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  • Comment je poursuis le but de ma vie
    La Tour de Garde 1961 | 1er septembre
    • fidèle dans l’œuvre de Jéhovah. Durant un autre discours, à Springfield, Massachusetts, quelques chahuteurs montèrent sur l’estrade, cherchant à troubler le déroulement de la conférence. Je criai plus fort qu’eux, et l’auditoire continua à écouter avec attention. Finalement, les agitateurs s’en allèrent. Deux familles parmi l’assistance devinrent plus tard des ministres de la bonne nouvelle.

      Au début de 1914, le Photo-Drame de la Création fut projeté devant les gens parlant l’anglais ; la projection était accompagnée de causeries sur disques fournissant des explications. Plus tard, quand ces discours furent traduits en italien, je fus invité à les lire pendant la projection du film. Sachant qu’il fallait deux heures pour présenter chacune des quatre parties du Photo-Drame, je me demandais si je serais à même de le faire. Puisque Jéhovah avait béni mes faibles efforts dans l’art oratoire, j’étais impatient d’essayer. Il me donna de la force, et je m’en tirais bien. Des milliers de personnes assistèrent aux projections et nombreuses furent celles qui laissèrent leur nom en demandant de plus amples renseignements sur la Bible. D’autres prirent part avec moi à l’œuvre pleine de joie consistant à visiter celles d’entre elles qui habitaient aux alentours du Béthel et à augmenter leur intérêt.

      Une sœur dans la vérité, Grace Harris, que le zèle et l’énergie que j’avais déployés avec joie dans les causeries du Photo-Drame avaient frappée, tomba amoureuse de l’orateur. Le frère Russell nous unit en 1916. Grace a été pour moi une véritable compagne pendant plus de quarante ans et elle l’est toujours. Je suis très reconnaissant à Jéhovah de toutes ces bontés.

      Quand le Photo-Drame eut servi son dessein, il me resta davantage de temps à consacrer à mes fonctions ; j’étais affecté à la branche italienne de la Société : traduction des lettres et participation au courrier. C’était merveilleux d’être au Béthel ! Puis, en 1916, nous subîmes un terrible choc. Frère Russell mourut dans le train qui le ramenait au Béthel après une tournée de conférences sur le littoral occidental. Beaucoup se demandaient : “ Qu’allons-​nous faire maintenant ? ” Nous croyions que frère Russell était “ ce serviteur ” de Matthieu 24:45-47, aux soins de qui tous les intérêts du Royaume étaient confiés. Notre œuvre était-​elle achevée ou nous faudrait-​il continuer à prêcher la bonne nouvelle comme nous l’avions fait pendant sa vie terrestre ? Quelques-uns se laissèrent aller au découragement et s’en allèrent, mais la majorité continua à travailler et fut richement bénie par le Seigneur.

      À la réunion d’affaires de janvier 1917, frère Rutherford fut élu président de la Société. Tout alla bien pendant un temps jusqu’au moment où quelques frères, se croyant les directeurs légaux de la Société, tentèrent de modifier les statuts et d’obtenir la direction de l’œuvre. Leur tentative pour faire du président un simple homme de paille qui servirait leurs ambitions ne réussit pas ; mais leur intervention créa une grande confusion et causa beaucoup de peine aux amis qui étaient fidèles à la Société depuis des années. Ayant échoué, les rebelles quittèrent le Béthel et l’œuvre. Alors les choses continuèrent très gentiment jusqu’en l’été de 1918.

      Cette année-​là, un groupe de ministres de la fausse religion incita le gouvernement à faire cesser l’œuvre de la Société sous le prétexte que ses fonctionnaires n’étaient pas dévoués à l’effort de guerre. Il fut prétendu que le fait pour nous de prêcher le Royaume comme le seul espoir et de désigner la Première Guerre mondiale comme un accomplissement de la prophétie devait probablement décourager les hommes d’aller à la guerre. Les accusations provoquèrent l’arrestation et le jugement des fonctionnaires et associés de la Société parce qu’ils n’avaient pas pris une part active à la guerre. Pour avoir conseillé mon jeune frère sur la manière convenable de formuler sa demande de classification comme ministre, ce qu’il était en réalité, je devins un défendeur dans l’affaire.

