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  • Porte
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    • était boiteux depuis la matrice de sa mère (Actes 3:1-10). Il existe une tradition qui identifie cette porte à l’actuelle Porte Dorée percée dans la muraille de la ville, mais il est possible que la Belle Porte ait été une porte intérieure de l’enceinte du temple correspondant peut-être à l’ancienne “Porte de l’Est”. Certains disent que ce pouvait être l’une des portes situées à l’est du bâtiment du temple lui-​même et donnant accès à la cour des femmes. Selon Josèphe, cette porte avait 50 coudées (22 m) de haut, et ses vantaux étaient recouverts de cuivre corinthien.

      Les autres portes mentionnées sont “la porte qui se trouve derrière les coureurs” et “la porte des coureurs”. Il s’agit de portes du temple dont l’emplacement est incertain. — II Rois 11:6, 19.

      La porte d’une pièce, d’une maison ou de toute autre construction est constituée des éléments suivants: 1) le linteau, pièce horizontale de bois ou de pierre qui ferme la partie supérieure de l’ouverture et supporte le poids de la maçonnerie se trouvant au-dessus de la baie de porte; 2) les deux montants verticaux situés de part et d’autre de l’entrée et sur lesquels repose le linteau; 3) le battant lui-​même; 4) le seuil ou partie inférieure de la baie de porte.

      La porte était généralement en bois et tournait le plus souvent sur des pivots axés dans des gonds qui étaient fixés sur le linteau et sur un montant (Prov. 26:14). Ces pivots étaient fréquemment en bois. Les portes des maisons ordinaires étaient petites et non ornées.

      On faisait couramment le seuil en bois ou en pierre. Certaines portes d’habitations ou de villes se verrouillaient au moyen de barres ou de traverses de bois ou de fer (És. 45:2; Deut. 3:5; II Chron. 8:5; 14:7). Ces dernières étaient habituellement placées de manière à ce qu’on puisse les coulisser dans les gonds fixés sur les montants. Des heurtoirs métalliques ont été utilisés dans une certaine mesure, mais la Bible ne dit pas précisément que les Hébreux les employaient. Pour appeler les occupants d’une maison, on frappait à la porte de l’habitation ou au portail. — Cant. 5:2; Actes 12:13.

      SENS FIGURÉ

      En Psaume 118:19, 20, on parle des “portes de la justice” et de “la porte de Jéhovah” dans lesquelles les justes entrent (voir Matthieu 7:13, 14). Lorsque quelqu’un mourait, on disait qu’il franchissait les “portes de la mort”. (Ps. 9:13; 107:18.) Il allait dans la tombe commune à tous les hommes; il entrait ainsi dans les portes du Schéol ou Hadès (És. 38:10; Mat. 16:18). Puisque Jésus Christ a les clés de la mort et de l’Hadès (Rév. 1:18), sa congrégation est assurée que ses ennemis ne la garderont pas éternellement prisonnière. L’apôtre Paul montra que tous les membres de cette congrégation meurent et entrent dans l’Hadès comme le Christ. Dieu ne laissa pas son Fils dans l’Hadès, mais dénoua les affres de la mort (Actes 2:24, 31). De plus, en raison de la résurrection certaine des chrétiens fidèles, la mort et l’Hadès n’obtiennent pas la victoire finale sur la congrégation du Christ. — I Cor. 15:29, 36-38, 54-57.

      La ville sainte, la “Nouvelle Jérusalem”, est dépeinte comme ayant douze portes faites chacune d’une seule perle devant laquelle un ange est posté, sans doute pour monter la garde. Ces portes sont toujours ouvertes, car la nuit, qui inciterait à les fermer, n’existe pas. Par les portes de cette ville, on fait passer la gloire et l’honneur des nations. Bien que ces portes restent ouvertes, ceux qui pratiquent des choses méchantes, impures ou immondes ne peuvent les franchir. Seuls ceux qui ont gardé leur pureté en tant que vainqueurs, ceux qui deviennent rois et prêtres avec Christ, sont autorisés à passer la garde angélique (Rév. 21:2, 12, 21-27; 22:14, 15; 2:7; 20:4, 6). Les peuples des nations de la terre qui marchent dans la lumière de la ville sont bénis.

