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  • Pourquoi le Dieu Tout-Puissant se rit des nations
    La Tour de Garde 1969 | 15 avril
    • en fonction de leur foi. À ce moment-​là, ils étaient prêts à le lapider (Jean 10:22-31). Le Messie ou Christ choisit douze apôtres parmi ceux qui croyaient en lui et le suivaient. Après les avoir instruits, il les envoya prêcher : “Le royaume des cieux s’est approché.” (Mat. 10:1-7). Plus tard, il envoya soixante-dix disciples proclamer le même message (Luc 9:1-6 ; 10:1-11). C’étaient quatre-vingt-deux prédicateurs du Royaume de Dieu, et non des “guérilleros” armés d’épées, de lances, d’arcs et de flèches. Voilà qui était étrange ! Comment un gouvernement indépendant allait-​il être installé et prendre le pouvoir sur la nation d’Israël par la prédication ? Cela suffit à faire rire.

      20. Comment savons-​nous si les chefs religieux ont ri après la résurrection de Lazare et l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem ?

      20 À un certain moment, ce ne fut pourtant pas risible. C’était au début du printemps de l’an 33 de notre ère, plus de trois ans après le commencement de cette prédication. Jusqu’à cette époque, le gouvernement impérial de Rome, qui dominait sur les Juifs, n’avait rien entrepris contre Jésus et son groupe de prédicateurs. Par contre, les chefs religieux juifs de Jérusalem étaient dans la crainte à cause de lui. Peu de temps avant la Pâque de cette année-​là, Jésus-Christ accomplit un de ses miracles les plus remarquables : la résurrection d’un homme mort et enseveli depuis quatre jours. Suite à cette action, une grande animation se mit à régner parmi le peuple. Les conducteurs religieux se concertèrent donc et dirent entre eux : “Que devons-​nous faire, parce que cet homme accomplit beaucoup de signes ? Si nous le laissons tranquille ainsi, ils auront tous foi en lui, les Romains viendront et ôteront et notre lieu et notre nation.” (Jean 11:1-48). Or, le 9 nisan, soit cinq jours avant la Pâque, lorsque Jésus entra à Jérusalem monté sur un ânon, comme lors des cérémonies de couronnement, la foule cria joyeusement : “Béni soit celui qui vient au nom de Jéhovah, oui le roi d’Israël !” Eu égard à ce soutien populaire inattendu en faveur de Jésus, le Roi messianique d’Israël, les Pharisiens furent encore plus troublés, et ils dirent entre eux : “Vous remarquez que vous n’arrivez absolument à rien. Voyez ! Le monde est allé après lui.” — Jean 12:10-19.

      21, 22. a) Comment les chefs religieux impliquèrent-​ils le gouvernement romain dans le jugement et l’exécution de Jésus ? b) Comment Hérode Antipas traita-​t-​il Jésus lorsque ce dernier lui fut amené ?

      21 Les chefs religieux cherchèrent donc à se tirer d’affaire en faisant mourir Jésus, le Messie, le 14 nisan, le jour de la Pâque. Pour le faire exécuter, ils ne formulèrent pas une accusation d’ordre religieux, mais politique. Ils mêlèrent à cette affaire les représentants du gouvernement impérial romain de la Palestine. Après avoir condamné Jésus sur la base d’une accusation d’ordre religieux, ils l’amenèrent devant le gouverneur romain de la province de Judée. De quoi l’accusèrent-​ils alors ? De sédition. Au cours de l’interrogatoire de l’accusé (Jésus), le gouverneur romain Ponce Pilate lui demanda : “Je ne suis pas Juif, n’est-​ce pas ? Ta propre nation et les principaux prêtres t’ont livré à moi. Qu’as-​tu fait ?” (Jean 18:12-35). Ponce Pilate apprit que Jésus venait de la province de Galilée qui, à l’époque, était sous la juridiction d’Hérode Antipas, le meurtrier de Jean-Baptiste. Cherchant une solution à cette affaire, Ponce Pilate envoya Jésus à Hérode qui se trouvait alors à Jérusalem.

      22 Croyant que Jésus était Jean-Baptiste ressuscité, Hérode Antipas était impatient de le rencontrer. Il espérait le voir opérer un ou plusieurs miracles, mais Jésus refusa d’accéder à sa demande ou de faire quelque chose pour sa défense. Que les prêtres et les scribes l’accusent de tout ce qu’ils voulaient ! Hérode le tourna donc en dérision. Le récit biblique nous dit : “Alors Hérode, ainsi que ses gardes, lui témoignèrent du mépris, et il le tourna en dérision en le revêtant d’un vêtement éclatant et le renvoya à Pilate. Et Hérode et Pilate devinrent amis entre eux ce même jour ; car auparavant ils étaient en inimitié l’un avec l’autre.” — Luc 23:1-12.

