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  • La femme japonaise moderne
    Réveillez-vous ! 1979 | 8 septembre
    • du mari qui se rapproche de sa famille ou même qui se met à étudier la Bible à son tour. En recherchant la direction de son mari, la femme fait montre de soumission chrétienne, attitude respectueuse qui la rend encore plus attirante pour son conjoint.

      Ces bienfaits s’étendent également aux relations familiales et personnelles, comme le montre le cas d’une femme qui vivait avec sa belle-mère. Un jour, la jeune femme accepta une étude biblique et comme elle désirait se rapprocher de sa belle-mère, elle l’invita à y assister. Cette dernière accepta, pour éviter à sa bru de se laisser égarer par une nouvelle religion. Avec le temps, toutes deux furent convaincues que la Bible enseigne la vérité et elles joignirent leurs efforts pour mettre leur vie de famille en accord avec les principes bibliques. Les premières années, le mari ne manifesta aucun intérêt, bien qu’il fût très fier de mentionner à ses amis la bonne entente qui régnait entre sa femme et sa mère. Mais, touché par l’excellente conduite de ses enfants éduqués suivant les principes bibliques, il s’est mis dernièrement à étudier la Bible à son tour.

      De plus, la fréquentation de la congrégation chrétienne apprend aux femmes timides ou introverties à s’épanouir en société et elle leur fournit l’occasion de s’exprimer dans une ambiance affectueuse et familiale.

      Il apparaît donc que la femme japonaise ne correspond plus à l’archétype passif légué par la tradition. Elle joue désormais un rôle complexe dans une société en mutation. Certes, il existe de grandes différences entre la vie urbaine et la vie rurale. Force est de reconnaître que les attitudes d’antan restent profondément ancrées et que, bien souvent, les femmes sont encore considérées par beaucoup comme des êtres inférieurs. Les Japonaises n’en demeurent pas moins fières du rôle qui leur incombe en tant qu’épouses et mères, tout en sachant préserver ce charme féminin et cette modestie qui les ont signalées à l’attention du monde entier.

  • L’informatisation de la société — science-fiction ou réalité?
    Réveillez-vous ! 1979 | 8 septembre
    • L’informatisation de la société — science-fiction ou réalité?

      De notre correspondant en Grande-Bretagne

      LES auteurs de récits de science-fiction décrivent souvent un monde où de gigantesques ordinateurs contrôleraient le gouvernement, l’industrie et le commerce. Ils évoquent également une époque où chaque foyer aurait accès à un ordinateur qui répondrait aux besoins du ménage, dispenserait le savoir et où il n’y aurait qu’à appuyer sur un bouton pour obtenir des renseignements ou des conseils sur toutes sortes de sujets. Un tel monde vous séduit-​il? Pourrait-​il devenir un jour une réalité?

      Le quart de siècle qui vient de s’écouler a vu d’énormes progrès dans l’utilisation des ordinateurs. Nouveauté insolite au début, l’ordinateur est devenu l’objet d’une industrie qui brasse des milliards de dollars. Il y a 20 ans, il n’existait qu’une centaine de ces appareils dans le monde entier, alors qu’à présent ils sont environ 300 000. Au cours des deux prochaines décennies on en comptera peut-être des dizaines de millions. Un tel accroissement justifie que l’on s’interroge sur les utilisations de l’ordinateur. Quels progrès a-​t-​on réalisés dans ce domaine? Et, plus important peut-être, où ces progrès nous mènent-​ils?

      Les progrès dans le matériel informatique

      Au cours des deux dernières décennies, des progrès sensibles ont été enregistrés dans les technologies appliquées au matériel informatique, c’est-à-dire aux différentes parties de l’ordinateur. Le plus souvent, la technologie a progressé à pas de géant et les améliorations révolutionnaires ont multiplié les performances existantes par un facteur 100. À titre d’exemple, on peut citer la miniaturisation des plaquettes de circuits.

      Il y a vingt ans, pour conserver une seule information en langage binaire, il fallait une carte à circuit imprimé, de la taille d’une carte à jouer, équipée de ses composants. Cela signifie qu’une telle carte pouvait retenir les valeurs 0 ou 1, et rien d’autre. Pour conserver une lettre de l’alphabet, il fallait au moins six de ces circuits imprimés. Aujourd’hui, quelque quatre ou cinq générations technologiques plus tard, il existe des circuits qui peuvent emmagasiner 16 000 de ces unités d’information binaire sur un module plus petit que l’ongle du pouce. Autrement dit, toutes les informations renfermées dans cette page tiendraient sur un seul module.

