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    • LOG

      (héb. logh, “creux, bol”).

      La plus petite unité de mesure dont les Écritures font mention. Quand un lépreux était guéri, il devait, entre autres choses, offrir un log d’huile (Lév. 14:2, 10, 12, 15, 21, 24). Le Talmud nous permet d’établir qu’un log correspond à un douzième de hin (ou 0,014 bath). Si un bath est égal à vingt-deux litres, comme semblent l’indiquer des découvertes archéologiques, le volume d’un log serait de 0,3 litre.

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    • LOI

      Dans les Écritures hébraïques, le mot “loi” traduit généralement le substantif tôrâh, terme apparenté au verbe hôrâh qui signifie “diriger, enseigner, instruire; indiquer, montrer la voie”. Dans certains cas, il sert à rendre le mot dâth, “loi, décret”. (Dan. 6:5, 8, 15.) Dans les Écritures grecques chrétiennes, c’est le terme nomos, dérivé du verbe némô, “distribuer”, qui est traduit par “loi”.

      La Bible désigne Jéhovah Dieu comme la Source de la loi, le Législateur suprême (És. 33:22), le Souverain, Celui qui délègue le pouvoir (Ps. 73:28; Jér. 50:25; Luc 2:29; Actes 4:24; Rév. 6:10) et sans la permission de qui aucune autorité ne peut s’exercer (Rom. 13:1; Dan. 4:35; Actes 17:24-31). Son trône est établi sur la justice et le jugement (Ps. 97:1, 2). La volonté déclarée de Jéhovah devient une loi pour ses créatures.

      LES ANGES SONT SOUMIS À DES LOIS

      Bien qu’ils soient supérieurs à l’homme, les anges sont néanmoins soumis à la loi et aux commandements de Dieu (Héb. 1:7, 14; Ps. 104:4). Jéhovah donna même des ordres à son adversaire Satan et lui imposa des restrictions (Job 1:12; 2:6). L’archange Michel montra qu’il reconnaissait en Jéhovah le Juge suprême et qu’il le respectait comme tel quand il déclara au cours de son différend avec le Diable: “Que Jéhovah te tance!” (Jude 9; voir Zacharie 3:2). Les Écritures indiquent que Jéhovah Dieu a placé tous les anges sous l’autorité de Jésus Christ glorifié (Héb. 1:6; I Pierre 3:22; Mat. 13:41; 25:31; Phil. 2:9-11). C’est sur l’ordre de celui-ci qu’un messager angélique fut envoyé auprès de Jean (Rév. 1:1). En I Corinthiens 6:3, l’apôtre Paul déclare que les frères spirituels de Jésus jugeront des anges.

      LA LOI DE LA CRÉATION DIVINE (parfois appelée “loi de la nature”)

      Selon le dictionnaire Robert, le mot “loi” désigne entre autres “un principe essentiel et constant”, par exemple celui que l’on observe dans la nature. Jéhovah, le Créateur de toutes choses dans le ciel et sur la terre (Actes 4:24; Rév. 4:11), a soumis toute sa création à des lois. Le chapitre 38 du livre de Job déclare que Jéhovah a mis une “prescription” sur la mer (v. 38:10) et qu’il a “commandé au matin” (v. 38:12); il y est question également des “ordonnances des cieux”, au sujet des constellations (vv. 38:31-33). Ce même chapitre indique que c’est Dieu qui régit la lumière, la neige, la grêle, les nuages, la pluie, la rosée et l’éclair. Les chapitres suivants (39 à 41) montrent que Dieu prend soin du règne animal. Ils attribuent la naissance, les cycles de la vie et les mœurs des animaux à des règles établies par Dieu et non à une “adaptation” due à l’évolution. De fait, lors de la création des formes vivantes, Dieu incorpora en celles-ci la loi suivant laquelle chacune d’elles devait se reproduire “selon son espèce”, ce qui rendait l’évolution impossible (Gen. 1:11, 12, 21, 24, 25). De même, l’homme engendra des fils “à sa ressemblance, à son image”. (Gen. 5:3.) Parlant de la croissance d’un enfant dans l’utérus de sa mère, Psaume 139:13-16 déclare que toutes les parties de l’embryon étaient inscrites dans le “livre” de Jéhovah, avant même qu’aucune d’entre elles n’existe. Par ailleurs, Job 26:7 décrit Jéhovah “suspendant la terre sur le néant”. Or, les savants modernes attribuent la position de la terre dans l’espace essentiellement à l’action réciproque de deux lois: la pesanteur et la force centrifuge.

