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Lotus épineuxAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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Ses feuilles petites, ovales et coriaces sont pourvues de deux épines à leur base. La seule mention de cet arbrisseau dans les Écritures se trouve en Job 40:21, 22. Ces versets nous dépeignent Béhémoth (l’hippopotame) couché à l’ombre des lotus épineux.
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LoupAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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LOUP
Animal carnivore qui ressemble à un grand berger allemand, mais plus haut sur pattes; celles-ci sont également plus grosses, et il a une tête plus large et des mâchoires plus fortes. On rapporte qu’en Palestine et en Syrie les loups chassent habituellement en solitaires ou à deux ou trois, mais pas en bandes. Ils traquent leur proie pendant l’obscurité et demeurent à couvert durant le jour (Hab. 1:8; Soph. 3:3). Féroces, hardis et voraces, les loups tuent souvent plus de moutons qu’ils n’en peuvent dévorer ou emporter. Le berger des temps anciens devait donc se montrer courageux et plein de ressources pour protéger le troupeau de leurs méfaits. — Jean 10:12, 13.
C’est presque toujours dans des illustrations que la Bible fait mention du loup. Dans la prophétie qu’il prononça peu de temps avant sa mort, Jacob compara son fils Benjamin à un loup, ce qui constitue sans doute une référence à l’habileté au combat qui caractérisa les Benjaminites (Gen. 49:27; voir BENJAMIN No 2). Les princes de Juda sans scrupules (Ézéch. 22:27), les faux prophètes (Mat. 7:15), les farouches opposants au ministère chrétien (Mat. 10:16; Luc 10:3), ainsi que les faux enseignements qui menaceraient la congrégation chrétienne de l’intérieur (Actes 20:29, 30) sont comparés à des loups. Alors que le loup est bien connu pour ses méfaits (Jér. 5:6), les Écritures le décrivent vivant en paix avec l’agneau sous le règne du Messie. Tous deux se nourrissent ensemble. Nul doute que cette image prophétique s’applique en premier aux humains. — És. 11:6; 65:25.
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LucAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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LUC
(gr. Loukas, apparemment diminutif affectueux des noms latins Lucius ou Lucanus).
Médecin, fidèle compagnon de l’apôtre Paul, rédacteur de l’Évangile qui porte son nom et des Actes des Apôtres. Il ressort de ses écrits que Luc était un homme instruit, et les termes médicaux qu’il emploie confirment sa formation de médecin. — Luc 4:38; Actes 28:8.
Luc ne se présente pas comme un témoin oculaire des événements de la vie du Christ qu’il rapporte dans son Évangile (Luc 1:2). Il semble donc qu’il ne devint croyant qu’après la Pentecôte de l’an 33.
Dans le livre des Actes, Luc parle de lui-même indirectement en utilisant le pronom “nous”. (Actes 16:10-17; 20:5 à 21:18; 27:1 à 28:16.) Il était avec Paul à Troas, au cours du deuxième voyage missionnaire de l’apôtre. De là, il l’accompagna à Philippes où il demeura peut-être jusqu’au retour de Paul, lors de son troisième voyage missionnaire. Luc se joignit de nouveau à l’apôtre quand celui-ci se rendit en Palestine, à la fin de ce voyage (Actes 21:7, 8, 15). Luc écrivit probablement son Évangile à Césarée, à l’époque où Paul était emprisonné dans cette ville (pendant deux ans environ, vers 56-58). Il accompagna l’apôtre quand celui-ci fut emmené à Rome pour y être jugé (Actes 27:1; 28:16) et c’est sans doute dans cette ville qu’il acheva le livre des Actes, vers l’an 61. En effet, ce récit couvre les événements jusqu’à cette date, mais il ne relate pas l’issue de la démarche de Paul auprès de César.
