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  • Un homme qui eut le courage de parler
    La Tour de Garde 1977 | 15 juin
    • Le Seigneur Jésus Christ dirigera cette œuvre d’exécution. — Rév. 16:14-16 ; 18:1-24 ; 19:11-16.

      À l’exemple d’Hénoch, les chrétiens de notre temps proclament hardiment le message de Dieu, qu’il s’agisse d’annoncer les jugements divins contre les impies ou de faire connaître le dessein glorieux de Dieu qui est de bénir l’humanité grâce à la domination de son Royaume céleste. Voilà ce que les Témoins de Jéhovah ont le courage de prêcher.

  • L’homme est fait pour la terre
    La Tour de Garde 1977 | 15 juin
    • L’homme est fait pour la terre

      L’EXPÉRIENCE nous apprend que nous avons besoin de la terre. Celle-ci pourvoit à tous nos besoins matériels, tels que la nourriture, l’eau et le vêtement. Et qui de nous n’apprécie pas la beauté de notre planète, de ses montagnes majestueuses, le calme de ses forêts et le mugissement de l’océan ?

      L’examen chimique du corps de l’homme révèle que tous les éléments qui le composent se trouvent dans le sol. Cela est en harmonie avec la déclaration biblique selon laquelle l’homme fut créé “de la poussière du sol”. (Gen. 2:7.) Il est intéressant de noter que, selon la Bible, le premier homme fut appelé Adam, nom qui peut se traduire par “homme terrestre”. Dieu le chargea de prendre soin de la terre. En fait, la terre fut “donnée” à l’homme pour demeure. — Ps. 115:15, 16.

      Mais aujourd’hui, l’homme explore l’espace. Se pourrait-​il qu’il s’adapte aussi bien à la vie sur quelque autre planète ? S’il a vraiment été fait pour la terre, ne devrait-​on pas en avoir d’autres preuves que ses besoins en air, en eau et en nourriture ?

      Par exemple, sur la planète Jupiter, un ‘jour’ n’est que de dix heures environ ; par contre, une ‘année’ équivaut à environ douze années terrestres. Avec un peu d’expérience, l’homme ne parviendrait-​il pas à s’adapter à cette autre division du temps ? Est-​il réellement fait pour les horaires terrestres ? À ce propos, il est intéressant d’examiner les témoignages apportés par les milieux scientifiques.

      Le professeur John Palmer, de l’université de New York, dit : “Selon toute évidence, la faculté de diviser le temps en périodes d’environ vingt-quatre heures est une propriété inhérente au protoplasme”, substance que l’on trouve dans tout ce qui vit sur la terre, y compris l’homme. Le professeur de biologie Frank Brown, de l’Université Northwestern, déclare : “Il y a dans l’homme des systèmes rythmiques de vingt-quatre heures, réglés comme des horloges.”

      Ces “horloges” quotidiennes, parfois appelées ‘horloges biologiques’, sont désignées plus exactement sous le nom de “rythmes circadiens” (du latin circa “environ”, et dies “jour”, soit “environ un jour”), puisque la plupart des rythmes ne sont pas exactement de vingt-quatre heures.

      RYTHMES DE VINGT-QUATRE HEURES CHEZ L’HOMME

      Les autorités en la matière s’accordent pour dire que le plus évident de ces rythmes est le cycle ‘sommeil-​réveil’. Toutes les vingt-quatre heures, la plupart des hommes consacrent huit heures au sommeil et seize à d’autres activités. Avez-​vous déjà essayé de modifier ce cycle, en restant une nuit sans dormir par exemple ? Vous ne pourriez pas le faire très longtemps, n’est-​ce pas ? Votre organisme ne le supporterait pas.

      Les expériences effectuées en vue de modifier le cycle sommeil-​réveil de vingt-quatre heures se sont révélées infructueuses. Nathaniel Kleitman, expert en la matière, a fait la déclaration suivante : “Les efforts déployés pour soumettre l’homme à un rythme de 12 heures ont tous échoué (...). Les essais tentés dans notre laboratoire pour le soumettre à un rythme de quarante-huit heures n’ont pas été plus heureux.” Les habitudes de l’homme relatives au sommeil indiquent qu’il a été fait pour un cycle de vingt-quatre heures.

      On nous dit également que la température du corps est soumise à un rythme de vingt-quatre heures. Pour un homme bien portant, elle est en moyenne de 37 degrés centigrades. Mais chaque jour elle varie d’environ un degré, en ce sens qu’elle est généralement plus basse le matin et plus élevée l’après-midi.

      La plupart des substances chimiques libérées dans le corps suivent, croit-​on, un horaire de vingt-quatre heures. Par exemple, voyez ce qu’un ouvrage faisant autorité (1968) dit au sujet des hormones élaborées par les capsules surrénales et les glandes pituitaires :

      “Vers 3 heures du matin, il se produit une activité pituitaire ACTH intense, qui atteint son maximum vers 6 heures du matin. Elle est suivie peu après d’une brusque élévation du taux des corticoïdes et de leurs dérivés dans le plasma. C’est comme si les batteries se rechargeaient pendant le sommeil de manière à être prêtes fonctionner le matin au réveil. Tout au long de la journée, le taux des corticoïdes baisse progressivement, de sorte qu’à minuit il a atteint son niveau le plus bas. La différence entre le maximum atteint aux premières heures du matin et le minimum atteint aux heures avancées de la nuit est environ du double.”

