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  • Blatte
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • vêtements et meubles, elle peut très bien être l’insecte désigné par le mot hébreu ḫâsil. — I Rois 8:37; II Chron. 6:28; Ps. 78:46; És. 33:4; Joël 2:25.

  • Blé
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    • BLÉ

      Céréale de première importance qui, depuis des siècles, tient une place prépondérante dans la nourriture de l’homme, et qui, dans le passé comme en des temps moins reculés, a parfois été vendue deux fois et même trois fois plus cher que l’orge (comparez avec II Rois 7:1, 16, 18; Révélation 6:6). Le blé seul ou mélangé à d’autres céréales servait à faire du pain (Ex. 29:2; Ézéch. 4:9). On mangeait les grains de blé tels quels (Mat. 12:1), et on en faisait du gruau en broyant les grains. En particulier, les épis verts étaient rôtis au feu (Lév. 2:14; II Sam. 17:28). Le blé servait de tribut que l’on exigeait des nations ou tribus vaincues (II Chron. 27:5), et il figurait parmi les offrandes faites à Jéhovah. — I Chron. 23:29; Esdras 6:9, 10.

      La plante, quand elle commence à lever, ressemble à de l’herbe et elle est d’un vert lumineux. Le blé arrivé à maturité mesure entre 0,60 et 1,5 mètre de haut et sa couleur est blonde. Ses feuilles sont longues et minces et la tige se termine par un épi gorgé de grains. L’une des variétés de blé cultivé dans l’Égypte antique, et qui s’y trouve encore aujourd’hui, comporte plusieurs épis par tige (comparez avec Genèse 41:22, 23). L’espèce de blé généralement cultivée en Palestine aux temps modernes, et vraisemblablement dans les temps bibliques aussi, est le blé à épis barbus.

      Conformément à la promesse divine, les Israélites découvrirent que la Palestine était un pays de blé et d’orge (Deut. 8:8; 32:14; Ps. 81:16; 147:14). Non seulement ils recueillaient assez de céréales pour leurs besoins propres, mais ils avaient de quoi exporter (II Chron. 2:8-10, 15). Au temps d’Ézéchiel, les produits de Juda et d’Israël, y compris “le blé de Minnith”, étaient échangés à Tyr. — Ézéch. 27:17.

      On semait le blé en Palestine à peu près en même temps que l’orge, au mois de Bul (octobre-​novembre), après que les premières pluies d’automne avaient suffisamment amolli la terre pour ensemencer (És. 28:24, 25). La moisson du blé suivait celle de l’orge (Ruth 2:23; comparez avec Exode 9:31, 32); et elle était étroitement liée à la fête des Semaines ou Pentecôte qui avait lieu au mois de Sivan (mai-​juin) et à l’occasion de laquelle on offrait à Jéhovah comme offrande balancée deux pains fermentés faits de fleur de farine (Ex. 34:22; Lév. 23:17). Une fois que le blé avait été battu, vanné et passé au crible, on le stockait généralement dans des fosses creusées dans le sol, pratique à laquelle il est probablement fait allusion en Jérémie 41:8.

      La Bible fait également un emploi allégorique du blé pour représenter symboliquement les personnes que Jéhovah agréé, “les fils du royaume”. (Mat. 3:12; 13:24-30, 37, 38; Luc 3:17.) Jésus et l’apôtre Paul prirent l’exemple du blé pour figurer la résurrection (Jean 12:24; I Cor. 15:35-38). Enfin, Jésus compara au criblage du blé l’épreuve qui allait s’abattre sur ses disciples par suite des tribulations qu’il allait lui même devoir endurer. — Luc 22:31.

  • Bleu
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    • BLEU

      {Article non traduit.}

  • Boanergès
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    • BOANERGÈS

      {Article non traduit.}

  • Boaz, I
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    • BOAZ, I

      (peut-être en force).

      Propriétaire terrien de Bethléhem en Juda, “un homme puissant par la fortune”, qui vivait au quatorzième siècle avant notre ère. Fils de Salma (Salmon) et de Rahab, Boaz devint père d’Obed (Mat. 1:5). Il fut un des maillons de la lignée qui aboutit au Messie, le septième depuis Juda (I Chron. 2:3-11; Luc 3:32, 33). Le livre de Ruth a conservé jusqu’à nos jours le récit des événements hors du commun qui permirent à Boaz de combler la brèche qui menaçait d’interrompre la lignée menant à Jésus.