Quand Paul écrivit de Rome (vers 60-61) sa lettre aux chrétiens de Colosses, Luc se joignit à lui pour leur envoyer ses salutations. Dans cette lettre, il y est appelé “le médecin bien-aimé”. (Col. 4:14.) De même, quand Paul écrivit de Rome (vers 60-61) sa lettre à Philémon, il lui transmit également les salutations de Luc dont il parla comme d’un de ses “collaborateurs”. (Philém. 24; AV, Lucas.) La remarque de Paul “Luc seul est avec moi” montre à l’évidence que Luc lui resta attaché et qu’il était avec lui peu avant le martyre de l’apôtre. — II Tim. 4:11.
Certains biblistes soutiennent que Luc était un Gentil, un non-Juif. Pour cela, ils invoquent surtout Colossiens 4:11, 14 où Paul commence par mentionner les “circoncis” (v. 4:11) avant de parler de Luc (v. 4:14). Ils en ont déduit que celui-ci n’était pas circoncis, donc qu’il n’était pas juif. Mais cet argument n’est nullement concluant et il est en contradiction formelle avec Romains 3:1, 2 où Paul montre que Dieu a confié ses déclarations inspirées aux Juifs; or, Luc est l’un de ceux à qui ces déclarations sacrées ont été confiées.
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Luc (La bonne nouvelle selon)Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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LUC (LA BONNE NOUVELLE SELON)
Ce récit relate essentiellement les événements qui se rapportent au ministère terrestre de Jésus. Son but était de présenter les faits à Théophile avec exactitude et dans un ordre logique, afin de confirmer ce qui lui avait été enseigné oralement (Luc 1:3, 4). Toutefois, ce récit ayant été inclus dans le canon de la Bible, beaucoup d’autres personnes, juives et non juives, allaient certainement en tirer profit. Bien que par endroits les matières semblent surtout regroupées par sujets, le plan général de cet Évangile respecte l’ordre chronologique.
RÉDACTEUR ET DATE DE RÉDACTION
On attribue généralement la rédaction de ce récit au médecin Luc (Col. 4:14), bien que son nom n’y figure pas. C’est ce que confirment des documents remontant aussi loin que le deuxième siècle de notre ère, tel le canon de Muratori (vers 170) qui attribue à Luc cet Évangile. En outre, certaines caractéristiques de ce livre permettent de penser que son rédacteur était un médecin instruit. Son vocabulaire est plus riche que celui des trois autres Évangiles réunis. Les maladies que Jésus guérit sont souvent décrites avec plus de détails que dans les autres récits. — Voir Matthieu 8:14; Marc 1:30; Luc 4:38; Matthieu 8:2; Marc 1:40; Luc 5:12.
Luc acheva de toute évidence son Évangile avant d’écrire le livre des Actes (Actes 1:1, 2). Comme il avait accompagné Paul à Jérusalem à la fin de son troisième voyage missionnaire (Actes 21:15-17), il était bien placé pour reprendre avec exactitude tout ce qui avait trait à Jésus Christ, sur les lieux mêmes où le Fils de Dieu avait exercé son ministère. Après l’arrestation de Paul à Jérusalem et plus tard durant l’emprisonnement de l’apôtre à Césarée, Luc eut de nombreuses occasions d’interroger des témoins oculaires et de compulser divers documents. Il est donc raisonnable de conclure qu’il écrivit son Évangile à Césarée au cours des deux ans environ que Paul passa en prison (vers 56-58). — Actes 21:30-33; 23:26-35; 24:27.
PARTICULARITÉS DE L’ÉVANGILE DE LUC
Tout comme les trois autres Évangiles, celui de Luc fournit de nombreuses preuves que Jésus est bien le Christ, le Fils de Dieu. Il montre que Jésus priait assidûment et qu’il s’en remettait pleinement à son Père céleste (Luc 3:21; 6:12-16; 11:1; 23:46). Les nombreux détails propres à cet Évangile viennent s’ajouter aux trois autres récits pour donner un tableau plus complet des événements associés à la vie terrestre de Christ Jésus. Presque tout le contenu des chapitres un et deux ne se trouve pas dans les autres Évangiles. De même, au moins six miracles précis et une bonne quinzaine d’illustrations figurent uniquement dans ce livre. Les miracles sont les suivants: Jésus fait faire à ses disciples une pêche miraculeuse (5:1-6); il ressuscite le fils d’une veuve à Naïn (7:11-15); il guérit une femme courbée en deux (13:11-13), un homme atteint d’hydropisie (14:1-4), dix lépreux (17:12-14) et l’oreille de l’esclave du grand prêtre (22:50, 51). Parmi les illustrations, citons les deux débiteurs (7:41-47), le bon Samaritain (10:30-35), le figuier stérile (13:6-9), le grand repas du soir (14:16-24), la drachme perdue (15:8, 9), le fils prodigue (15:11-32), l’intendant infidèle (16:1-8), l’homme riche et Lazare (16:19-31), et la veuve et le juge injuste (18:1-8).
