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  • Comment on passe de la mort à la vie
    La Tour de Garde 1965 | 15 mars
    • Quiconque hait son frère est un homicide, et vous savez qu’aucun homicide n’a la vie éternelle demeurant en lui.” Afin d’aider ses frères chrétiens à continuer de se montrer dignes de recevoir la vie éternelle dans le nouvel ordre de choses promis par Dieu, Jean ajouta : “Petits enfants, n’aimons ni de mots ni de langue, mais en actes et en vérité.” — I Jean 3:13-15, 18, MN.

      26. Qu’est-​ce que cet amour les incite à faire, aussi du point de vue de qui sont-​ils vivants ?

      26 Cet amour est un fruit de l’esprit de Dieu, et il incite les chrétiens à obéir aux commandements divins. Comme il est écrit dans I Jean 5:3 (MN) : “Voici ce que signifie l’amour de Dieu : que nous observions ses commandements ; et cependant ses commandements ne sont pas pesants.” Ceux qui gardent les commandements de Dieu tels qu’ils s’appliquent aux disciples du Christ, sont réellement vivants du point de vue de Dieu. Dès maintenant, ils sont spirituellement vivants.

  • Ils sortiront des tombes pour une “résurrection de vie”
    La Tour de Garde 1965 | 15 mars
    • Ils sortiront des tombes pour une “résurrection de vie”

      1. De quelle vie ceux qui doivent devenir des juges adjoints auprès du Christ ont-​ils pris possession alors qu’ils se trouvent encore sur la terre, et comment ont-​ils pu le faire ?

      AU COURS des dix-neuf siècles écoulés, les humains que Dieu a choisis pour devenir des juges adjoints auprès de son Fils dans le Royaume céleste, ont entendu la voix du Fils de Dieu et, ayant été attentifs à ce qu’il leur a dit de faire, ils ont pris possession d’une vie spirituelle pendant qu’ils étaient encore sur la terre. Dieu les a justifiés et sortis de la condition de condamnation du monde des hommes qui sont morts dans leurs offenses, leurs péchés et leur esprit détestable. Au moyen de la mort sacrificielle que son Fils subit en faveur de tous les croyants, Dieu a levé la condamnation à mort qui les frappait. — Rom. 5:1 ; 8:1-4, MN.

      2. Qu’entendait Jésus par l’expression “la vie en lui-​même”, contenue dans Jean 5:26 ?

      2 Parlant de sa participation à l’action divine consistant à faire passer les croyants de la mort à la vie, Jésus-Christ déclara : “Car tout comme le Père a la vie en lui-​même, ainsi il a donné aussi au Fils d’avoir la vie en lui-​même.” Compte tenu de l’argumentation employée par Jésus dans ce discours, il ne parlait pas ici de ce que certains appellent la “vie inhérente” en son Père céleste ou en lui-​même, ni de “la vie en soi”, selon la traduction de Goguel et Monnier (Jean 5:26). D’après le raisonnement de Jésus, il parlait ici du pouvoir de donner la vie. Ainsi, la New English Bible (1961) traduit comme suit ces paroles de Jésus : “Car tout comme le Père a le pouvoir vivifiant en lui-​même, ainsi en est-​il aussi du Fils, par le don du Père.” La traduction catholique anglaise de Mgr Ronald Knox exprime la même idée : “Comme le Père a en lui le don de la vie, ainsi a-​t-​il donné aussi au Fils d’avoir en lui le don de la vie.” La New World Translation of the Christian Greek Scriptures (édition de 1950) formule une pensée analogue : “Car tout comme le Père a en lui-​même le don de la vie, ainsi il a donné aussi au Fils d’avoir en lui-​même le don de la vie.”

      3. En vertu de quelle qualité Dieu pouvait-​il donner à son Fils “d’avoir la vie en lui-​même”, et pour quelle raison le fit-​il ?

      3 Comment, quand et pourquoi le Père céleste donna-​t-​il à son Fils Jésus-Christ d’avoir en lui ce pouvoir vivifiant ? Puisque Jéhovah Dieu est “la source de la vie”, il pouvait donner à son Fils d’avoir en lui un pouvoir vivifiant (Ps. 36:10 36:9, NW). S’il lui a conféré ce pouvoir, c’est parce que la famille humaine mourait par suite du péché commis par Adam, le premier père humain. — Rom. 5:12.

