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À quoi reconnaît-on une bonne secrétaire?Réveillez-vous ! 1978 | 8 août
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celui d’un chimiste débutant et peut atteindre jusqu’à 20 000 dollars (92 000 FF). Des avantages particuliers viennent souvent s’ajouter au salaire proprement dit, sous forme de bourses d’études ou de stages de formation rémunérés portant sur les techniques du secrétariat, mais aussi sur les méthodes de gestion, d’encadrement, d’orientation professionnelle, etc.
C’est à l’occasion d’un des séminaires cités plus haut que l’instructrice souleva devant l’assistance un point intéressant touchant aux marques d’appréciation et aux félicitations dues à quiconque s’acquitte bien de sa tâche. Elle demanda aux participantes de dresser la liste de tous les témoignages de ce genre qu’elles avaient reçus le mois précédent, puis d’indiquer le nombre de fois où elles avaient elles-mêmes prodigué des félicitations à leur patron. La suggestion fut accueillie par un silence plutôt gêné. “Votre patron occupe une position telle que bien peu de gens se permettront de le critiquer ou de le féliciter. Mais vous, qui êtes son assistante, pouvez combler cette importante lacune en sachant reconnaître honnêtement la valeur de ses efforts et de ses réalisations.”
La moralité et les qualités chrétiennes
Un patron qui a pour collaboratrice une vraie chrétienne apprécie toujours beaucoup de trouver en elle des qualités aussi précieuses que la patience, l’honnêteté, la loyauté, l’humilité, le zèle, le calme, la gentillesse et la maîtrise de soi (Éph. 4:25; Col. 3:23; Gal. 5:22, 23; Héb. 13:18; I Pierre 5:5, 6). En exerçant ces belles qualités chrétiennes, une secrétaire parvient à entretenir de bons rapports avec les personnalités très diverses qu’elle est appelée à côtoyer, tout en sachant s’adapter aux besoins particuliers de son patron, dont elle fait passer les intérêts avant les siens propres.
Mais une vraie chrétienne doit néanmoins veiller à observer une certaine réserve dans ses relations avec son patron. Un article de journal montrait que les secrétaires “se plaignent (...) des propositions d’ordre sexuel qui leur sont faites par leurs chefs”. Il est vrai que de nombreux patrons n’entrent pas dans cette catégorie, mais pour que les principes de la moralité chrétienne soient toujours scrupuleusement respectés, la prudence s’impose dans tous les cas où une femme et un homme sont appelés à collaborer étroitement en faisant preuve de considération et de loyauté l’un envers l’autre (comme c’est le cas dans des relations patron-secrétaire bien comprises). D’ailleurs, quand une secrétaire veille à se conduire en toute occasion selon les directives données par Dieu dans les Écritures, son attitude suffit généralement à dissuader son patron de s’engager, même en pensée, dans une voie dangereuse.
Disons pour conclure qu’une secrétaire capable exerce un métier susceptible de lui procurer des satisfactions d’ordre professionnel, la sécurité matérielle et la stabilité de l’emploi, tout en lui permettant de contribuer de manière effective à la bonne marche du monde des affaires.
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Les jours de nos annéesRéveillez-vous ! 1978 | 8 août
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Les jours de nos années
Le prophète Moïse écrivait ce qui suit il y a près de 3 500 ans: “En eux-mêmes les jours de nos années sont de soixante-dix ans; et (...) grâce à une puissance exceptionnelle, ils sont de quatre-vingts ans.” (Ps. 90:10). La situation est toujours la même à notre époque, en dépit des progrès de la science médicale.
Parlant des États-Unis, où “l’espérance de vie plafonne aux alentours de soixante-dix ans”, David Borenstein observa que “la science moderne, malgré d’immenses progrès, n’a pas réussi à prolonger de façon sensible la durée moyenne de la vie humaine. La progression numérique enregistrée dans les rangs de ceux qui atteignent soixante-cinq ans et plus semblerait indiquer un accroissement de notre durée de vie, mais il n’en est rien. En fait, l’espérance de vie d’une personne de cinquante ans n’a augmenté que de trois ans en DEUX SIÈCLES. (...) Il est vrai que les progrès spectaculaires réalisés dans la première moitié du vingtième siècle ont permis de vaincre de nombreuses maladies mortelles. Il faut pourtant admettre que, même si les gens qui parviennent à l’âge mûr sont de ce fait plus nombreux qu’autrefois, personne, ou presque personne ne peut espérer vivre notablement plus longtemps que ses ancêtres”.
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