Les renseignements chronologiques fournis par cet Évangile permettent de déterminer à quelle époque naquirent Jean le Baptiseur et Jésus, et quand commencèrent leur ministère respectif. — Luc 1:24-27; 2:1-7; 3:1, 2, 23; voir ENREGISTREMENT.
AUTHENTICITÉ
Le fait que l’Évangile de Luc se réfère souvent aux Écritures hébraïques et qu’il les cite à plusieurs reprises prouve qu’il est authentique et en harmonie avec les autres livres de la Bible (voir Luc 2:22-24; Exode 13:2; Lévitique 12:8; Luc 3:3-6; Ésaïe 40:3-5; Luc 7:27; Malachie 3:1; Luc 4:4, 8, 12; Deutéronome 8:3; 6:13, 16; Luc 4:18, 19; Ésaïe 61:1, 2). Une autre preuve de l’authenticité de ce livre est l’accomplissement de la prophétie de Jésus relative à la destruction de Jérusalem et de son temple. — Luc 19:41-44; 21:5, 6.
CONTENU
I. But de la rédaction de l’Évangile (1:1-4).
II. Récit des événements qui précédèrent le ministère de Jésus (1:5 à 3:22).
A. Annonce de la naissance de Jean et de Jésus (1:5-38).
B. Marie visite Élisabeth (1:39-56).
C. Naissance et premières années de Jean (1:57-80).
D. Naissance de Jésus en tant qu’homme et premières années de sa vie (2:1-52).
1. Naissance à Bethléhem (2:1-7).
2. Visite des bergers (2:8-20).
3. Circoncision et présentation au temple (2:21-40).
4. Jésus interroge les enseignants dans le temple; il progresse en sagesse (2:41-52).
E. Début du ministère de Jean et baptême de Jésus (3:1-22).
III. Généalogie de Jésus (3:23-38).
IV. Jésus résiste aux tentations du Diable (4:1-13).
V. Ministère terrestre de Jésus (4:14 à 23:49).
A. De son entrée en Galilée au choix des douze apôtres (4:14 à 6:11).
1. Il enseigne dans les synagogues de Galilée; il est rejeté par les gens de sa propre ville (4:14-30).
2. Il effectue des guérisons et il fait faire à Pierre une pêche miraculeuse (4:31 à 5:16).
3. Des Pharisiens et d’autres Juifs l’interrogent sur divers sujets (5:17 à 6:11).
B. Du choix des douze apôtres à l’envoi des 70 disciples (6:12 à 9:62).
1. Jésus choisit les douze apôtres après avoir prié toute la nuit (6:12-16).
2. Il prononce le Sermon sur la montagne (6:17-49).
3. Il guérit un malade à distance et ressuscite le fils d’une veuve (7:1-17).
4. Il reçoit les disciples de Jean et défend celui-ci devant la foule (7:18-35).
5. Illustrations: les deux débiteurs; le semeur (7:36 à 8:21).
6. Miracles: Jésus apaise la tempête, délivre un possédé, guérit une femme atteinte d’un flux de sang et ressuscite la fille de Jaïrus (8:22-56).
7. Il envoie prêcher les douze; il nourrit 5 000 personnes (9:1-17).
8. Il interroge ses disciples sur son identité; la transfiguration (9:18-36).
9. Il guérit un garçon possédé par un démon, ce que ses disciples n’avaient pu faire; il reprend ses disciples qui se demandaient lequel d’entre eux serait le plus grand, ainsi que sur d’autres sujets; des hommes invités à le suivre se trouvent des excuses (9:37-62).