  • Porte, II
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    • PORTE, II

      {Voir PORTE (entrées “Doorway” et “Gate, Gateway” regroupées).}

  • Porte-feu
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    • PORTE-FEU

      Les porte-feu avaient plusieurs usages dans le cadre du service au sanctuaire. Certains d’entre eux, en or, servaient, semble-​t-​il, de récipients pour les bouts de mèches brûlées provenant des lampes du porte-lampes d’or (Ex. 25:38; 37:23; Nomb. 4:9). Ceux de l’autel de l’holocauste, en cuivre, permettaient sans doute de recueillir les cendres et les braises que l’on retirait du feu (Ex. 27:3; 38:3). Des porte-feu étaient aussi utilisés pour faire brûler de l’encens (Lév. 10:1). Tous les matins et entre les deux soirs, le grand prêtre faisait fumer de l’encens parfumé sur l’autel d’or pour l’encens (Ex. 30:7, 8). Enfin, chaque année, le jour des Propitiations, il emportait un porte-feu dans le Très-Saint. Celui-ci correspond certainement à l’“encensoir d’or” dont parle l’apôtre Paul. — Lév. 16:12, 13; Héb. 9:3, 4.

  • Porte-lampe
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    • PORTE-LAMPE

      (héb. menôrah; gr. lukhnia).

      Support destiné à recevoir une ou plusieurs lampes à huile. Bien que la Bible mentionne des porte-lampes dans les foyers ou dans d’autres locaux (II Rois 4:10; Dan. 5:5; Luc 8:16; 11:33), elle parle surtout des porte-lampes associés au vrai culte.

      LE PORTE-LAMPES DU TABERNACLE

      Dans une vision, Jéhovah ordonna à Moïse de faire un porte-lampes ‘d’or pur, martelé’, pour le tabernacle. Avec ses lampes et ses ustensiles, celui-ci devait peser un talent (Ex. 25:31, 39, 40; 37:17, 24; Nomb. 8:4), soit environ 34 kilogrammes.

      Sa forme

      Ce luminaire, situé dans la première partie du tabernacle appelée “le Lieu Saint” (Héb. 9:2), se composait d’une tige centrale d’où partaient six branches recourbées vers le haut, trois de chaque côté. La tige du milieu était décorée de quatre coupes sculptées en forme de fleurs d’amandier, ainsi que de boutons et de fleurs en alternance. On ne peut identifier celles-ci avec certitude, car le mot hébreu utilisé ici peut désigner n’importe quelle fleur. Les branches avaient chacune trois coupes et des boutons et des fleurs en alternance. D’après la description, il semble que les boutons sur la tige centrale se situaient là où partaient les branches. Les lampes étaient placées au sommet de la tige et de ses six branches. Elles brûlaient de l’huile pure d’olives battues. Les accessoires comprenaient des mouchettes, des porte-feu et des vases à huile. — Ex. 25:31-38; 37:18-23; Lév. 24:2; Nomb. 4:9.

      L’exécution du porte-lampes s’effectua sous la direction de Bézalel, de la tribu de Juda, et d’Oholiab, de la tribu de Dan (Ex. 31:1-11; 35:30-35). Ces hommes étaient assurément d’excellents artisans qui avaient peut-être appris leur métier quand ils étaient esclaves en Égypte. Mais, en outre, Jéhovah mit sur eux son esprit pour que le travail soit parfaitement exécuté, exactement selon le modèle qui avait été révélé à Moïse. — Ex. 25:9, 40; 39:43; 40:16.

