment à leurs semblables, et elle leur a procuré une espérance solide.
Les témoins de Jéhovah seront heureux de partager ces bonnes choses avec vous également. Vous serez le bienvenu aux réunions qu’ils organisent dans leur Salle du Royaume. Avec joie, ils étudieront gratuitement la Bible avec vous, à votre domicile. Pour cela, écrivez simplement aux éditeurs de ce périodique ou faites connaître votre désir aux témoins de Jéhovah de votre localité.
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Comment soigner les malades mentaux au foyerRéveillez-vous ! 1974 | 22 janvier
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Comment soigner les malades mentaux au foyer
PENDANT dix ans ce fut un couple heureux. Le mari, intelligent, était un ministre chrétien actif. Puis il commença à avoir des pertes de mémoire. Quand il donnait une allocution biblique, son esprit devenait soudain vide, et, à son travail, il confondait les couleurs quand il peignait une voiture.
Progressivement, il parla de moins en moins ; bientôt, le seul mot qu’il répétait était “non, non, non”, parfois huit fois de suite. Puis ce fut le silence complet. Mais, physiquement, il se montrait très actif. Il allait et venait du matin au soir, et on avait toutes les peines du monde à obtenir qu’il aille se coucher. Au bout de cinq ans, il mourut.
Durant ces années, des spécialistes furent consultés à maintes reprises, mais tous reconnurent qu’il n’y avait rien à faire pour le guérir. Un important psychiatre de New York diagnostiqua “une maladie organique, dégénérative et progressive”. Il conclut en disant à la femme du malade : “Je dois reconnaître que vous
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