      On nous fit subir ce qui fut reconnu plus tard comme un jugement inique. On nous expédia à la prison fédérale d’Atlanta, Georgie. Tandis que de longues peines d’emprisonnement frappaient les autres frères, je fus condamné à une peine de durée relativement courte. Frère Macmillan, l’un de mes compagnons défendeurs, continue d’affirmer que ce fut à cause de ma taille plus petite que celle des autres. Dans l’atelier de confection de la prison, un certain nombre d’autres Italiens purgeaient une peine comme faux monnayeurs. Je leur rendis témoignage sur le royaume de Dieu, royaume de paix et de perfection en faveur de l’humanité. Il y en eut qui écoutèrent et se montrèrent sensibles au message, et d’autres qui pensaient que c’était trop beau pour être vrai.

      La justice se mit à triompher, et nous fûmes relâchés d’Atlanta au printemps de 1919, pour être entièrement disculpés par la suite. À notre retour à Brooklyn, de nombreux amis s’étaient réunis pour nous accueillir. Ce fut une heureuse réunion familiale. En septembre de cette année-​là, à Cedar Point, Ohio, plus de 7 000 amis voués se réunirent en convention pour savoir, si cela était possible, ce que le Seigneur voulait que nous fassions. À notre grande joie, nous vîmes d’après la Bible qu’une grande œuvre restait encore à faire dans la prédication du message du Royaume aux nations. Nous retournâmes à Cedar Point pour une autre convention en 1922 ; là, nous fûmes tous remplis d’enthousiasme à la perspective des choses plus grandes qui nous attendaient. Grace et moi nous nous réjouissions de participer à plein temps à cette œuvre sans cesse croissante du Royaume.

      Au Béthel, nous étions occupés aux tâches qui nous incombaient et les années passaient très rapidement. Nous assistâmes à de nombreuses assemblées du peuple de Jéhovah, telles que celles de Columbus en 1931 et en 1937, de St-Louis en 1941, de Los Angeles en 1947, et la première grande assemblée au Yankee Stadium de New-​York en 1950. Toutes ces occasions furent pour nous de joyeuses expériences au fur et à mesure que nous constations que Dieu favorisait l’accroissement de son organisation terrestre.

      En 1951, puis en 1955 pour la seconde fois, la Société et nos amis nous donnèrent la possibilité de visiter l’Italie où j’eus la joie de parler devant un certain nombre d’assemblées de nos frères. Durant notre tournée de 1955, nous étions du nombre de ceux qui, par milliers, firent le tour de l’Europe et assistèrent aux assemblées dans plusieurs villes. À Rome, l’assemblée qui se tint dans le magnifique auditorium destiné à l’origine à la gloire de Mussolini fut une louange au nom de Jéhovah et fit une profonde impression sur les habitants de la ville.

      De retour à Brooklyn, ma femme et moi sommes heureux de participer régulièrement au service de porte en porte, aux visites et aux études bibliques à domicile. Nous comprenons aussi l’importance d’assister aux réunions et aux assemblées prévues par Jéhovah. Bien que fatigués parfois à l’heure de la réunion, nous retournons toujours à la maison considérablement rafraîchis.

      En revoyant les cinquante-quatre années que j’ai passées dans le service de Jéhovah, je puis affirmer sans mentir qu’elles furent les plus heureuses de ma vie. J’ai vécu cinquante-deux d’entre elles comme membre de la famille du Béthel de Brooklyn, privilège de service que je recommande de tout mon cœur à tout jeune chrétien. Bien sûr, il y a eu quelques épreuves, mais elles ont accrû notre foi en Jéhovah. Je n’ai jamais douté qu’il se sert de la Société pour diriger l’œuvre de témoignage mondial annoncé par Jésus dans Matthieu 24:14. Comme Paul l’a déclaré, les souffrances “ ne sont pas à comparer à la gloire qui doit se révéler en nous. ” — Rom. 8:18, Jé.

      Notre grand espoir est d’avoir part au monde nouveau de la justice de Dieu où nous pourrons le louer et le servir éternellement. Avec l’aide de Jéhovah, nous poursuivrons avec succès le but béni de notre vie.

  • L’homme-Dieu de la chrétienté
    La Tour de Garde 1961 | 1er septembre
    • L’homme-Dieu de la chrétienté

      DANS la chrétienté, le pont entre Dieu et l’homme est appelé “ Incarnation ”. Le mot “ incarnation ” signifie que Dieu a revêtu la nature de l’homme en la personne de Jésus-Christ. Par là, il devint un homme-Dieu.