      Son usage

      Moïse “plaça le porte-lampes dans la tente de réunion en face de la table, sur le côté du tabernacle, au sud”. Il était donc posé le long de la cloison sud de la tente (à gauche quand on entrait), vis-à-vis de la table des pains de présentation. Les lampes éclairaient “l’espace devant le porte-lampes”, illuminant ainsi le Saint qui abritait aussi l’autel de l’encens en or. — Ex. 40:22-26; Nomb. 8:2, 3.

      Quand Moïse eut fini de dresser le tabernacle, le 1er Nisan de l’an 1512 avant notre ère, il illumina les lampes comme Jéhovah le lui avait ordonné (Ex. 40:1, 2, 4, 25). Plus tard, Aaron fit de même (Nomb. 8:3), et à partir de ce moment-​là lui et les grands prêtres qui lui succédèrent disposèrent le porte-lampes “du soir au matin devant Jéhovah constamment”. (Lév. 24:3, 4.) Chaque fois qu’Aaron arrangeait les lampes “matin après matin” et qu’il les allumait “entre les deux soirs”, il offrait aussi de l’encens sur l’autel d’or. — Ex. 30:1, 7, 8.

      LES PORTE-LAMPES DES DIFFÉRENTS TEMPLES

      David donna à Salomon les plans architecturaux du temple, plans qu’il avait reçus sous l’inspiration divine. Ceux-ci comprenaient entre autres des instructions relatives aux porte-lampes d’or et d’argent (I Chron. 28:11, 12, 15, 19). Il y avait dix porte-lampes d’or dans le Saint du temple, “cinq à droite et cinq à gauche”, c’est-à-dire cinq du côté sud et cinq du côté nord quand on faisait face à l’est (I Rois 7:48, 49; II Chron. 4:20). Ils étaient tous faits “selon le même plan”. (II Chron. 4:7.) Ces porte-lampes étaient peut-être beaucoup plus grands que celui du tabernacle, proportionnellement aux dimensions plus vastes du temple et des autres objets qu’il contenait, telle “la mer en métal fondu”. (II Chron. 3:3, 4; I Rois 7:23-26.) Les porte-lampes d’argent servaient sans doute dans les cours ou dans des pièces autres que le Saint et le Très-Saint, car le mobilier de ceux-ci était en or. Comme dans le tabernacle, on allumait les lampes du porte-lampes d’or “soir après soir”, constamment. — II Chron. 13:11.

      Lors de la destruction du temple par les Babyloniens en 607 avant notre ère, les porte-lampes étaient au nombre des objets d’or et d’argent qui furent enlevés de la maison de Jéhovah. — Jér. 52:19.

      Le temple d’Hérode

      Étant donné la magnificence du temple reconstruit par Hérode, il est permis de penser qu’il contenait des porte-lampes aussi beaux et aussi coûteux que ceux du temple de Salomon, bien que les Écritures n’en parlent pas. Qu’un porte-lampes de ce genre existait bien, on en a pour preuve les déclarations de Josèphe et la représentation de ce porte-lampes sur le bas-relief d’une voûte intérieure de l’arc de triomphe de Titus à Rome. Cette sculpture représente en effet certains objets que les Romains avaient emportés de Jérusalem après sa destruction en 70 de notre ère. Josèphe déclare avoir été témoin du cortège triomphal de l’empereur Vespasien et de son fils Titus. Il relate que, dans ce défilé, des hommes portaient “ce chandelier d’or fait avec tant d’art pour le rendre propre à l’usage auquel il était destiné. Car de son pied s’élevait une forme de colonne d’où sortaient, comme à la tige d’un arbre, sept branches cannelées, au bout de chacune desquelles était un chandelier en forme de lampe, et ce nombre [s’élevait à] sept”. — La Guerre des Juifs, traduction d’Arnauld d’Andilly, liv. VII, chap. XVII, par. 3.