      Également étonnants sont les progrès de la vitesse avec laquelle les ordinateurs traitent leurs données. Les anciennes machines pouvaient traiter de 30 000 à 40 000 instructions par seconde, alors que leurs équivalents modernes en traitent 3 à 4 millions dans le même laps de temps. Quand on pense qu’une seule instruction peut accomplir une opération arithmétique (addition, soustraction, multiplication, etc.) avec deux nombres, quelle que soit leur importance ou presque, on a une idée des possibilités des ordinateurs modernes. Rien d’étonnant qu’on les ait surnommés “mangeurs de chiffres”.

      Outre la “mémoire centrale”, c’est-à-dire les informations ou les données conservées sur les modules, les ordinateurs possèdent ce qu’on appelle une mémoire auxiliaire. Celle-ci sert à conserver la masse des données qui ne servent pas tout de suite, un peu comme on range des livres sur les rayons d’une bibliothèque en vue d’une utilisation future. En principe, ce fichier magnétique est conservé sous forme d’enregistrement sur bandes, disques ou tambours, selon le même principe qu’un enregistrement au magnétophone. Là encore, les progrès ont été spectaculaires. Sur un centimètre de bande qui n’enregistrait autrefois que 200 caractères, on est passé à plus de 2 000 aujourd’hui. Des unités de mémoire de masse qui utilisent des bandes magnétiques peuvent retenir plus de 200 milliards de caractères, soit l’équivalent du contenu de 50 000 exemplaires de la Bible.

      Enfin, il faut évoquer les différents moyens par lesquels on introduit ou on retire des informations dans l’ordinateur. Dans le passé, on ne disposait que de cartes ou de bandes de papier perforées ainsi que des listes établies par l’imprimante de l’ordinateur. L’utilisateur devait se trouver près de la machine pour introduire ses cartes et obtenir le résultat des opérations. Aujourd’hui, on dispose d’une plus grande variété de possibilités. La plus couramment utilisée est sans doute le raccord de la machine à un poste de télétraitement appelé terminal. Celui-ci ressemble à un appareil de télévision auquel on aurait fixé un clavier de machine à écrire. L’utilisateur dactylographie les informations qu’il visualise sur l’écran et que l’ordinateur sait lire. Ensuite, la machine répond en présentant des informations sur le même écran, pour que l’utilisateur puisse les lire. Le terminal permet d’opérer dans les deux sens avec l’ordinateur, c’est-à-dire de l’interroger et de recevoir des réponses. Qui plus est, un terminal n’a pas besoin d’être à proximité de l’ordinateur. Il peut se trouver dans un bureau, un laboratoire, une salle de classe ou un foyer situé à des centaines, voire des milliers de kilomètres de distance à l’autre bout d’une ligne téléphonique ou d’une liaison par satellite.

      Les progrès réalisés dans le “logiciel”

      Le logiciel informatique, c’est-à-dire les programmes qui commandent les opérations de la machine, a connu également d’importants progrès. Dans le passé, si l’on désirait qu’un ordinateur effectue une certaine opération, il fallait coder sa demande dans le langage de l’ordinateur. Cette programmation était compliquée et exigeait beaucoup de temps et d’efforts. Le programmeur devait posséder une connaissance détaillée de la constitution de l’ordinateur. C’est pourquoi ces machines ne sortaient pas des milieux de l’informatique. Ce n’est plus le cas à présent, puisque la dernière décennie a vu évoluer les programmes de contrôle ou “systèmes d’exploitation” qui “gèrent” l’ordinateur et le rendent plus facile à utiliser. Ils permettent aux utilisateurs de communiquer directement leurs besoins à la machine en se servant du langage humain. Des médecins, des hommes de science, des écoliers, des professeurs et des ménagères, bref, toutes sortes de gens qui ne connaissent rien au fonctionnement de l’ordinateur peuvent s’en servir à partir du langage courant simplifié. En outre, les programmes permettent de procéder à un “partage du temps”, c’est-à-dire que plusieurs personnes peuvent travailler simultanément sur l’ordinateur en exploitant ses énormes capacités.

      Il y a également le problème qui consiste à emmagasiner de grandes quantités d’informations. Si l’on considère la tâche d’un bibliothécaire qui s’occupe d’une bibliothèque d’une certaine importance, on comprend que le stockage de nombreux renseignements exige une organisation extrêmement minutieuse. Les ordinateurs possèdent des programmes qui servent de bibliothécaires et qui organisent les données dans ce que l’on appelle des “bases de données”. Celles-ci sont disposées de telle sorte que l’on peut retrouver en quelques fractions de seconde n’importe quelle donnée enregistrée. Autrement dit, l’utilisateur a presque instantanément accès à une foule d’informations.