      Bien que la notion d’un homme-Dieu ne soit pas étrangère au paganisme, cependant l’idée que le Logos deviendrait chair appartient à la chrétienté seule, affirment ces religionistes. Ils soutiennent que les religions païennes enseignent une apothéose ou glorification de l’homme, qu’elles n’enseignent pas une incarnation du vrai Dieu. Selon Charles Hardwick, historien de l’église anglaise, si nous épurons les incarnations païennes de tous les accessoires impudiques et bachiques qui les défigurent et les dégradent, elles sont encore nettement inférieures à la doctrine de l’incarnation telle que l’enseigne la chrétienté, en dépit de frappantes similitudes.

      Mais le simple fait de nier le caractère païen de la doctrine ne démontre pas que l’enseignement de l’incarnation vient du christianisme. Dans son livre The Creative Christ, E. Drown associe l’idée de l’incarnation de la chrétienté avec la mythologie grecque païenne. Il dit : “ Cette solide notion (...) se fraya un chemin à partir des sources grecques dans la théologie chrétienne. Il en résulta que l’Incarnation fut trop souvent interprétée en termes physiques plutôt que moraux. ”

      Puis il y a des objections d’un autre caractère. Un éminent professeur, le Dr Charles A. Briggs, qui fut aussi prêtre dans l’église protestante épiscopale, enseignait que la naissance de la vierge n’était qu’“ une question de peu d’importance en relation avec l’Incarnation (...) (de sorte qu’elle) ne peut être aussi essentielle que ne l’ont supposé tant de gens. ” Pour Adolf Harnack, théologien allemand et professeur de théologie, Jésus n’était pas Dieu dans la chair, mais seulement un autre rabbin juif. Otto Pfleiderer, théologien protestant allemand et professeur ordinaire de théologie, était étonné des “ innombrables parallèles existant entre les légendes des héros païens et celles des saints chrétiens ”, y compris celle de Jésus-Christ.

      Il n’est pas surprenant qu’il y ait des avis contradictoires sur la doctrine de l’incarnation, puisqu’elle ne trouve aucun fondement dans la Bible, seule autorité digne de foi pour ce qui est de la vérité (Jean 17:17). Les anciens Juifs, dans leur longue histoire, n’ont jamais déclaré que l’un quelconque de leurs juges, rois, généraux, prêtres ou prophètes fût Dieu. Les Hébreux et les chrétiens juifs abhorraient absolument la souillure de la mythologie païenne. Ces faits rendent impossible l’idée fantaisiste selon laquelle les chrétiens juifs empruntèrent l’histoire de Jésus à la mythologie païenne. Ni la Bible ni les fidèles chrétiens du premier siècle ne soutinrent le concept païen que Jésus était un homme-Dieu. Par conséquent, lorsque des chrétiens renégats essayèrent de faire passer pour chrétienne l’idée païenne de l’homme-Dieu, ils ne furent pas écoutés. La doctrine elle-​même fut établie définitivement environ trois siècles après l’époque de Jésus et fut définie seulement en 451 de notre ère, au concile de Chalcédoine. Le célèbre théologien américain, Henry P. Van Dusen, dont la religion presbytérienne enseigne que Jésus était homme-Dieu, dans son ouvrage World Christianity, page 75, appelle la définition de la nature du Christ donnée par le concile de Chalcédoine un “ non-sens concentré ”.

      Durant les deux premiers siècles, une opposition considérable se manifesta contre la doctrine de l’incarnation. Les Ébionites, secte chrétienne juive, au premier siècle, soutenaient que la naissance de Jésus avait été naturelle, qu’il n’était pas Dieu incarné. Arius, ancien d’Alexandrie, qui vécut vers le début du quatrième siècle, enseignait que Jésus et Dieu n’étaient ni coéternels ni coégaux, que Jésus était le chef de toute création, mais non “ d’une seule substance avec le Père ”. Les Docétiques, secte de chrétiens juifs qui se développa au deuxième siècle, croyaient que le corps de Jésus était seulement une apparence, une vision, une hallucination, non matérielle. Le gnosticisme, fusion des croyances “ chrétiennes ” indépendantes, affirmait que le mal est inhérent à la matière et que, pour cette raison, le corps de Jésus n’avait pu être matériel. Valentin, le chef le plus éminent du mouvement gnostique, enseignait que le corps impalpable de Jésus passa au travers de Marie mais ne naquit pas d’elle. D’autres prétendaient que Jésus avait deux volontés, l’une, humaine, l’autre, divine, etc.