      Dans une note en bas de page relative à la description de Josèphe, la traduction anglaise de William Whiston déclare: “Il convient surtout de remarquer ce qui suit: 1) Josèphe dit que le chandelier qui est représenté porté lors du cortège triomphal n’est pas exactement semblable à celui du temple, comme cela ressort du nombre des petits boutons et des fleurs du porte-lampes représenté sur l’arc de triomphe, lequel ne correspond pas vraiment à la description fournie par Moïse en Exode XXV, 31-36. 2) La minceur des branches, signalée par Josèphe, en comparaison de l’épaisseur de celles qu’on voit sur l’arc.”

      Il se peut donc que le porte-lampes représenté sur l’arc de Titus ne soit tout au plus que la conception d’un artiste et qu’elle ne donne qu’une vague idée de l’apparence du porte-lampes original. L’épaisseur des branches, la base massive, les décorations sur celle-ci, sur la tige et sur les branches, tout cela peut être bien différent de ce qu’était l’objet lui-​même.

      USAGE FIGURÉ

      Le prophète Zacharie vit en vision un porte-lampes d’or exceptionnel. Il portait sept lampes, comme celui du tabernacle, mais celles-ci ‘avaient sept conduits’. Les biblistes donnent à cette expression un sens distributif, à savoir qu’il y avait un conduit pour chaque lampe de ce porte-lampes qui était également muni d’un bol à son sommet. C’est apparemment par le moyen de ces conduits que les lampes étaient continuellement alimentées en huile, laquelle provenait de deux oliviers que le prophète vit de part et d’autre du porte-lampes. — Zach. 4:2, 3, 12.

      Par l’intermédiaire de Jésus Christ glorifié, Jéhovah Dieu donna à l’apôtre Jean une vision dans laquelle il vit “sept porte-lampes d’or, et, au milieu des porte-lampes, quelqu’un de semblable à un fils d’homme”. Ce “fils d’homme”, qui, d’après la description qui en est faite, est Jésus Christ, expliqua à Jean que les porte-lampes représentaient sept congrégations (Rév. 1:1, 12, 13, 20). Les porte-lampes de cette vision étaient probablement semblables à celui qui éclairait le tabernacle pour permettre aux prêtres d’y accomplir leur service. Le choix d’un tel objet pour représenter les congrégations est en harmonie avec les paroles que Jésus adressa à ceux qui se sont voués à Dieu pour être ses serviteurs: “Vous êtes la lumière du monde.” (Mat. 5:14). Étant, lui-​même, “celui qui marche au milieu des sept porte-lampes d’or”, Jésus surveille toutes leurs activités en tant que porteurs de lumière. — Rév. 2:1.

      Dans son message aux membres de la congrégation d’Éphèse, le Christ les avertit que s’ils ne se repentaient pas, il leur enlèverait leur porte-lampes de sa place. Cela signifiait certainement que leur lumière s’étant éteinte, ils ne serviraient plus à répandre l’éclat de la vérité dans ce territoire. — Rév. 2:1-5; voir Matthieu 6:22, 23.

      Le dernier passage des Écritures dans lequel il est fait mention de porte-lampes rappelle la vision de Zacharie. Il est dit au sujet des “deux témoins” qui doivent prophétiser vêtus de sacs qu’ils sont symbolisés par “les deux oliviers et les deux porte-lampes”. — Rév. 11:3, 4.

      [Illustration, page 1205]

      Le porte-lampes tel qu’il est représenté sur l’arc de Titus à Rome.

  • Portier
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    • PORTIER

      Dans l’Antiquité, les portiers, également appelés gardiens des portes, servaient en divers endroits, par exemple aux portes de la ville, à celles du temple et même à celles de certaines maisons. Les gardiens des portes de la ville étaient placés là pour s’assurer que l’entrée était fermée la nuit. Ils jouaient le rôle de veilleurs au pied de ces portes. Des guetteurs étaient postés en sentinelles au sommet de la porte ou dans une tour d’où ils avaient un meilleur point de vue, afin d’annoncer l’arrivée des gens qui s’approchaient de la ville. Ils coopéraient ainsi avec le portier (II Sam. 18:24, 26). C’était un poste de grande responsabilité attendu que la sécurité de la ville dépendait dans une large mesure du portier qui servait d’intermédiaire entre ceux qui étaient à l’intérieur de la ville et ceux qui étaient à l’extérieur (II Rois 7:10, 11). Les gardiens des portes du roi Assuérus — deux d’entre eux complotèrent même de l’assassiner — portaient également le titre de fonctionnaire de cour. — Esther 2:21-23; 6:2.

