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  • Comme Jéhovah, continuez d’aller de l’avant, les yeux fixés sur l’avenir
    La Tour de Garde 1975 | 15 mai
    • à ce que nos besoins matériels soient satisfaits (Mat. 6:33) ? Nous ne devons pas non plus nous inquiéter à l’excès des conditions matérielles qui existeront dans le nouveau système de choses. Si cela était important, Jéhovah en aurait parlé dans sa Parole. Nous savons que ce ne sont pas les biens matériels ni le grand confort qui rendent les gens heureux aujourd’hui. Les serviteurs de Jéhovah sont les gens les plus heureux de la terre. Or, la plupart d’entre eux sont pauvres pour ce qui est des choses auxquelles le présent monde accorde une grande importance. Nous pouvons être certains que dans le nouveau système de choses nous ne manquerons de rien sur le plan matériel. Fait beaucoup plus important, nous recevrons de nombreuses bénédictions spirituelles et nous serons riches en amis et en compagnons adorateurs du seul vrai Dieu Jéhovah qui tous produiront les fruits de son esprit. — Ps. 133:1 ; Gal. 5:22, 23 ; I Tim. 6:17.

      22. Dans quels domaines et de quelle manière pouvons-​nous aller de l’avant avec Jéhovah ?

      22 D’ici là, la possibilité nous est donnée de continuer à aller de l’avant en consolidant nos relations avec Jéhovah, en croissant dans l’amour pour ceux qui nous sont apparentés dans la foi et en conformant toujours plus notre vie à la volonté divine. L’étude individuelle, la prière, la fréquentation des réunions de la congrégation et la mise en pratique diligente des choses apprises contribuent dans une large mesure à nos progrès spirituels. Si nous profitons des dispositions prises par Jéhovah pour nous permettre de continuer à progresser sur le plan spirituel, non seulement nous fortifierons notre espérance, mais nous serons incités à saisir toutes les occasions pour aider d’autres personnes à entretenir cette espérance et à y conformer leur vie. Si nous progressons dès maintenant, nous serons mieux à même de cultiver l’attitude nécessaire pour croître vers la perfection pendant le règne millénaire du Christ et de son épouse. Continuons donc à aller de l’avant.

      23. Quelle assurance Paul nous donne-​t-​il dans Hébreux 6:10, 11, et pourquoi ?

      23 Jéhovah réalisera son dessein et ses promesses. Sa Parole ne retournera pas à lui sans résultats. Nous pouvons en avoir la certitude. Comme Paul nous en donne l’assurance, Dieu n’est pas injuste et n’oubliera pas tout ce que nous avons “fait pour l’amour de son nom”. Continuons donc à montrer “le même intérêt diligent, jusqu’à ce que [notre] espérance soit finalement réalisée”. — Héb. 6:10, 11, New English Bible.

  • Y a-t-il un temps pour juger ?
    La Tour de Garde 1975 | 15 mai
    • Y a-​t-​il un temps pour juger ?

      “CESSEZ de juger, afin que vous ne soyez pas jugés.” Voilà ce que Jésus déclara à une foule d’auditeurs (Mat. 7:1). Voulait-​il dire qu’on ne peut porter aucun jugement d’aucune sorte, ou bien y a-​t-​il des moments où il est tout à fait convenable de prononcer un jugement sans risquer soi-​même d’être jugé défavorablement par Dieu ?

      La Bible montre clairement que certaines situations au sein de la congrégation des serviteurs voués à Dieu exigent qu’un jugement soit prononcé. Par exemple, les aînés peuvent être appelés à juger certains de leurs compagnons qui pratiquent un péché grave (I Cor. 6:1-6). Ils doivent alors déterminer si ces pécheurs sont sincèrement repentants et s’ils désirent vivre en harmonie avec les principes bibliques. Si ces transgresseurs ne sont pas repentants, les aînés doivent obéir à ce commandement des Écritures : “Ôtez le méchant du milieu de vous.” — I Cor. 5:13.