      Ce fut de ce mélange confus d’avis contradictoires que la chrétienté a reçu sa doctrine de l’incarnation. Puisque certains pensaient que Jésus était homme et que d’autres affirmaient qu’il était Dieu, en 325, le concile de Nicée, présidé par un empereur politique païen, à savoir Constantin, se décida pour un homme-Dieu afin de plaire aux deux partis. Jusqu’à ce jour, cette doctrine, bien que nullement fondée sur les Écritures, est généralement tenue pour juste par les protestants et les catholiques. The Catholic Encyclopedia affirme carrément : “ Christ est Dieu. ” Une publication de l’église presbytérienne parle de Jésus comme “ Dieu et homme ”.

      JÉSUS ÉTAIT-​IL UN HOMME-DIEU ?

      Peu importe ce qu’un concile ou homme quelconque ait déclaré sur la nature de Jésus, l’unique source digne de foi de la vérité religieuse est la Bible. Cette Parole révèle que Jésus est le Fils de Dieu et, comme tel, il n’était pas et n’est pas Dieu. Jésus lui-​même a dit : “ Je suis le Fils de Dieu. ” L’ange Gabriel déclara à Marie : “ L’enfant sera saint et sera appelé Fils de Dieu. ” Il n’est nullement parlé d’un homme-Dieu ou d’un Dieu-homme. Nulle part dans la Bible Jésus n’est appelé “ homme-Dieu ” ou “ Dieu incarné ”. De telles suppositions ne sont que des tromperies humaines teintées de paganisme. — Jean 10:36 ; Luc 1:34, 35, Jé ; 2:21.

      Dans les Écritures, il est fait allusion à Jésus comme étant le “ commencement de la création de Dieu ”. Il est la première création de Dieu, appelée la Parole de Dieu ou Logos. Après le péché d’Adam, le Dieu tout-puissant décida d’envoyer ce Fils unique, le sien, sur la terre pour racheter l’homme du péché. Il devait devenir le second homme parfait ou second Adam. Cela nécessiterait qu’il abandonnât sa vie céleste pour naître homme. Il ne s’agit pas d’une incarnation, mais d’une naissance humaine parfaite. Cela s’accomplit grâce à l’esprit saint ou force de Dieu, comme le montre Luc 1:26-38. Il naquit de la vierge Marie et fut appelé Jésus, qui devint “ l’homme ”. — Apoc. 3:14 ; Jean 1:29 ; 19:5 ; I Cor. 15:45.

      Jésus était-​il chair et sang ? Jean nous dit : “ La Parole devint chair, et habita au milieu de nous. ” Paul dit de Jésus : “ Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-​même. ” Si Jésus avait été un homme-Dieu, il aurait été supérieur aux anges et à l’homme. Les Écritures nous affirment qu’il fut fait “ un peu moindre que les anges ”. Il n’était pas non plus coégal à son Père, car il dit lui-​même : “ Le Père est plus grand que moi. ” — Jean 1:14, Da ; Héb. 2:14, 9, Da ; Jean 14:28 ; Phil. 2:5-7.

      Si Jésus était une incarnation, alors il n’était pas le second Adam ; sa vie, sa mort et sa résurrection, tout cela serait un mensonge. La foi chrétienne serait vaine. Nous serions encore dans nos péchés, sans espérance. Rendons grâces à Dieu, sa Parole reste vraie ! Le Christ est vrai. Il fut le second Adam, un homme parfait qui livra son âme “ en rançon pour plusieurs ”. Ceux qui enseignent que Jésus était un homme-Dieu n’ont aucun fondement scriptural à l’appui de leurs déclarations. Il n’est donc pas étonnant que, lorsque le clergé discute sur cette doctrine de l’incarnation, que The Encyclopedia Americana appelle “ la doctrine principale du christianisme ”, il cherche à se cacher derrière cette inacceptable réponse : “ C’est un mystère. ” — Mat. 20:28, Da.