      DANS LE TEMPLE

      Peu avant sa mort, le roi David organisa soigneusement les Lévites et ceux qui travaillaient au temple, y compris les portiers au nombre de quatre mille. Ils devaient venir selon leur classe effectuer des périodes de service de sept jours. Ils avaient pour charge de garder la maison de Jéhovah et de veiller à ce que les portes soient ouvertes ou fermées selon l’heure (I Chron. 9:23-27; 23:1-6). En plus de leur service de gardiens, certains devaient s’occuper des contributions apportées par le peuple pour l’usage du temple (II Rois 12:9; 22:4). À une époque ultérieure, lorsque Jéhoïada, le grand prêtre, s’apprêtait à oindre Joas roi, il préposa des gardes spéciaux aux portes du temple pour protéger le jeune garçon contre la reine usurpatrice, Athalie (II Rois 11:4-8). Quand le roi Josias fit disparaître le culte idolâtrique, les gardiens des portes lui prêtèrent main-forte en sortant du temple les ustensiles qui avaient été utilisés pour le culte de Baal. Tout cet attirail fut ensuite brûlé hors de la ville. — II Rois 23:4.

      Quand Jésus Christ était sur terre, dans le temple reconstruit par Hérode des prêtres et des Lévites étaient désignés pour être gardiens des portes et guetteurs. On exigeait qu’ils soient sur le qui-vive, car le surveillant, c’est-à-dire l’officier du temple, faisait des rondes et arrivait sans prévenir. Il fallait donc que le guetteur reste constamment éveillé à son poste afin de ne pas être pris en faute. Il y avait un autre officier qui était chargé de tirer au sort ceux qui allaient servir au temple. Quand il venait frapper à la porte, il fallait que le garde soit éveillé pour la lui ouvrir, car lui aussi aurait pu le surprendre dans son sommeil. — Voir Révélation 16:15.

      Ces portiers et ces gardes étaient postés là dans le but de protéger le temple contre les voleurs, d’en interdire l’entrée à toute personne impure et à tout intrus dont les intentions n’étaient pas bonnes.

      LES BERGERS

      À l’époque biblique, les bergers avaient l’habitude de garder leurs troupeaux de moutons dans un enclos pendant la nuit. Les enclos étaient constitués d’un petit mur de pierre et d’une porte. On y faisait entrer pour la nuit les troupeaux d’un ou de plusieurs propriétaires, avec un portier qui les gardait et les protégeait. Jésus s’inspira apparemment de cette coutume pour donner une illustration dans laquelle il parle d’un portier. Il s’identifiait ainsi lui-​même non seulement en tant que berger des brebis de Dieu, mais aussi en tant que porte par laquelle les brebis pourraient entrer. — Jean 10:1-9.

      LES CHRÉTIENS

      Jésus souligna la nécessité pour les chrétiens de rester vigilants et de guetter le signe de la conclusion du système de choses. Pour cela, il compara le chrétien au portier à qui son maître a ordonné de rester aux aguets jusqu’à son retour d’un voyage à l’étranger. — Marc 13:33-37.

  • Portique
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    • PORTIQUE

      Entrée couverte d’un bâtiment ou endroit où l’on attend avant d’entrer. Le mot hébreu ʼoulam signifie fondamentalement “partie antérieure, façade”, d’où “vestibule, portique”. Dans les Écritures hébraïques, ce mot n’est pas employé pour désigner

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