      4, 5. a) Quelles dispositions Dieu prit-​il, par le moyen de son Fils, pour donner la vie aux hommes ? b) À qui, et en quels termes, les paroles du Psaume 40:7-9 40:6-8, NW sont-​elles appliquées dans Hébreux 10:5-10 ?

      4 La vie éternelle ne pouvait être donnée à la race humaine condamnée et mourante que par le moyen d’un sacrifice humain. Pour fournir ce sacrifice destiné à ôter le péché des hommes et lever la condamnation à mort qui les frappait, Jéhovah Dieu, le Père céleste, envoya son Fils en transférant sa vie du ciel à la terre. Il le fit miraculeusement naître sous les traits de l’enfant Jésus, à Bethléhem de Judée. Jésus grandit et devint, à l’âge de trente ans, un homme parfait, l’équivalent d’Adam, homme parfait en Éden. Jésus possédait certes une vie humaine parfaite et libre de toute condamnation, encore fallait-​il qu’il la mît à la disposition des hommes en la sacrifiant dans le service de son Père céleste. C’est pourquoi, à l’âge de trente ans, Jésus se présenta pour ce service sacrificiel, pour remplir les fonctions de prêtre de Dieu. Le rédacteur inspiré de la lettre aux Hébreux (10:5-10, MN) applique à Jésus les paroles du Psaume 40:7-9 40:6-8, NW, en disant :

      5 “C’est pourquoi, en entrant dans le monde, il dit : “‘Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. Tu n’as approuvé ni holocaustes ni offrande pour le péché.” Alors j’ai dit : “Voici, je viens (dans le rouleau du livre il est écrit de moi) pour faire ta volonté, ô Dieu.”’ Après avoir dit d’abord : ‘Tu n’as pas voulu ni approuvé sacrifices et offrandes, holocaustes et offrande pour le péché’ — sacrifices qui sont offerts selon la Loi — alors il dit en fait : ‘Voici, je suis venu pour faire ta volonté.’ Il abolit ce qui est le premier pour établir ce qui est le second. Par ladite ‘volonté’ nous avons été sanctifiés par l’offrande du corps de Jésus-Christ une fois pour toutes.”

      6. En harmonie avec ce qui précède, quel geste symbolique Jésus accomplit-​il, et quel pouvoir limité Dieu lui donna-​t-​il alors ?

      6 Pour symboliser l’offrande de lui-​même à Dieu pour accomplir ce service spécial même jusqu’à la mort, Jésus se fit baptiser dans l’eau par Jean-Baptiste (Mat. 3:13-17). Dès que Jésus eut été immergé dans l’eau, Jéhovah Dieu baptisa son Fils, désormais voué, d’esprit saint descendu du ciel, et le déclara son Fils spirituel. À l’occasion de ce baptême-​là, le Père donna au Fils d’avoir en lui-​même un pouvoir vivifiant limité. Ce fut grâce à ce pouvoir que le Fils put guérir l’homme malade depuis trente-huit ans, et rendre la vie à des Juifs, même à son cher ami Lazare, mort et enseveli depuis quatre jours. Cependant, Jésus ne possédait pas encore le pouvoir de donner la vie éternelle aux membres de la famille humaine condamnée. Pourquoi ? Parce qu’il n’avait pas encore offert en sacrifice son corps humain parfait en mourant.

      7. a) Quel pouvoir Dieu exerça-​t-​il le troisième jour après la mort de Jésus, et comment le fit-​il ? b) Quelle chose de valeur Jésus possédait-​il lorsqu’il remonta au ciel, et quel usage en fit-​il ?

      7 Mais Jésus-Christ mort ne pouvait donner la vie à l’humanité condamnée. Aussi, le troisième jour, Jéhovah Dieu le Père, qui a en lui le pouvoir vivifiant, ramena son Fils de la mort à la vie immortelle dans le ciel, comme esprit. Quand Jésus monta au ciel quarante jours après sa résurrection d’entre les morts, il n’emmena pas avec lui le corps humain qu’il avait offert en sacrifice — c’eût été impossible ! —, mais il possédait la valeur de sa vie humaine parfaite qu’il avait sacrifiée afin de la présenter à son Père céleste au bénéfice de l’humanité. Dieu, le Père, accepta cette offrande sacrificielle et fit de Jésus-Christ son Grand Prêtre en faveur des hommes. — Héb. 9:24-26.