  • Communications
    La Tour de Garde 1961 | 1er septembre
    • Communications

      LE MINISTÈRE

      Rassemblez-​vous en vue d’œuvres utiles. — Eccl. 12:9.

      Jésus-Christ est le plus grand assembleur de tous les temps. Il agit en cette qualité comme l’instrument oint et choisi de son Père céleste, Jéhovah Dieu. Il rassemble des hommes bien disposés pour adorer et servir son Père, et étant un sage, il “ enseigne au peuple le savoir ”. (Eccl. 12:9, Jé.) Sous sa direction invisible ses fidèles disciples servent en qualité de témoins du vrai Dieu, Jéhovah, et diffusent partout la bonne nouvelle de son royaume établi. Grâce à cette œuvre utile, un nombre grandissant de personnes de bonne volonté envers Dieu et le Christ sont rassemblées et invitées à prendre part à ces mêmes œuvres. Au cours du mois de septembre ils offriront à leurs semblables de l’instruction biblique sous forme de deux livres reliés et deux brochures, manuels pour l’étude de la Bible. Pour avoir part à cette œuvre utile, vous n’avez qu’à vous rendre à une des Salles du Royaume des témoins de Jéhovah.

      TEXTES QUOTIDIENS POUR OCTOBRE

      Travaillez de toute votre âme pour favoriser les intérêts du monde nouveau. — Col. 3:23.

      1 Je hais les cœurs partagés et j’aime ta loi. — Ps. 119:113, Jé. wF 15/9/60 14a

      2 Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme ; mais elle doit demeurer dans le silence (...) ce n’est pas Adam qui a été séduit. — I Tim. 2:12, 14. wF 15/3/61 27-29

      3 Il se mit tout à coup à la suivre, comme le bœuf qui va à la boucherie, comme un fou qu’on lie pour le châtier, jusqu’à ce qu’une flèche lui perce le foie, comme l’oiseau qui se précipite dans le filet, sans savoir que c’est au prix de sa vie. — Prov. 7:22, 23. wF 1/4/61 16, 17

      4 Je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le royaume de Dieu. — Mat. 21:31. wF 1/5/61 16-18

      5 Quel que soit votre travail, faites-​le de toute votre âme, comme pour le Seigneur (Jéhovah) et non pour des hommes, sachant que le Seigneur (Jéhovah) vous récompensera. — Col. 3:23, 24, Jé. wF 1/8/60 21 ; 3, 5a

      6 Mais celui en qui ces choses ne sont point est aveugle, il ne voit pas de loin, et il a mis en oubli la purification de ses anciens péchés. — II Pierre 1:9. wF 15/1/61 6, 7a

      7 Jérusalem, tu es bâtie comme une ville où tout se tient ensemble. — Ps. 122:3, AC. wF 15/2/61 31, 32a

      8 Les yeux de (Jéhovah) sont sur les justes et ses oreilles sont attentifs à leur prière. — I Pierre 3:12. wF 15/2/60 15, 16a

      9 Pères, n’irritez pas vos enfants, mais élevez-​les en les corrigeant et en les instruisant selon (l’autorité de Jéhovah, NW). — Éph. 6:4. wF 1/6/60 17, 18a

      10 Comme une ville forcée et sans murailles, ainsi est l’homme qui n’est pas maître de lui-​même. — Prov. 25:28. wF 15/6/60 8a

      11 Ceux qui sont en santé n’ont pas besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs à la repentance. — Luc 5:31, 32, Da. wF 1/7/60 11a

      12 Vous devez vous dépouiller de votre ancienne personnalité, correspondant à votre vie passée (...) et revêtir la nouvelle personnalité créée selon la volonté de Dieu. — Éph. 4:22, 24. NW. wF 15/7/60 8, 9a

      13 Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. — Mat. 7:21. wF 15/8/60 20

      14 En vérité je vous le dis, dans la mesure où vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. — Mat. 25:40, Jé. wF 15/11/60 20, 21a

      15 Prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte, avec toute douceur et en instruisant. — II Tim. 4:2. wF 1/10/60 6a

      ÉTUDES DE “ LA TOUR DE GARDE ” POUR LES SEMAINES DU

      24 septembre : Réjouissez-​vous des compagnies du monde nouveau. Page 260.

      1er octobre : Les surveillants pour la joie du troupeau. Page 264.

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