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  • Les sacrifices qui sont agréables à Dieu
    La Tour de Garde 1969 | 1er novembre
    • et ce n’est que grâce à l’intercession de Moïse qu’elle fut guérie. Pensons-​nous que d’autres ont plus de responsabilités et de privilèges que nous ? Permettons-​nous parfois que se développe inconsciemment en nous le désir d’être un peu plus en vue dans la congrégation ? C’est une chose à laquelle il faut veiller. Il est préférable de se réjouir lorsque certains de nos frères sont récompensés pour le bon travail qu’ils ont effectué et de les encourager, afin qu’ils fassent davantage encore pour la pure adoration.

      24. Que peut-​on dire des sacrifices inutiles ?

      24 Nous voudrons également nous garder d’offrir des sacrifices inutiles. Avez-​vous envisagé de faire des heures supplémentaires ou permettrez-​vous à votre femme de travailler pour que votre fils puisse faire des études supérieures ? Ce serait un ‘sacrifice’, mais en vaut-​il la peine ? Souvent, lorsque les jeunes gens terminent leurs études supérieures, leur foi est devenue très faible ou nulle, et ils n’ont plus ni amour ni respect pour leurs parents qui ont travaillé dur afin de leur permettre d’acquérir une très grande instruction. Certains parents ont connu cette déception. Ce genre de sacrifice n’est pas bon. Par contre, les parents qui se soucient en premier lieu de donner une formation chrétienne à leurs enfants ainsi qu’un bon exemple à suivre, se rendront compte qu’il s’agit là d’un sacrifice qui plaît à Dieu.

      25. À propos des sacrifices offerts à Dieu, qu’est-​ce qui nous rend heureux ?

      25 Heureux sommes-​nous de vivre à une époque où nous pouvons offrir à Dieu les sacrifices qu’il aime particulièrement ! Nous sommes heureux de savoir que ceux-ci doivent être offerts sous forme de louanges venant de chrétiens intelligents et éclairés, et non formalistes et sectaires. Il nous a été clairement montré ce qui réjouit Jéhovah. Quel privilège de connaître les sacrifices qui sont agréables à Dieu et que nous pouvons lui offrir !

  • Les petites choses ont leur importance
    La Tour de Garde 1969 | 1er novembre
    • Les petites choses ont leur importance

      “IL NE faut jamais dédaigner les petites choses.” Cette maxime se vérifie dans bien des cas. Ce sont souvent des détails qui dévoilent la condition du cœur, et ces détails sont parfois lourds de conséquences.

      La vérité exprimée par cette maxime est renfermée dans le principe important que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, exprima en ces termes : “Celui qui est fidèle dans ce qui est très peu est aussi fidèle pour beaucoup, et celui qui est injuste dans ce qui est très peu est aussi injuste pour beaucoup.” — Luc 16:10.

      Quand il prononça ces paroles, Jésus s’adressait à des Juifs qui étaient sous la Loi mosaïque. Cette Loi concernait non seulement les affaires importantes de la vie, tels les Dix Commandements qui interdisaient l’idolâtrie et le meurtre, mais encore les choses apparemment insignifiantes. Par exemple, les Israélites n’avaient pas le droit de manger certains animaux marins, certains mammifères et certaines créatures ailées. — Lév. 11:4-20.

      On aurait pu dire : “Qu’un poisson ait ou non des nageoires et des écailles, qu’est-​ce que cela peut bien faire, du moment que je me le suis procuré honnêtement et qu’il a bon goût ?” Ou bien : “Qu’un mammifère rumine et ait le pied fendu, ou non, cela a-​t-​il de l’importance ?” Ces détails pouvaient sembler insignifiants. Pourtant, les Israélites devaient les prendre au sérieux. Jéhovah Dieu, le Créateur et le Législateur d’Israël, avait sans doute d’excellentes raisons de promulguer ces lois. Empêcher son peuple de trop fraterniser avec ses voisins païens n’était certes pas la moindre.

      Jésus-Christ avait bien compris toute l’importance de certains détails, comme cela ressort des paroles qu’il adressa aux chefs religieux de son époque. Il leur reprochait de payer la dîme des épices — peu de chose, en vérité — et de négliger cependant les choses beaucoup plus importantes, telles que “la justice, la miséricorde et la fidélité”. Cependant, Jésus voulait-​il dire que l’on peut négliger des choses apparemment insignifiantes si l’on s’acquitte des devoirs importants ? Nullement ! Car il dit ensuite : “Ces choses [la justice, la miséricorde et la fidélité], il fallait les faire, sans négliger les autres choses”, c’est-à-dire : le paiement des dîmes des épices, de l’aneth et de la menthe. — Mat. 23:23.

      Le même principe s’applique à notre époque. Le peuple de Dieu a d’importants devoirs à remplir. Il doit étudier la Parole de Dieu et les auxiliaires qui aident à la comprendre, assister aux rassemblements chrétiens, notamment aux réunions de la congrégation locale, prêcher et enseigner la bonne nouvelle du Royaume de Dieu en toute occasion, “en époque favorable et en époque difficile”, et produire les fruits de l’esprit saint de Dieu tels que l’amour, la joie, la paix, la longanimité et la maîtrise de soi. Ce sont là sans aucun doute des “choses importantes” qui doivent occuper la première place dans la vie du chrétien. Mais ce n’est pas une raison pour négliger les choses apparemment insignifiantes. Celles-ci doivent aussi être prises au sérieux. — Gal. 5:22, 23 ; II Tim. 4:2 ; Héb. 10:23-25.

      Il s’agira peut-être de rompre avec toutes les coutumes condamnées directement ou indirectement par les Écritures parce qu’elles ont leur origine dans la fausse religion ou font partie du système de choses de Satan, comme la célébration des fêtes politiques ou religieuses. Certaines personnes jugeront peut-être que le fait de célébrer ou non une fête est sans importance, mais ce n’est pas là le point de vue de Dieu, et les chrétiens mûrs le comprennent bien. Même menacé de mort, un fidèle Israélite du passé n’aurait jamais accepté de violer la loi de Dieu en mangeant du porc. De même que Jéhovah Dieu avait de bonnes raisons de défendre autrefois à son peuple de manger certaines choses, comme le sang, de même il est en droit aujourd’hui d’interdire la célébration des fêtes païennes de ce monde. — Jean 18:36 ; I Cor. 2:12.

      LA CÉLÉBRATION DES ANNIVERSAIRES

      Voulons-​nous imiter les fidèles serviteurs de Dieu, ou les païens ? Selon l’Encyclopédie de la religion et de l’éthique (angl.) de Hastings, la célébration des anniversaires de naissance remonte très loin dans l’Histoire, et on fêtait surtout ceux des païens de haut rang. Y eut-​il jamais sur la terre un personnage plus éminent que Jésus-Christ, le Fils de Dieu ? Pourtant, Jéhovah n’a pas jugé bon de faire consigner par écrit la date exacte de sa naissance, et la Bible ne dit pas que les apôtres de Jésus célébraient son anniversaire. Le Seigneur lui-​même ordonna à ses disciples d’observer la commémoration de sa mort, mais non celle de sa naissance. — I Cor. 11:20, 23-26.

      Les seules célébrations d’anniversaires de naissance mentionnées dans la Bible

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