      Tout au long de ce récit, depuis sa première salutation bienveillante à l’adresse des travailleurs jusqu’au moment où il accepta la responsabilité de préserver le nom d’Élimélech, Boaz est présenté comme un personnage remarquable, un homme d’action qui, tout en détenant une certaine autorité, se montre néanmoins maître de lui-​même, généreux, bon et moralement pur, un homme fidèle, qui exerce la foi et obéit aux commandements de Jéhovah quels qu’ils soient.

  • Boaz, II
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    • BOAZ, II

      L’une des deux énormes colonnes de cuivre érigées devant le portique du glorieux temple de Salomon, et qui était située au nord. On la nomma Boaz, nom qui signifie peut-être “en force”. L’autre colonne, au sud, fut appelée Jakin, ce qui signifie “Il établira solidement”. En associant les deux significations et en les lisant de droite à gauche, en regardant vers l’est, on obtient la pensée suivante: ‘Jéhovah établira solidement en force.’ — I Rois 7:15-21.

  • Bochim
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    • BOCHIM

      {Article non traduit.}

  • Bœuf
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    • BŒUF

      Voir TAUREAU.

  • Bohan
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    • BOHAN

      {Article non traduit.}

  • Bois de senteur
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    • BOIS DE SENTEUR

      {Article non traduit.}

  • Boisson enivrante
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    • BOISSON ENIVRANTE

      {Article non traduit.}

  • Boisson enivrante, forte
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    • BOISSON ENIVRANTE, FORTE

      Voir VIN, BOISSON FORTE.

  • Boiteux, claudication
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    • BOITEUX, CLAUDICATION

      Handicap physique empêchant une personne de marcher normalement. Cette infirmité est parfois congénitale (Actes 3:2; 14:8), mais elle est le plus souvent due à un accident ou à une maladie.

      Un boiteux ne pouvait pas servir dans la prêtrise aaronique, mais il lui était cependant permis de manger la nourriture réservée aux prêtres (Lév. 21:16-23). Jéhovah énonça des conditions rigoureuses concernant l’état physique des prêtres, car ceux-ci le représentaient dans son sanctuaire devant tout le peuple. Christ, le Grand Prêtre par excellence, était “fidèle, sans malice, immaculé, séparé des pécheurs”. (Héb. 7:26.) La Loi interdisait également d’offrir en sacrifice un animal boiteux. — Deut. 15:21; Lév. 22:19, 20; comparez avec Romains 12:1.

      LA CLAUDICATION DE JACOB

      Quand il avait environ 97 ans, Jacob lutta un jour à bras-le-corps avec un ange de Dieu matérialisé, et ce pendant toute une nuit. Il parvint à retenir l’ange jusqu’à ce que celui-ci le bénît. Dans la lutte, l’ange toucha la cavité de la jointure de la cuisse de Jacob et la démit, ce qui rendit le patriarche boiteux (Gen. 32:24-32; Osée 12:2-4). Cette infirmité rappela par la suite à Jacob que bien qu’il ait “lutté avec Dieu [l’ange de Dieu] et avec les hommes, si bien qu’à la fin [il l’a] emporté”, en réalité il n’avait pas vaincu le puissant ange de Dieu. Si Jacob lutta contre l’ange, c’est parce que Dieu le lui permit. Il put ainsi démontrer qu’il était extrêmement conscient de la nécessité d’être béni par Jéhovah.

      DES ÉGARDS POUR LES BOITEUX

      Les Écritures nous apprennent à avoir des égards pour les boiteux. Job fait remarquer que même lorsqu’il jouissait de la prospérité, ‘il était des pieds pour le boiteux’. (Job 29:15.) Jésus et ses disciples éprouvaient de la compassion pour les malades et les boiteux, et ils en guérirent un grand nombre. — Mat. 11:4, 5; 15:30, 31; 21:14; Actes 3:1-10; 8:5-7; 14:8-10.