      8. Lors de sa résurrection, quelle sorte de personne Jésus devint-​il ?

      8 En accord avec ce qui précède, et à propos de la résurrection des chrétiens et du corps avec lequel ils reviennent de la mort à la vie, l’apôtre Paul écrit : “Il est semé corps physique, il est ressuscité corps spirituel. S’il y a un corps physique, il y en a aussi un spirituel. Ainsi est-​il même écrit : ‘Le premier homme Adam devint une âme vivante.’ Le dernier Adam est devenu un esprit vivifiant.” (I Cor. 15:44, 45, MN). L’apôtre Paul appelle Jésus-Christ “le dernier Adam” et il affirme que lors de sa résurrection il devint “un esprit vivifiant”.

      9. a) En quelle qualité le Fils de Dieu pouvait-​il agir désormais ? b) Pourquoi fallait-​il qu’il devint “Fils de l’homme”, et pourquoi le fait que la plupart des membres de la race humaine sont morts ne l’empêche-​t-​il pas de les juger ?

      9 Voilà comment Jéhovah Dieu, le Père, donna à son Fils Jésus-Christ d’avoir en lui un pouvoir vivifiant. Et voilà ce qui permettait au Fils d’être le Juge, non seulement des vivants, mais aussi des morts, qu’il pourrait ressusciter quand il recevrait son Royaume céleste. C’est pourquoi Jésus-Christ poursuivit son argumentation en disant : “Et il lui a donné le pouvoir de juger, parce qu’il est Fils de l’homme.” (Jean 5:27, MN). Si le Fils céleste de Dieu n’était pas devenu “Fils de l’homme” pour s’offrir en sacrifice, il n’aurait pas reçu le privilège de détenir un pouvoir vivifiant, et il n’aurait pas été nommé Juge des hommes, Juge des morts et des vivants. Naturellement, la plupart des membres de la race humaine seraient morts quand son Royaume serait établi. Mais cela ne l’empêcherait pas de les juger, puisqu’il possédait désormais un pouvoir vivifiant lui permettant de les convoquer en les faisant sortir de la tombe.

      UNE CHOSE PLUS ÉTONNANTE ENCORE

      10. Selon Jean 5:28-30, quelle chose plus étonnante encore Jésus annonça-​t-​il à ces Juifs qui voulaient le faire mourir ?

      10 Lorsque Jésus parla aux Juifs qui cherchaient à le faire mourir, concernant ce pouvoir de donner la vie et de juger, ils furent sans doute étonnés. Mais si ces choses les étonnaient, ils allaient s’émerveiller davantage encore, car ils n’avaient pas tout entendu. Arrivant au point capital, Jésus leur déclara : “Ne vous étonnez pas de cela, parce que l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombes commémorativesa entendront sa voix et en sortiront, ceux qui ont fait de bonnes choses pour une résurrection de vie, ceux qui ont pratiqué des choses viles pour une résurrection de jugement. Je ne puis faire une seule chose de ma propre initiative, selon ce que j’entends, je juge ; et le jugement que je rends est juste, parce que je cherche, non pas ma propre volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé.” — Jean 5:28-30, MN.

      11, 12. a) Qui sortira des tombes commémoratives, mais reviendront-​ils tous en même temps ? b) Pourquoi ne faut-​il pas déduire du mot “heure” employé par Jésus que tous les morts ressusciteront simultanément ?

      11 Remarquez que Jésus affirmait là que “tous ceux qui sont dans les tombes commémoratives entendront sa voix et en sortiront”, conformément à l’ordre qu’il donnera en sa qualité de Juge revêtu du pouvoir vivifiant. Il faut donc qu’ils ressuscitent tous, c’est-à-dire tous les morts, bons et mauvais, que Dieu garde dans sa mémoire en vue de les ressusciter. Cela ne veut pas dire, cependant, qu’ils doivent tous ressusciter en même temps, le même jour. Il est vrai que, d’après Jésus, l’“heure” viendrait où ces choses se produiraient, mais il ne parlait sûrement pas d’une “heure” de soixante minutes ou de 3 600 secondes.

      12 En écrivant les paroles suivantes, en l’an 98 de notre ère, l’apôtre Jean ne pensait certainement pas à la vingt-quatrième partie du jour : “Petits enfants, c’est la dernière heure, et, comme vous avez entendu dire que l’antichrist vient, déjà maintenant il est survenu beaucoup d’antichrists ; de ce fait nous acquérons la connaissance

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