      Un autre progrès important réalisé dans le logiciel est venu du raccord des ordinateurs par lignes téléphoniques. Ces dernières années, on employait des réseaux téléphoniques pour transmettre des données codées entre terminaux et ordinateurs. Devant l’augmentation de ce genre d’activités, les différentes administrations qui gèrent les télécommunications ont coopéré dans le monde entier pour établir des réseaux réservés exclusivement à la transmission d’informations d’ordinateurs. Contrairement au réseau téléphonique public, ces “réseaux de données” permettent des communications en tous sens entre les machines.

      On voit mal comment un téléphoniste pourrait remplir sa tâche dans un tel réseau, aussi sa fonction est-​elle assumée par des programmes contrôlés qui permettent aux ordinateurs d’échanger simultanément des informations avec leurs terminaux ou d’autres ordinateurs. En se servant de tels réseaux, les ordinateurs peuvent répartir le travail à accomplir. C’est ce que l’on appelle le “traitement distribué”. Par exemple, un ordinateur qui a une grande base de données médicales peut traiter toutes les questions médicales qui passent par le réseau.

      Si les progrès réalisés dans le matériel informatique ont amélioré les performances de l’ordinateur, les progrès logiciels l’ont rendu d’une utilisation plus aisée. Comme ces machines sont devenues d’un emploi plus facile que par les années passées, les fabricants sont en mesure pour la première fois de personnaliser les systèmes informatiques qu’ils livrent à leurs clients.

      Du bon et du mauvais usage de l’ordinateur

      Tous ces progrès permettent de comprendre pourquoi l’utilisation des ordinateurs s’accroît chaque jour. De grandes organisations en font toutes sortes d’applications, aussi bien dans la gestion que dans la comptabilité, le stockage ou l’obtention d’informations, l’éducation, etc. La liste ne connaît pratiquement pas de limite. Avec d’aussi vastes applications, les réseaux de traitements distribués sont souvent répartis dans toute une organisation pour offrir les services de l’ordinateur aussi bien aux administrateurs qu’aux ingénieurs ou aux étudiants.

      On en trouve un bon exemple dans les opérations bancaires. Grâce à un terminal, une agence peut avoir accès à un ordinateur qui conserve les détails du compte d’un client. Cet ordinateur est peut-être lui-​même relié à un réseau de traitement distribué qui couvre tout le pays et qui permet au gigantesque organisme bancaire de gérer méthodiquement ses affaires.

      De même, certains grands magasins et supermarchés emploient des caisses enregistreuses reliées à de petits ordinateurs qui traitent les affaires de deux ou trois magasins locaux. Ces ordinateurs font eux-​mêmes partie d’un réseau national qui relie toute la chaîne des magasins.

      Imaginez un peu que l’on relie les réseaux bancaires avec ceux des magasins de vente au détail. On pourrait alors faire ses achats sans manipuler d’argent ou de cartes de crédit, et le compte en banque serait mis à jour et débité automatiquement. En outre, si les foyers particuliers étaient reliés à ce réseau, il n’y aurait même plus besoin de se rendre au magasin. Chacun choisirait ses marchandises sur catalogue, passerait sa commande et paierait par l’intermédiaire du réseau d’ordinateurs. Il s’agit là de possibilités bien réelles.

      On a estimé que dans les années 80, on produirait chaque année 13 millions de documents scientifiques, soit l’équivalent de tous les écrits scientifiques produits depuis l’origine. Sans ordinateur pour traiter une telle quantité d’informations, le travail de l’homme de science, de l’ingénieur et du technicien deviendrait impossible.

      On apprécie également l’utilité des ordinateurs dans l’éducation. De grands organismes en emploient pour former leur personnel, et on s’en sert aussi dans les établissements d’enseignement secondaire ou universitaire. Un ordinateur qui sert de professeur ne se lasse jamais, si bien que chaque élève peut étudier à son propre rythme.

      Ces trois dernières années ont également vu un accroissement considérable de la vente des petits ordinateurs autonomes. Souvent ils ne sont pas plus grands qu’un bureau, mais ils facilitent considérablement la tâche du petit industriel, car ils accomplissent les mêmes opérations que leurs gigantesques cousins. Cependant, leurs capacités de stockage sont limitées, aussi ne peuvent-​ils servir autant d’utilisateurs.

      Il en va des ordinateurs comme des autres inventions: ils posent des problèmes. Par exemple, une nouvelle race de malfaiteurs a vu le jour avec eux. On connaît au moins 500 délits prouvés, commis à l’aide d’un ordinateur. Rien qu’aux États-Unis, cette malhonnêteté coûte aux hommes d’affaires 300 millions de dollars par an.