      EXEMPLES ET IMAGES

      Pour illustrer leur confiance fanfaronne en la sécurité que leur offrait leur citadelle, les Jébusites adressèrent ces paroles provocantes à David: “‘Tu n’entreras pas ici, mais les aveugles et les boiteux t’en écarteront à coup sûr’, car ils se disaient: ‘David n’entrera pas ici.’” Peut-être ont-​ils effectivement placé des aveugles et des boiteux sur la muraille pour la défendre, comme l’affirme Josèphe. Cela expliquerait pourquoi David déclara: “Quiconque frappera les Jébusites, qu’il atteigne, par le moyen du tunnel d’eau, les boiteux comme les aveugles, qui sont odieux à l’âme de David!” Ces boiteux et ces aveugles étaient le symbole de l’insulte que lui avaient faite les Jébusites et, ce qui était plus grave encore, de leurs sarcasmes à l’égard des armées de Jéhovah. Une telle arrogance inspirait à David de la haine pour les Jébusites, y compris pour leurs boiteux et leurs aveugles. Il est d’ailleurs possible que ce soient les chefs Jébusites eux-​mêmes qu’il appela par dérision “les boiteux” et “les aveugles”. — II Sam. 5:6-8.

      On dit d’une personne qu’elle claudique, boite ou trébuche au sens figuré quand elle se montre hésitante ou inconstante dans sa façon de diriger sa vie, dans ses voies ou encore dans son langage. Lorsqu’il avertit Job des dangers dont il le croyait menacé, Bildad déclara au sujet de celui qui s’engage dans une mauvaise voie: “Le désastre se tient prêt à le faire boiter.” (Job 18:12). Dans le même ordre d’idée, David et Jérémie déclarèrent que leurs ennemis attendaient que leurs pieds titubent, qu’ils guettaient leur claudication, afin que, comme le disaient les adversaires de Jérémie, “nous l’emportions sur lui et que nous nous vengions sur lui”. (Jér. 20:10; Ps. 38:16, 17.) Les ennemis de Jésus Christ souhaitaient le voir trébucher ou boiter dans ses paroles, afin de le prendre au piège. — Mat. 22:15.

      Paroles proverbiales

      “Comme celui qui se mutile les pieds [ce qui le rendrait boiteux], comme celui qui boit la violence, déclara le sage roi Salomon, tel est celui qui fourre l’affaire dans la main d’un homme stupide.” Assurément, l’homme qui confierait à une personne stupide la réalisation de l’un quelconque de ses projets nuirait gravement à ses propres intérêts. Il verrait à coup sûr ses plans s’effondrer, ce qui lui serait préjudiciable. — Prov. 26:6.

      Le livre des Proverbes poursuit avec une comparaison du même ordre: “Les jambes du boiteux vont-​elles puiser de l’eau? Alors, il y a un proverbe dans la bouche des stupides.” (Prov. 26:7). Dans les temps anciens, et plus particulièrement dans les villes situées sur une hauteur, il fallait souvent descendre par une échelle ou par un long escalier pour aller puiser de l’eau dans un puits. Il était aussi improbable d’entendre sortir des paroles véridiques, claires et sages de la bouche d’un homme stupide que de voir un boiteux aller puiser de l’eau dans ce genre de puits. Le stupide qui voudrait prononcer ou citer un proverbe serait aussi maladroit et inefficace qu’un boiteux qui essaierait de transporter de l’eau en montant un escalier.

      L’ancienne nation de Dieu

      Parlant de la restauration de son peuple, Jéhovah promit de le fortifier pour qu’il puisse quitter Babylone et entreprendre le voyage dangereux qui le ramènerait à Jérusalem alors en ruines. Il ferait disparaître toute hésitation ou indécision, toute claudication spirituelle. Par l’entremise du prophète Ésaïe, Dieu encouragea ainsi son peuple: “En ce temps-​là le boiteux grimpera comme le cerf.” (És. 35:6). La nation de Dieu avait boité et était tombée en captivité, mais “en ce jour-​là, déclara Jéhovah, je rassemblerai celle qui boitait. (...) Et, à coup sûr, de celle qui boitait je ferai un reste, et de celle qui était repoussée au loin, une nation puissante”. — Michée 4:6, 7; Soph. 3:19.