C. De l’envoi des 70 disciples à la nouvelle des menaces d’Hérode (10:1 à 13:30).
1. Jésus donne des instructions à 70 disciples et les envoie deux par deux; ceux-ci font un bon rapport à leur retour (10:1-24).
2. Jésus répond à des questions concernant les conditions requises pour obtenir la vie éternelle; illustration du bon Samaritain (10:25-37).
3. Invité chez Marie et Marthe, Jésus conseille cette dernière (10:38-42).
4. Il enseigne à ses disciples à prier (11:1-13).
5. Il réfute l’accusation selon laquelle il expulserait les démons grâce à Béelzébub; le signe de Jonas (11:14-36).
6. Il prononce une malédiction sur ses adversaires religieux; il met la foule en garde contre les Pharisiens, la crainte des hommes et le matérialisme; il montre la nécessité de veiller et de se repentir; illustration du figuier stérile (11:37 à 13:9).
7. Pendant le sabbat il guérit une femme courbée en deux; il donne des illustrations relatives au Royaume et à la nécessité de lutter avec énergie pour être sauvé (13:10-30).
D. Des menaces d’Hérode à la préparation de la Pâque de l’an 33 (13:31 à 22:6).
1. Jésus apprend qu’Hérode veut le tuer; il condamne Jérusalem, la ville qui tue les prophètes (13:31-35).
2. Pendant le sabbat il guérit un homme atteint d’hydropisie (14:1-6).
3. Illustrations: sur les invités à un repas; sur la nécessité de calculer la dépense pour celui qui devient un de ses disciples; la brebis perdue; la drachme perdue; le fils prodigue; l’intendant infidèle; l’homme riche et Lazare (14:7 à 16:31).
4. Il enseigne ses disciples: Ne pas faire trébucher autrui; pardonner; avoir de la foi; accomplir les tâches assignées (17:1-10).
5. Il guérit dix lépreux (17:11-19).
6. Il explique que le Royaume ne viendra pas de manière à s’imposer à l’observation. Illustrations sur la nécessité de prier et d’être humble, ainsi que sur la difficulté pour un riche d’entrer dans le Royaume; il guérit un aveugle près de Jéricho (17:20 à 18:43).
7. Chez Zachée; illustration des mines (19:1-27).
8. Préparatifs pour l’arrivée de Jésus à Jérusalem; son entrée triomphale (19:28-46).
9. Complot des prêtres en chef, des scribes et d’autres Juifs contre Jésus (19:47 à 20:47).
a. Ils contestent l’autorité par laquelle Jésus accomplit ses œuvres (20:1-19).
b. Ils échouent dans leurs tentatives de prendre Jésus au piège sur la question des impôts et sur son enseignement relatif à la résurrection (20:20-47).
10. Jésus visite le temple avec ses disciples et il annonce sa destruction; il donne un signe composé à ce sujet, signe qui sera aussi la preuve que le Royaume est proche (21:1-38).
11. Judas accepte de trahir Jésus (22:1-6).
E. Les deux derniers jours de Jésus sur la terre et sa mort (22:7 à 23:49).
1. Préparatifs pour la Pâque, sa célébration; institution du Repas du soir du Seigneur (22:7-38).
2. Jésus est trahi et arrêté (22:39-54).
3. Pierre renie Jésus (22:55-62).
4. Jésus est jugé par le Sanhédrin, puis conduit devant Pilate, envoyé à Hérode, ramené ensuite devant Pilate qui finit par céder à la foule et lui livre Jésus pour le mettre au poteau (22:63 à 23:31).
5. Mise au poteau de Jésus; il promet au malfaiteur qu’il sera dans le Paradis; la mort de Jésus s’accompagne de phénomènes étranges (23:32-49).
VI. Jésus est mis au tombeau; sa résurrection, ses apparitions et son ascension au ciel (23:50 à 24:53).
Voir le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pp. 176-182.