      LES LOIS DONNÉES À ADAM

      Dans le jardin d’Éden, Dieu fixa des tâches à Adam et Ève: 1) remplir la terre; 2) la soumettre; 3) tenir dans la soumission toutes les autres créatures vivantes sur la terre, dans la mer et dans l’air (Gen. 1:28). Concernant leur alimentation, ils reçurent des lois aux termes desquelles ils pouvaient manger les fruits et la végétation portant semence (Gen. 1:29; 2:16). Toutefois, Dieu donna à Adam l’ordre de ne pas manger de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais (Gen. 2:17), ordre qui fut transmis à Ève (Gen. 3:2, 3). Adam est présenté comme un transgresseur parce qu’il a violé une loi établie. — Rom. 5:14, 17; 4:15.

      LES LOIS DONNÉES À NOÉ ET LES LOIS PATRIARCALES

      Noé reçut des commandements relatifs à la construction de l’arche et au salut de sa famille (Gen. 6:22). Après le déluge, Dieu lui donna de nouvelles lois l’autorisant à manger de la viande, définissant le caractère sacré de la vie et donc du sang, dans lequel se trouve la vie, interdisant de manger le sang, condamnant le meurtre et instituant la peine de mort pour ce crime. — Gen. 9:3-6.

      Le patriarche était le chef de la famille. Jéhovah est présenté comme le Chef de famille ou Patriarche suprême, “le Père, à qui toute famille au ciel et sur la terre doit son nom”. (Éph. 3:14, 15.) Noé, Abraham, Isaac et Jacob furent d’excellents exemples de patriarches et Jéhovah traita avec eux en particulier. Abraham, notamment, reçut l’ordre de circoncire tous les mâles de sa maisonnée en signe d’alliance entre Dieu et lui (Gen. 17:11, 12). Il savait comment pratiquer la justice et le jugement selon la voie de Jéhovah. Il garda ses “ordres”, ses “ordonnances” et ses “lois”, et il les fit observer à sa maisonnée. — Gen. 26:4, 5; 18:19.

      Dans l’ensemble, les nations de cette époque, qui descendaient toutes des trois fils du patriarche Noé, comprenaient le sens des lois patriarcales, lesquelles se retrouvaient en partie dans les lois de ces nations. Ainsi, le pharaon d’Égypte et les rois des Philistins savaient qu’il était mal de prendre la femme d’un autre homme, comme le montrent les récits concernant Sara et Rébecca. — Gen. 12:14-20; 20:2-6; 26:7-11.

      Toute la famille était tenue pour responsable si un de ses membres violait la loi. En tant que représentant de la famille, le patriarche devait répondre des siens. On le blâmait pour les torts qu’ils causaient et il était tenu de punir les coupables. — Gen. 31:30-32.

      Le mariage et le droit d’aînesse sous la loi patriarcale

      C’étaient les parents qui arrangeaient le mariage de leurs fils et de leurs filles (Gen. 24:1-4). Il était courant de payer le prix de l’épouse (Gen. 34:11, 12). Chez les adorateurs de Jéhovah, le mariage avec un idolâtre était un acte de désobéissance, contraire aux intérêts de la famille. — Gen. 26:34, 35; 27:46; 28:1, 6-9.

      Le droit d’aînesse était un droit héréditaire, réservé au fils premier-né, ce qui lui valait, entre autres, de recevoir une double part des biens. Le père et chef de famille pouvait toutefois octroyer ce droit à un autre de ses fils (Gen. 48:22; I Chron. 5:1). Généralement, le fils aîné devenait le patriarche à la mort de son père. Après leur mariage, les fils pouvaient fonder un foyer indépendant de l’autorité paternelle et devenir eux-​mêmes chefs de famille.