      Jéhovah réconforta encore son peuple en lui promettant que lui, son Roi, le protégerait de ses agresseurs. Il décrivit l’impuissance des ennemis de Sion en les comparant à un bateau dont les cordages sont détendus, le mât branlant et dépourvu de voiles. Puis il ajouta: “En ce temps-​là, on devra partager les dépouilles [de l’ennemi] en abondance; les boiteux eux-​mêmes prendront un gros butin.” Même ceux qui, habituellement, n’étaient pas capables de participer à la prise du butin seraient, à cette époque-​là, assez forts pour y prendre part. — És. 33:23.

      Des égards pour les boiteux spirituels

      Le rédacteur chrétien de la lettre aux Hébreux fit remarquer que beaucoup parmi eux n’étaient pas mûrs spirituellement et auraient dû mieux progresser (Héb. 5:12-14). Puis, après avoir parlé de la discipline, il ajouta: “Pour vos pieds continuez à faire des sentiers droits, afin que ce qui est boiteux ne se disloque pas, mais plutôt guérisse.” (Héb. 12:13). Même les plus forts doivent veiller attentivement à la façon dont ils marchent dans la voie chrétienne, afin d’éviter que ceux qui sont plus faibles, les “boiteux” spirituels, trébuchent ou se blessent. Ceux qui sont forts dans la foi n’useront pas de leur liberté spirituelle pour faire certaines choses qui, bien qu’étant autorisées, risqueraient de faire trébucher ceux dont la foi est plus faible. — Rom. 15:1.

      L’apôtre Paul illustre ce principe par un exemple concernant le manger et le boire (Rom. 14:13-18, 21). Il donne notamment ce conseil: “Prenez (...) la décision que voici: de ne rien mettre devant un frère qui soit une pierre d’achoppement ou une cause de faux pas.” Il ajoute: “C’est bien de ne pas manger de chair, ou de ne pas boire de vin, ou de ne rien faire sur quoi ton frère trébuche.” — Comparez avec I Corinthiens 8:7-13.

      D’autre part, comme le montre l’apôtre, le chrétien devrait, spirituellement parlant, fortifier ses “jambes”, afin de ne pas boiter ni trébucher à cause de certaines circonstances ou de la conduite d’autrui. Il veillera à devenir fort pour continuer à avancer d’un pas ferme dans la voie chrétienne. Paul déclare: “Que celui qui mange ne méprise pas celui qui ne mange pas, et que celui qui ne mange pas ne juge pas celui qui mange, car Dieu l’a accueilli.” (Rom. 14:3). Un psalmiste avait déjà énoncé ce principe: “Une paix abondante appartient à ceux qui aiment ta loi, et pour eux il n’y a pas de pierre d’achoppement.” (Ps. 119:165). Ceux qui aiment la loi de Dieu ne permettront à rien de les faire boiter spirituellement.

      LA GUÉRISON COMPLÈTE

      Les infirmités ont causé bien des larmes. Tout comme Jésus Christ a guéri beaucoup de boiteux et d’estropiés quand il était sur la terre, restaurant même des membres desséchés ou amputés (Marc 3:1, 5; Luc 22:50, 51), de même, grâce au “nouveau ciel”, le Fils de Dieu opérera d’autres guérisons semblables. Il accomplira cette œuvre complètement en qualités de Roi et Grand Prêtre de Dieu, essuyant ainsi toute larme des yeux de l’humanité. — Mat. 8:16, 17; Rév. 21:1, 4.

  • Bokéru
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • BOKÉRU

      {Article non traduit.}

  • Bol
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • BOL

      {Article non traduit.}

  • Bonheur
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • BONHEUR

      (de la racine hébraïque ʼâshar, “proclamer heureux”; gr. makarios, “heureux”).

