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  • 27e partie : L’assemblée internationale de 1946
    La Tour de Garde 1956 | 1er juin
    • publique du dimanche, 80 000 personnes emplissaient le stade pour entendre le discours “ Le Prince de la paix ”, prononcé par N. H. Knorr, président de la Société. Parmi les points marquants de l’assemblée, il y eut la mise en circulation du manuel biblique “ Équipé pour toute bonne œuvre ”, du nouveau périodique Réveillez-vous ! (remplaçant Consolation) et du nouvel instrument de prédication “ Que Dieu soit reconnu pour vrai ”. 2 602 personnes furent immergées dans le lac Érié, situé non loin du lieu de l’assemblée. On se souvint aussi longtemps de la révélation par le président d’un vaste programme d’expansion envisagé en relation avec l’agrandissement du Béthel et des bureaux centraux ainsi que de l’imprimerie au 117, Adams Street, Brooklyn, New-​York. Les filiales de six pays devaient être agrandies, elles aussi. Ce programme d’expansion d’un montant de quatre millions de dollars pour une durée de quatre ans fut accepté avec enthousiasme par les 58 000 assistants de cette sessiond.

      Réunir tant de gens en un seul lieu pour un culte chrétien de huit jours pose de nombreux problèmes. Celui du logement est de première importance. Un système bien étudié fut mis en œuvre à l’assemblée de Cleveland, système qui est devenu le modèle pour toutes les futures assemblées, nationales et internationales, des témoins. Des semaines avant l’assemblée, des vingtaines de travailleurs-pionniers à temps complet furent invités à s’offrir comme volontaires et, s’ils acceptaient, on les priait de se rendre à Cleveland pour effectuer les travaux préparatoires. La plupart d’entre eux furent assignés au service de logement. De concert avec les proclamateurs de groupe, ces travailleurs spéciaux firent des visites de maison en maison et dans les hôtels et dressèrent une liste des logements avec indication du prix, pour les congressistes, après avoir jeté un regard dans les chambres offertes. Le personnel du bureau de l’assemblée en prit note et envoya aux témoins des attributions de chambres aussitôt que, dans leurs lettres adressées au Comité de l’assemblée, ils avaient précisé ce qu’ils voulaient. De cette manière, presque tous les congressistes étaient renseignés bien à l’avance au sujet de leurs chambres. La coutume de faire séjourner les témoins chez des particuliers de la ville de congrès a contribué à rendre un puissant témoignage, parce qu’elle met le public en contact étroit avec la façon de penser et la pure manière de vivre du peuple transformé de Dieu. L’amabilité, la considération affectueuse et le maintien dont firent preuve ces témoins en visite produisirent une profonde impression sur l’esprit de nombreux chefs de famille qui, comme résultat de cette conduite, sont devenus des témoins.

      Aux précédentes assemblées tenues en 1937 à Columbus et en 1941 à St-Louis, beaucoup de témoins américains et canadiens avaient préféré camper sous des tentes ou amener leurs roulottes (remorques) pour y loger pendant la durée de l’assemblée. C’est pourquoi, lors de celle de Cleveland, un vaste “ Camp de roulottes des témoins de Jéhovah ” fut aménagé dans la banlieue de la ville. Des champs étendus furent loués pour la durée de l’assemblée ; sur ces champs, une petite ville, tracée méthodiquement, fut édifiée avec des rues et de petits lopins de terre assez grands pour qu’on pût y dresser une tente ou parquer une roulotte. Des installations sanitaires, l’eau, quinze kilomètres de câbles électriques et des bâtiments de services publics furent prévus pour cette communauté nomade qui allait compter 20 000 témoins. Le contrôle de la circulation et l’administration de la “ ville ” étaient confiés à un personnel de 550 témoins volontaires qui exécutèrent tout l’arrangement dans les limites des prescriptions gouvernementales relatives à l’hygiène, dans ce comté. Des hauts-parleurs furent installés pour relayer les sessions de l’assemblée aux habitants du “ Camp de roulottes ” qui ne pouvaient descendre jusqu’au stade.

      Nourrir des vingtaines de milliers de personnes, trois fois par jour, est devenu une entreprise de première importance. La façon de servir les repas selon le mode cafétéria fut reconnue comme la plus pratique ; elle avait été expérimentée aux précédentes assemblées nationales tenues aux États-Unis. Pour l’assemblée de Cleveland, un plateau spécial pour les repas, en matière plastique et comprenant plusieurs compartiments, avait été créé ; il facilita beaucoup l’approvisionnement. Cinq machines à laver les plateaux furent conçues, construites et employées pour cette assemblée. Depuis, ce système de plateaux pour le service de la cafétéria a été utilisé couramment dans toutes les assemblées, grandes et petites, des témoins, dans toutes les parties de la terre. Des files de congressistes, se déplaçant rapidement, étaient dirigées vers l’une des différentes rangées de serveurs où, après avoir reçu un plateau et un couvert, des travailleurs volontaires leur servaient dans le plateau des aliments, au choix du consommateur. De là, la foule en mouvement, plateau chargé en mains, était dirigée vers d’autres salles ou tentes équipées de tables à hauteur de la taille, sur lesquelles on plaçait le plateau pour manger debout. Blancs et personnes de couleur, jeunes et vieux, de nombreux pays, se mêlaient les uns aux autres pendant ces heures agréables des repas pour échanger des expériences et des rapports sur la prédication dans le champ, chez eux, ou pour discuter certaines questions ayant trait aux sessions de l’assemblée et aux événements en cours. Tous étaient souriants car l’immense famille de milliers de membres était nourrie selon une méthode où abondent la discipline et la serviabilité de la part de chacun. La nourriture était saine, propre, bien préparée par une étonnante organisation de volontaires-cuisiniers et offerte à tous à un prix fixe, sauf pour les pionniers, qui reçurent de la Société des tickets de repas gratuits.

      (À suivre.)

  • Une lettre d’appréciation
    La Tour de Garde 1956 | 1er juin
    • Une lettre d’appréciation

      Le 11 décembre 1955

      Cher frère Knorr,

      Je pense que beaucoup de frères t’ont exprimé leur appréciation relative aux riches bienfaits spirituels qui ont été dispensés à nous tous au cours de l’année 1955. Cependant, j’aimerais y ajouter encore un mot. Je pense souvent à la grande responsabilité que tu portes devant Jéhovah. Et il est si évident qu’il t’accorde ses riches bénédictions. Cela doit te procurer une grande paix et beaucoup de joie.

      Je ne m’étais jamais attendu à avoir tant de joies comme ce fut le cas l’été dernier en Europe, en communion avec mes frères. La Société a rendu un merveilleux service aux frères en organisant ce voyage. Ce fut une tâche très grande. J’espère aussi que vous avez fait filmer les congrès et que nous aurons ainsi l’occasion de voir un nouveau film de la société du Monde Nouveau. Le public semble apprécier le contact étroit que procurent les images et il en est de même des frères qui sont restés à la maison.

      Et la nourriture spirituelle qui ne cesse d’émaner du temple est très réjouissante et satisfaisante. Une plus grande lumière jaillit du temple et nous parvient sur le temple. Je viens de lire soigneusement The Watchtower du 15 décembre 1955. Quelle merveilleuse lumière ! Elle aidera à faire voir à tous la nécessité d’apporter toutes les “ dîmes ” à la maison de Jéhovah.

      Me réjouissant avec toi dans ce grand jour de Jéhovah, je reste

      ton compagnon de service

      H. L. P.

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