      23. Comment les soldats romains se sont-​ils moqués de Jésus ?

      23 Plus tard, lorsque Ponce Pilate céda à la pression religieuse et livra Jésus à ses soldats romains pour qu’ils le mettent à mort sur un poteau de torture, le Messie ou Christ de Jéhovah devint plus que jamais un objet de dérision. C’est ce qu’indique Matthieu 27:27-31, où nous lisons : “Alors les soldats du gouverneur emmenèrent Jésus dans le palais du gouverneur et rassemblèrent auprès de lui l’ensemble des troupes. Et, l’ayant dévêtu, ils le couvrirent d’un manteau écarlate, et ils tressèrent une couronne d’épines et la placèrent sur sa tête, avec un roseau dans sa main droite. Et, s’agenouillant devant lui, ils le tournèrent en dérision en disant : ‘Bonjour, Roi des Juifs !’ Et lui crachant dessus, ils prirent le roseau et en frappaient sa tête. Enfin, quand ils l’eurent tourné en dérision, ils lui ôtèrent le manteau et lui remirent ses vêtements de dessus et l’emmenèrent pour être mis au poteau.”

      24. Comment les chefs religieux se sont-​ils moqués de Jésus lorsqu’il était pendu au bois ?

      24 Lorsque Jésus fut cloué au poteau, les passants parlèrent en mal de lui, en hochant la tête, et le couvrirent de sarcasmes. “Pareillement les principaux prêtres aussi, ainsi que les scribes et les aînés, le tournaient en dérision en disant : ‘Il en a sauvé d’autres ; il ne peut se sauver lui-​même ! Il est Roi d’Israël ; qu’il descende maintenant du poteau de torture et nous croirons en lui. Il a mis sa confiance en Dieu ; qu’Il le secoure maintenant, s’Il a besoin de lui, car il a dit : ‘Je suis Fils de Dieu.’’” — Mat. 27:39-43.

      25. Après avoir pris quelles précautions concernant le tombeau de Jésus les chefs religieux pouvaient-​ils se réjouir ?

      25 Ainsi, Jésus, le Messie et le Fils de Dieu, mourut objet de risée. Le jour après sa mort et son ensevelissement dans un tombeau voisin, les principaux prêtres et les Pharisiens manifestèrent tout leur mépris et révélèrent leur dessein d’empêcher toute disparition du corps du Christ de son tombeau en disant à Ponce Pilate : “Seigneur, nous nous sommes souvenus que cet imposteur a dit, alors qu’il était encore en vie : ‘Après trois jours je dois être ressuscité.’ Ordonne donc que le tombeau soit tenu en sûreté jusqu’au troisième jour, pour que ses disciples ne viennent pas le dérober et ne disent au peuple : ‘Il a été ressuscité des morts !’ et cette dernière imposture sera pire que la première.” Le gouverneur romain se plia de nouveau à leur volonté et leur ordonna de sceller le tombeau et de le faire garder (Mat. 27:62-66). Les chefs religieux devaient rire et être dans l’allégresse.

  • Montrons aux hommes menacés la voie de la sécurité
    La Tour de Garde 1969 | 15 avril
    • Montrons aux hommes menacés la voie de la sécurité

      LA PLUPART des gens ignorent la pire des menaces auxquelles leur vie et leur sécurité sont actuellement exposées. Quelle est cette menace ?

      Il s’agit de la destruction éternelle par Dieu de ceux qui partagent la responsabilité du sang versé par les nations, et le temps de cette exécution est proche. En effet, dans Isaïe 26:21 (Jé), nous lisons : “Car voici que Yahvé va sortir de sa demeure pour punir de leurs crimes tous les habitants de la terre. La terre dégorgera son sang et cessera de couvrir ses égorgés.” D’autre part, dans Révélation 19:11-16, l’apôtre Jean nous montre Jésus-Christ, la Parole de Dieu, se mettant en route pour exécuter la vengeance.

      Que faut-​il faire pour échapper à la destruction éternelle dont l’Exécuteur de Jéhovah va frapper les habitants de la terre ? Il faut d’abord reconnaître que l’on partage, dans un certain sens, la responsabilité du sang versé, puis se repentir et ensuite se convertir en changeant d’état d’esprit et en suivant la voie de la justice. Il faut se séparer de toutes les organisations, politiques ou religieuses, qui se sont chargées d’une dette de sang. De plus, il faut exercer la foi dans le sang du Christ et se vouer à Dieu pour faire sa volonté. L’apôtre Jean écrivit à ce propos : “Le sang de Jésus, son Fils, nous purifie de tout péché.” (I Jean 1:7). Tous ceux qui ont exercé cette foi peuvent dire avec le psalmiste : “Jéhovah, toi seul, tu me fais habiter dans la sécurité.” — Ps. 4:9, AC 4:8, NWa.

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