      Les mœurs

      La fornication était considérée comme un acte honteux passible d’un châtiment, particulièrement lorsqu’il s’agissait de personnes fiancées ou mariées (c’était alors un adultère) (Gen. 38:24-26; 34:7). Quand un homme mourait sans enfant, on observait la loi du lévirat. Le frère du défunt épousait la veuve, et le premier enfant qui naissait de cette union héritait des biens du défunt et perpétuait son nom. — Gen. 38:6-26.

      La propriété

      En règle générale, il semble que la propriété individuelle n’existait pas, à l’exception de quelques objets personnels. La famille possédait en commun tous les troupeaux, le mobilier et l’équipement. — Gen. 31:14-16.

      La garde des personnes ou des biens

      Quiconque s’engageait à garder ou à “protéger” une personne, un animal ou un objet, en avait la responsabilité légale (Gen. 30:31). En tant que premier-né de Jacob, Ruben était responsable de la disparition de Joseph (Gen. 37:21, 22, 29, 30). Le dépositaire était tenu de prendre suffisamment soin de ce dont il avait la garde. Il devait faire compensation pour les animaux volés, mais pas pour ceux qui mouraient de mort naturelle ou dont la perte était due à des événements indépendants de sa volonté, par exemple s’ils étaient emportés par des voleurs de bétail armés. Si l’animal était tué par une bête sauvage, le dépositaire devait apporter en témoignage le cadavre de l’animal pour être dégagé de sa responsabilité. — Gen. 37:12-30, 32, 33; Ex. 22:10-13.

      L’esclavage

      Un homme était esclave soit parce qu’il avait été acheté, soit parce qu’il était né de parents eux-​mêmes esclaves (Gen. 17:12, 27). Les esclaves pouvaient occuper une position très honorable dans la maison d’un patriarche, comme ce fut le cas pour Éliézer, serviteur d’Abraham. — Gen. 15:2; 24:1-4.

      LA LOI QUE DIEU DONNA À ISRAËL — LA LOI DE MOÏSE

      En 1513 avant notre ère, dans le désert du Sinaï, Jéhovah donna la Loi à Israël par l’intermédiaire de Moïse, le médiateur. Lors de l’inauguration de la Loi au mont Horeb, Jéhovah démontra sa puissance d’une manière impressionnante (Ex. 19:16-19; 20:18-21; Héb. 12:18-21, 25, 26). L’alliance fut validée par le sang de taureaux et de boucs. Le peuple offrit des sacrifices de communion et, après avoir écouté la lecture du livre de l’alliance, il accepta d’obéir à tout ce que Jéhovah avait dit. Un grand nombre des anciennes lois patriarcales furent incorporées dans la Loi transmise par Moïse. — Ex. 24:3-8; Héb. 9:15-21; voir ALLIANCE.

      “La Loi” est le nom par lequel on désigne souvent les cinq premiers livres de la Bible (de la Genèse au Deutéronome). Bien que ce terme s’applique parfois à l’ensemble des Écritures hébraïques divinement inspirées, les Juifs considéraient généralement que celles-ci se composaient de trois parties: “la Loi”, “les Prophètes” et “les Psaumes”. (Luc 24:44.) Israël était tenu d’observer également les commandements transmis par les prophètes.

      La Loi reconnaissait en Jéhovah le Souverain absolu, mais aussi le Roi d’une manière particulière. Puisque Jéhovah était à la fois le Dieu et le Roi d’Israël, quiconque désobéissait à la Loi commettait un péché d’ordre religieux et un crime de lèse-majesté, c’est-à-dire un délit contre le Chef d’État, le Roi Jéhovah. On disait de David, de Salomon et de leurs successeurs sur le trône de Juda qu’ils étaient assis sur “le trône de Jéhovah”. (I Chron. 29:23.) En Israël, les rois humains et les chefs étaient soumis à la Loi. Ceux qui exerçaient le pouvoir en despotes étaient des transgresseurs auxquels Dieu demandait des comptes (I Sam. 15:22, 23). La séparation de la royauté et de la prêtrise assurait l’équilibre des pouvoirs et constituait une sauvegarde contre la tyrannie. Ces dispositions rappelaient constamment aux Israélites que Jéhovah était leur Dieu et leur véritable Roi. La Loi définissait les relations de chaque individu avec Dieu et avec ses semblables, et elle permettait à chacun de s’approcher de Dieu grâce à la prêtrise.

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