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    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • “connaissent” sa voix en ce sens qu’ils reconnaissent et acceptent comme étant la vérité ce que Jésus a dit, tel que cela est consigné dans la Bible. Ils refusent de recevoir l’enseignement des “étrangers”, les faux bergers. Ils “écoutent” sa voix en obéissant à ses commandements ainsi qu’ils sont exposés dans les Écritures (Jean 15:10, 15). Puisque Jésus Christ est le principal Représentant de Dieu, qu’il écoute toujours la voix de Jéhovah et dit ce que son Père lui ordonne de dire, celui qui suit le Christ sera en union avec Jéhovah. — Jean 5:19; I Jean 2:6.

      La voix de Jésus Christ ressuscité

      Après sa résurrection et son ascension, le Christ apparut à Saul de Tarse (qui devint plus tard l’apôtre Paul) et lui parla d’une voix que Saul comprit, mais que les hommes qui l’accompagnaient ne comprirent pas (Actes 9:1-9; 22:6-11; 26:12-18). En Actes 9:7, le récit rapporte que les hommes qui étaient avec Saul entendirent “une voix [“le son de la voix”, Crampon 1905]”. C’est le mot grec phônês, génitif de phônê, qui est employé ici avec le sens de ‘[son] de la voix’. Cela peut signifier que les hommes n’entendirent que le son de la voix, mais qu’ils ne comprirent rien. Quand Paul raconta plus tard ce qui lui était arrivé, il déclara que les hommes ‘n’ont pas entendu la voix de celui qui lui parlait’. (Actes 22:9.) Dans ce récit, le mot phônên est à l’accusatif (complément d’objet). Cela peut vouloir dire que, alors que le son parvint à leurs oreilles, ils ne purent analyser la voix de manière à comprendre des mots distincts, comme ce fut le cas pour Paul à qui le Christ s’adressait.

      Écrivant à la congrégation de Thessalonique, l’apôtre Paul déclara à propos du rassemblement des saints, oints de l’esprit de Dieu: “Le Seigneur [Jésus Christ] lui-​même, avec un appel de commandement, avec une voix d’archange et avec la trompette de Dieu, descendra du ciel.” (I Thess. 4:16). Le mot “archange” signifie “ange en chef” ou “ange principal”. L’expression employée par Paul, “une voix d’archange”, attire manifestement l’attention sur l’autorité avec laquelle Jésus exprime son commandement. Quand il était sur la terre, Jésus révéla quelle autorité Dieu lui avait déléguée, en déclarant: “De même, en effet, que le Père a la vie en lui-​même, ainsi a-​t-​il donné aussi au Fils d’avoir la vie en lui-​même. Et il lui a donné le pouvoir de juger, parce qu’il est Fils de l’homme. (...) l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux commémoratifs entendront sa voix et sortiront.” — Jean 5:26-29.

      LA VOIX HUMAINE

      La voix, tout comme le langage, est un don divin. En conséquence, elle devrait servir à louer Dieu. On peut le faire en parlant “des choses magnifiques de Dieu”, en édifiant autrui à l’aide de sa Parole de vérité ou en chantant des louanges et des actions de grâces. — Actes 2:11; Ps. 42:4; 47:1; 98:5; Éph. 5:19; Col. 3:16.

      Dieu entend la voix de ses serviteurs

      Ceux qui servent Dieu avec l’esprit et la vérité peuvent invoquer Dieu en étant assurés qu’il entend leur voix, quelle que soit la langue dans laquelle ils le prient. Qui plus est, même si on ne le prie pas à voix haute, mais qu’on lui adresse une requête silencieuse, Dieu, qui connaît le cœur des hommes, “entend”, c’est-à-dire prête attention (Ps. 66:19; 86:6; 116:1; I Sam. 1:13; Néh. 2:4). Dieu entend les affligés qui crient au secours vers lui. Il entend également la voix et connaît les intentions des hommes qui s’opposent à lui et qui méditent le mal contre ses serviteurs. — Gen. 21:17; Ps. 55:18, 19; 69:33; 94:9-11; Jér. 23:25.

      LES CHOSES INANIMÉES

      Nombre des créations de Dieu n’émettent pas de sons vocaux; pourtant le mot hébreu qôl (“voix”, “son”) est utilisé pour décrire le témoignage muet qu’elles apportent à la majesté de leur Créateur (Ps. 19:1-4). Il est dit de la sagesse personnifiée qu’“elle fait retentir sans trêve sa voix” sur les places publiques, car elle est accessible à tous ceux qui la cherchent. De plus, Dieu a fait proclamer la sagesse devant tous, afin qu’il n’y ait pas d’excuse pour celui qui n’écoute pas. — Prov. 1:20-30.

      USAGE FIGURÉ

      L’angoisse des habitants de Jérusalem, qui subissaient l’attaque babylonienne, est comparée à la voix angoissée d’une femme malade, “la voix de la fille de Sion”, semblable à celle d’une femme mettant au monde son premier enfant (Jér. 4:31). L’ennemi allait réduire Jérusalem à un tel état d’abaissement que sa voix semblerait monter de la poussière et ressemblerait à la voix basse d’un médium (És. 29:4). Par l’intermédiaire du prophète Jérémie, Dieu prophétisa également que l’Égypte serait vaincue par les Babyloniens, qui viendraient en force comme des bûcherons pour l’abattre. Elle serait étendue sur le sol, profondément humiliée, pleurant doucement et gémissant, sa “voix”, ou les sons qu’elle prononcerait, étant basse “comme celle d’un serpent”. — Jér. 46:22.

  • Vol
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      {Article non traduit.}

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      {Article non traduit.}

  • Voleur
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    • VOLEUR

      Personne qui s’approprie délibérément ce qui appartient à autrui sans sa permission; plus particulièrement, personne qui pratique la fraude et la tromperie, ou qui dérobe en secret. Les façons de faire des voleurs d’autrefois n’étaient guère différentes de celles d’aujourd’hui. Ils opéraient habituellement la nuit (Job 24:14; Jér. 49:9; Mat. 24:43; Luc 12:39; Jean 10:10; I Thess. 5:2-5; II Pierre 3:10; Rév. 3:3; 16:15) et pénétraient le plus souvent dans les maisons par la fenêtre (Joël 2:9). Quant aux brigands et aux voleurs de grand chemin, ils se tenaient en embuscade dans des endroits isolés, pour fondre sur leurs victimes là où elles n’auraient virtuellement personne pour les secourir. Bien souvent, ils n’hésitaient pas à employer la violence ou la menace, ni à mettre en danger la vie de ceux qu’ils dépouillaient de leurs objets de valeur. — Juges 9:25; Luc 10:30, 36; II Cor. 11:26.

      Dans les langues originales, le terme rendu par “dépouiller” peut aussi signifier refuser à quelqu’un ce qui lui appartient de droit, obtenir quelque chose par la fraude ou garder pour soi ce que l’on devrait donner aux autres, et le mot “brigand” peut désigner celui qui commet de telles choses. Parce qu’ils ne payaient pas la dîme pour soutenir le vrai culte qui se pratiquait au temple, les Juifs du temps de Malachie ‘dépouillaient Dieu’. (Mal. 3:8, 9.) Quand Proverbes 28:24 dit d’un fils qu’il dépouille son père et sa mère, cela signifie vraisemblablement que, d’une certaine manière, il prive ses parents de ce qui leur appartient légitimement. Jésus

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