      Une menace pèse également sur notre vie privée. Nous vivons en effet l’ère de l’“explosion des informations”. Or, ces informations sont si nombreuses qu’elles doivent être traitées par ordinateur, l’homme en étant incapable. Mais un grand nombre de ces renseignements sont confidentiels, et l’on craint qu’ils ne tombent entre des mains peu scrupuleuses de gens qui ne s’en serviraient pas pour le bien de la société. On a dit que “celui qui détient les informations détient le pouvoir”, ce qui explique pourquoi l’idée d’une société informatisée éveille certaines inquiétudes.

      On redoute aussi les conséquences de ce phénomène sur la société. D’aucuns pensent que les ingénieurs et les hommes de science qui produisent ces technologies se préoccupent plus de l’aspect technique de leur travail que de ses implications sur la société. On craint encore que les industries de l’informatique et des communications n’accordent plus d’attention aux bénéfices qu’aux répercussions que leurs services pourraient avoir sur la société. On a dit que si cette tendance s’accentuait, nous serions saturés d’informations dont nous pourrions aisément nous passer.

      Que nous réserve l’avenir? D’après ce que nous venons de voir, il semble que tout est prêt pour que l’informatique devienne un service public, au même titre que l’électricité, le gaz ou le téléphone. La technique actuelle permet de relier chaque bureau et chaque foyer à un réseau international d’ordinateurs qui fourniraient des cours, des renseignements, etc. D’ici à 1985, a prédit un spécialiste, 70 pour cent des salariés américains emploieront un ordinateur. Qui plus est, les experts de l’informatique et des communications estiment que les progrès révolutionnaires réalisés au cours du quart de siècle écoulé vont se poursuivre. Ainsi, l’informatisation de la société n’a rien de fictif. La question est de savoir si elle est souhaitable. Seul l’avenir nous livrera la réponse.

      [Illustration, page 22]

      L’informatique simplifie les opérations bancaires.

  • Des missionnaires conscients des difficultés qui les attendent
    Réveillez-vous ! 1979 | 8 septembre
    • Des missionnaires conscients des difficultés qui les attendent

      “NOUS savons où nous allons et quel genre de situations nous rencontrerons. Nous sommes prêts à les affronter.” Ces paroles de l‘un des missionnaires de la 66e classe de Galaad, l’École biblique de la Watchtower, exprimaient le sentiment de tous ses compagnons. Tous étaient prêts à se rendre dans les territoires qui leur avaient été attribués dans 11 pays.

      Ce n’était pas un mince défi qu’ils relevaient là. La plupart d’entre eux allaient devoir apprendre une nouvelle langue, s’habituer à un nouveau mode de vie et à des coutumes inconnues. Nul doute qu’ils avaient besoin de conseils utiles pour les aider à s’adapter à un bouleversement aussi grand.

      Pendant le déroulement de la remise des diplômes aux 26 missionnaires, le 11 mars 1979, les 1 952 assistants prirent peu à peu conscience que les conseils qui étaient présentés leur seraient utiles à eux aussi. L’un des orateurs, V. Wisegarver, déclara: “Le présent système de choses nous assaille de quantité de problèmes. Les déconvenues ainsi que d’autres difficultés constituent de réelles épreuves. Parfois, il faut faire face à des circonstances pénibles auxquelles on ne peut rigoureusement rien changer.”

      Comment réagir en de telles circonstances? L’orateur donna la clé du problème: “la patience.” Il attira l’attention sur le texte de Jacques 5:7, qui parle de la patience nécessaire au cultivateur. “À part planter et cultiver, que peut-​il faire?, demanda l’orateur. Il peut toujours se faire du souci, taper du pied ou crier; cela ne fera que lui ôter ses forces, sa santé et sa joie, mais il n’y aura pas une goutte de pluie pour autant.”

      Quel est donc le “secret” qui permet de garder son calme malgré toutes sortes d’adversités? En guise de réponse, R. Rains attira l’attention de l’auditoire sur les paroles de l’apôtre Paul rapportées en Philippiens 4:12, 13. Évoquant la vie de ce missionnaire expérimenté, l’orateur demanda quel était le “secret” que Paul avait appris. Le voici: “Accepter n’importe quelle situation et s’y adapter, en se reposant sans cesse sur Jéhovah pour trouver la force de persévérer.”

      L’orateur expliqua avec des exemples concrets que la variété des personnalités qui composent la congrégation chrétienne oblige chacun à une certaine souplesse. Il lut une lettre d’un missionnaire qui avait appris ce “secret”, lettre dont voici un extrait: “Dans notre maison de missionnaires règne un merveilleux esprit de coopération. Chacun laisse les autres libres d’être eux-​mêmes, et pourtant tout le monde se montre de bon service.” De fait, si l’on se souvient de ce “secret”, les différences de personnalités ne constitueront pas une cause de conflits.

      Le programme se poursuivait par des conseils de D. Olson adressés aux étudiants pour leur montrer la nécessité de remplacer l’esprit de

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