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LuciusAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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LUCIUS
{Article non traduit.}
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Lud, LudimAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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LUD, LUDIM
{Article non traduit.}
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LuhithAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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LUHITH
{Article non traduit.}
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LumièreAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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LUMIÈRE
Ce qui émane d’une source de lumière, comme une lampe (Jér. 25:10) ou le soleil; au sens physique ou figuré, le contraire des ténèbres (És. 5:20; Jean 11:10, 11). De l’avis général, la lumière, qui semble se propager par ondes, est de nature corpusculaire. Jusqu’à ce jour, cependant, l’homme n’a pas été capable de donner une réponse complète à la question suivante posée il y a plus de 3 000 ans par le Créateur de la lumière: “Où donc est le chemin par lequel se distribue la lumière?” — Job 38:24.
La lumière venant du soleil est une combinaison de couleurs, chacune d’elles ayant une longueur d’onde différente. La couleur d’un objet est fonction de la portion des faisceaux lumineux qui sont réfléchis par la surface de l’objet en question. Ainsi, la lumière produit toute une gamme de tons pour le plaisir des yeux. Elle est également indispensable à la perpétuation de la vie terrestre, qu’elle soit humaine, animale ou végétale.
LA SOURCE DE LA LUMIÈRE
Jéhovah Dieu forme la lumière et crée les ténèbres (És. 45:7). Voici ce qu’il déclara à propos du premier jour de la création: “Qu’il se fasse de la lumière!” (Gen. 1:3). Auparavant, il avait créé les cieux (y compris les “grands luminaires”, savoir le soleil, la lune et les étoiles; voir Psaume 136:7-9) et la terre (Gen. 1:1). Ainsi, appeler la lumière à l’existence par rapport à la terre signifiait manifestement ôter ce qui empêchait les rayons du soleil d’atteindre la planète. Et la “séparation” entre la lumière et les ténèbres a dû se produire grâce au mouvement rotatoire de la terre autour du soleil (Gen. 1:4, 5). Beaucoup plus tard, Jéhovah frappa les Égyptiens adorateurs du soleil en les plongeant dans les ténèbres, ténèbres qui ne touchèrent pas les Israélites (Ex. 10:21-23). Lorsque Dieu conduisit son peuple hors d’Égypte, il l’éclaira par le moyen d’une colonne de feu. — Ex. 13:21; 14:19, 20; Ps. 78:14.
À maintes reprises les Écritures associent la lumière à Celui qui en est le Créateur. Citons ces paroles du psalmiste: “Ô Jéhovah, mon Dieu, tu t’es montré très grand. Tu t’es revêtu de dignité et de splendeur, t’enveloppant de lumière comme d’un vêtement.” (Ps. 104:1, 2). Cette déclaration s’harmonise avec la vision qu’eut Ézéchiel et qu’il décrit en ces termes: “Je vis quelque chose comme le scintillement de l’électrum, comme l’apparence du feu, à l’intérieur, tout autour, depuis l’apparence de ses hanches vers le haut; et depuis l’apparence de ses hanches vers le bas, je vis quelque chose comme l’apparence du feu; et il y avait une clarté tout autour de lui. Il y avait quelque chose comme l’apparence de l’arc qui apparaît dans une masse nuageuse, un jour de pluie torrentielle. Telle était l’apparence de la clarté tout autour. C’était l’apparence de la ressemblance de la gloire de Jéhovah.” (Ézéch. 1:27, 28). Des siècles auparavant, une simple manifestation partielle de cette gloire avait eu un tel effet sur la peau du visage de Moïse qu’elle émettait des rayons. — Ex. 33:22, 23; 34:29, 30.
‘Dieu est lumière et il n’y a nulle trace de ténèbres dans l’union avec lui.’ (I Jean 1:5). Il est juste, droit et saint (Deut. 32:4; Rév. 4:8), et n’a rien à voir avec les pratiques impures et dégradantes généralement rattachées aux ténèbres (voir Job 24:14-16; II Corinthiens 6:14; I Thessaloniciens 5:7, 8). Par conséquent, les humains qui marchent dans les ténèbres en manifestant
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