      Mais supposons qu’une personne dorme le jour et travaille la nuit ; le rythme de vingt-quatre heures auquel ces glandes sont soumises en serait-​il affecté ? La source précitée poursuit en ces termes :

      “Le rythme de travail des glandes surrénales ne dépend pas du sommeil, comme cela est démontré dans le cas des travailleurs de nuit, dont les glandes fonctionnent au rythme normal ; il n’a aucun rapport direct avec la vision, puisque les aveugles présentent les mêmes variations diurnes que les sujets normaux.” — Textbook of Endocrinology, édité sous la direction du docteur R. H. Williams.

      On pense que d’autres parties et fonctions du corps humain sont soumises à un rythme circadien. Selon les médecins du Collège de médecine Baylor de Houston, États-Unis, même quand ‘il n’est plus relié au système nerveux, le cœur d’un donneur garde un rythme circadien similaire’. — Science, 14 août 1970.

      Étant donné qu’un si grand nombre de rythmes semblent correspondre à la durée d’un jour terrestre, soit vingt-quatre heures, on comprend que certains savants aient émis l’idée de l’existence d’un rapport ‘cosmique’ entre les deux. Ainsi, le professeur Brown affirme que l’‘horloge’ des créatures vivantes terrestres est réglée par les cycles géophysiques naturels. Bien que cette opinion ne soit pas unanimement acceptée, peu d’experts sont disposés à écarter complètement la possibilité qu’elle soit juste. Se pourrait-​il que ces rythmes subissent des modifications dans l’espace cosmique ?

      D’après le livre L’horloge physiologique (angl., éd. de 1967), du professeur Erwin Bünning, la réponse est non ; nous y lisons en effet : “L’examen approfondi des problèmes posés par les vols spatiaux révèle que les hommes ne peuvent s’adapter que dans une certaine mesure à un milieu qui diffère considérablement du cycle de vingt-quatre heures.” Le professeur Bünning dit en conclusion que tout atteste la véracité de cette déclaration faite au dix-huitième siècle par le médecin allemand C. W. Hufeland : “La période de vingt-quatre heures (...) est, pour ainsi dire, l’unité de chronométrie naturelle.”

      En vérité, l’homme fait partie d’un système basé sur un cycle de vingt-quatre heures.

      LES AUTRES HORLOGES DU CORPS HUMAIN

      Les rythmes circadiens ne sont pas les seules ‘horloges’ du corps humain D’autres chercheurs ont apporté les preuves de l’existence d’un cycle basé sur une année terrestre. Un article paru dans le Scientific American d’avril 1971 dit : “Quinze années d’études ont révélé l’existence d’un rythme annuel bien déterminé chez le sujet examiné.”

      Qu’en est-​il de la lune ? La Bible montre que la lune, aussi bien que le soleil, devait permettre à l’homme de marquer le temps ; certains passages bibliques font allusion au mois lunaire de 29 jours et demi (I Rois 6:37). Les faits démontrent maintenant que la lune influence de nombreuses formes de vie animale, telles que les huîtres. De plus, elle règle en grande partie les marées.

      Ces constatations ont amené un rédacteur de la revue Science Digest à poser cette question : “Si [la lune] peut exercer une attraction directe sur les tissus vivants [des espèces animales] et aussi sur les mers, pourquoi n’influencerait-​elle pas les humains ?” Vraisemblablement, il existe des rapports intéressants entre le cycle lunaire et l’espèce humaine.

      Voici ce que dit le professeur Palmer relativement à deux de ces rapports :

      “Même les manuels élémentaires enseignent que le cycle menstruel est en moyenne de 28 jours (...). Après un nouvel examen minutieux des données rassemblées par les premiers chercheurs (...), on sait maintenant que la période menstruelle est en moyenne de 29 jours et demi, — la durée exacte du mois lunaire synodique. D’autre part, on a découvert que la période moyenne de gestation, — le temps qui s’écoule entre la conception et l’accouchement, — est exactement de neuf mois lunaires (266 jours).” — Natural History, avril 1970.

      Conscient de ces rapports apparents, le rédacteur précité de la revue Science Digest a posé cette question : “Est-​ce une simple coïncidence ?”

      Comme certains l’ont prétendu, se pourrait-​il qu’“il existe des rythmes protoplasmiques naturels ayant la périodicité d’un cycle lunaire”, tout comme il y a des rythmes apparents de vingt-quatre heures ?

      Il y a encore un autre moyen de prouver que la terre est bien la demeure de l’homme. Considérons pour cela ce qui se passe quand l’homme quitte la planète pour explorer l’espace.

      L’HOMME LOIN DE SA DEMEURE

      Loin de la terre, sa demeure, l’homme se trouve hors de son milieu naturel. L’espace cosmique est mortel. L’homme qui y pénètre sans protection meurt instantanément. Même protégé par un équipement spécial, il s’expose à des dangers omniprésents qu’il ne rencontre pas dans son milieu naturel.

      L’apesanteur, tout particulièrement, présente un sérieux danger. Par suite de son effet débilitant sur le système circulatoire de l’homme, elle risquerait d’entraîner sa mort quand il entre de nouveau dans la zone d’attraction terrestre. Il a donc fallu mettre au point des méthodes spéciales pour contrôler la circulation du sang des astronautes dans l’espace. Ces mesures,

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