      Notons cependant que lorsqu’ils jugent de tels pécheurs non repentants, les aînés agissent conformément à un jugement déjà prononcé dans la Parole de Dieu. Ils ne prononcent pas un jugement personnel fondé sur leur propre opinion. Un tel jugement serait dangereux, car on permettrait à des préjugés personnels d’influencer la décision.

      Les aînés doivent aussi jauger certains chrétiens, afin de voir s’ils ont les qualités requises pour être serviteurs ministériels ou aînés dans la congrégation. Là encore, ils ne doivent pas juger en fonction de leur point de vue personnel, mais d’après la Parole de Dieu. Il faut que les aînés soient convaincus que les chrétiens qu’ils recommandent ou qui assument actuellement des fonctions ministérielles ont vraiment les qualités requises par les Écritures.

      Si maintenant des aînés ont à émettre de sérieuses réserves fondées sur la Bible, ils doivent avoir le courage de les exprimer même si la personne concernée est présente. Un aîné pourrait parfois hésiter à le faire parce que la majorité s’est déjà prononcée en faveur de la recommandation d’un certain chrétien. Mais cela ne serait pas sage. Les autres aînés peuvent ignorer certains facteurs déterminants qui permettent de juger si un chrétien remplit vraiment les conditions requises par la Bible pour recevoir telle ou telle responsabilité. Il se peut que l’aîné revienne sur ses réserves après un examen complémentaire de la question. Quoi qu’il en soit, il est préférable de laisser s’exprimer tout de suite sa conscience instruite dans la Bible plutôt que de regretter plus tard de n’avoir rien dit s’il s’avère que cette recommandation n’était pas sage. — I Tim. 5:22.

      Dans certains cas, les chrétiens doivent décider personnellement si tel ou tel membre de la congrégation constitue une bonne fréquentation pour eux-​mêmes ou pour leurs enfants (I Cor. 15:33). Mais ils doivent veiller à se laisser guider par un jugement déjà exprimé dans la Bible et non par des motifs égoïstes. Aucun chrétien, pas même un aîné, n’est autorisé à porter un jugement selon ses critères personnels.

      Dans sa lettre à la congrégation de Thessalonique, l’apôtre Paul parla de la manière d’agir lorsque certaines personnes manifestent un mauvais état d’esprit. Des membres de la congrégation étaient paresseux. Ils abusaient de l’hospitalité de leurs frères chrétiens et se mêlaient de choses qui ne les regardaient pas (II Thess. 3:11, 12). Parlant de l’attitude que les membres de cette congrégation devaient adopter individuellement envers celui qui continuait dans cette mauvaise voie, Paul écrivit : “Notez-​le et cessez de le fréquenter, pour qu’il soit pris de honte. Ne le considérez pourtant pas comme un ennemi, mais continuez à l’affermir comme un frère.” — II Thess. 3:14, 15.

      Noter une personne parce qu’on ne doit pas la fréquenter dans des réunions de détente exige qu’on la jauge, qu’on la juge. Cependant, une telle appréciation est un jugement de valeur, car il est motivé par le désir d’aider cette personne à changer de conduite. En même temps, cela évite à ceux qui cessent de la fréquenter de subir une mauvaise influence.

      Les parents doivent tout particulièrement veiller à cela quand ils aident leurs enfants à comprendre que même dans la congrégation il peut y avoir des personnes qu’il n’est pas sage de fréquenter parce qu’elles sont très influencées par le monde.

      Toutefois, si un chrétien juge une autre personne en fonction de critères personnels, il se livre alors à une appréciation non autorisée. En prenant sur lui de juger cette personne en fonction de ses critères personnels, il se place dans une situation très grave vis-à-vis de Dieu. C’est ce que montra le disciple Jacques en disant : “Celui qui parle contre un frère ou juge son frère parle contre la loi et juge la loi. Or si tu juges la loi, tu es non pas une personne qui pratique la loi, mais un juge. Un seul est législateur et juge : celui qui peut sauver et détruire. Mais toi, qui es-​tu

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