      Les félicités ou joies décrites dans les livres des Psaumes et des Proverbes, et plus particulièrement celles dont parla Jésus dans son Sermon sur la montagne, sont souvent appelées “béatitudes” ou “bénédictions”. Toutefois, le mot “bonheur” rend plus fidèlement les termes bibliques, car l’hébreu comme le grec ont des mots différents pour parler de bénédictions (héb. bârak, “bénir”; gr. eulogéô, “parler en bien, bénir”). D’autre part, “béni” sous-entend l’action de bénir, alors que “heureux” fait penser à l’état ou à la condition qui résulte de la bénédiction de Dieu. De nombreuses traduction modernes rendent ʼâshar et makarios par “heureux”, “bonheur”. (Jé; Os; TOB; Sg; Ku; BN; MN.) Makarios est traduit par “heureux” en Actes 26:2 et Romains 14:22 dans Jé.

      JÉHOVAH ET JÉSUS CHRIST

      Jéhovah est le “Dieu heureux”, et Jésus Christ son Fils, est appelé “l’heureux et unique Détenteur du pouvoir souverain”. (I Tim. 1:11; 6:15.) Bien que son nom et sa domination aient été contestés par l’introduction de la méchanceté dans le ciel et sur la terre, Jéhovah est sûr que ses desseins se réaliseront; rien ne peut être fait sans sa permission (És. 46:10, 11; 55:10, 11). S’il fait preuve de longanimité en tolérant des conditions qu’il a le pouvoir de faire disparaître, c’est dans un but bien précis et parce qu’il a un dessein en vue; il est donc heureux. — Rom. 9:22-24.

      Le psalmiste s’exclame: “La gloire de Jéhovah sera jusqu’à des temps indéfinis. Jéhovah se réjouira en ses œuvres.” (Ps. 104:31). De tous ceux qui font des dons, Dieu est le plus grand et le plus excellent. Il ne renonce jamais à sa générosité, à sa miséricorde ou à son amour pour devenir amer à cause de l’ingratitude de ses créatures (Jacq. 1:17). Jésus Christ, son Fils, accorde toute sa confiance à son Père et fait toujours ce qui lui plaît, et il en est heureux (Jean 8:29). Même quand il endurera des épreuves et des souffrances, Jésus ressentit une joie intérieure très profonde. — Héb. 12:2; comparez avec Matthieu 5:10-12.

      LA SOURCE DU BONHEUR

      Toutes les félicités que promet la Bible découlent de bonnes relations avec Dieu. Elles ne peuvent être partagées qu’à la condition de l’aimer et de le servir fidèlement. On ne peut atteindre le bonheur véritable en désobéissant à Dieu. Sa bénédiction est nécessaire pour être heureux, car elle est un de ses ‘beaux dons’ et de ses ‘présents parfaits’.

      On ne trouve pas le bonheur en amassant des bien matériels ou en recherchant le pouvoir. Jésus déclara: “Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir.” (Actes 20:35). À celui qui montre des égards pour le petit, qui est heureux de donner, Dieu fait cette promesse: “Jéhovah lui-​même le gardera et le conservera en vie. Il le proclamera heureux sur la terre.” (Ps. 41:1, 2). La connaissance de Jéhovah, la sagesse qui vient de lui et même la correction et la discipline qu’il inflige sont autant de choses qui contribuent au vrai bonheur (Prov. 2:6; 3:13, 18; Ps. 94:12). L’homme vraiment heureux se confie en Jéhovah (Prov. 16:20), fait ses délices de sa loi et marche selon celle-ci (Ps. 1:1, 2; 112:1); il observe le droit (Ps. 106:3) et craint Dieu. — Ps. 128:1.

      UNE NATION HEUREUSE

      le bonheur peut être le lot d’un peuple ou de toute une nation, si celle-ci suit vraiment Jéhovah, le reconnaissant comme Dieu, et obéit à ses lois (Ps. 33:12; 144:15). Après le règne juste de David et tant que Salomon se conforma à la loi de Jéhovah, Juda et Israël connurent la sécurité et le bonheur. “[Ils] étaient nombreux, comme les grains de sable qui sont au bord de la mer, en multitude; on mangeait, et l’on buvait, et l’on se réjouissait.” (I Rois 4:20, 25; 10:8; II Chron. 9:7). Cela démontre l’heureuse influence d’une domination juste sur une nation (comparez avec Proverbes 29:2, 18). Jésus énonça clairement la condition requise pour que la nation d’Israël fût heureuse. Aux Juifs nationalistes, qui s’imaginaient constituer la ‘nation heureuse

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