mondiale de blé dépasserait à peine les 350 millions de tonnes. La production de céréales fourragères accuserait une légère baisse par rapport aux prévisions précédentes. Il en serait de même pour la récolte de riz. Toujours selon la même source, cette baisse serait essentiellement due à la diminution des récoltes des États-Unis, du Canada et de l’URSS.

“Un acte de création”

Parlant de l’âge de la terre, James Hutton, père de la géologie moderne, écrivait au dix-huitième siècle : “Nous ne trouvons aucun vestige d’un commencement.” Mais comme c’est souvent le cas, la science a changé. Ainsi, écrivant dans le Natural History, Robert Jastrow, directeur de l’Institut Goddard d’études spatiales, déclara que les instruments et les études modernes “ont fourni une description de l’histoire du monde qui, comme dans le livre de la Genèse, commence de façon soudaine par un acte de création”. — Août-​septembre 1974, pp. 80, 82.

“Un choc désagréable”

Avec les fruits de l’immoralité, la médecine moderne a rencontré plus fort qu’elle. Faisant remarquer que “les maladies vénériennes connaissent partout un accroissement inquiétant”, le périodique World Health déclara que “l’échec du contrôle des infections vénériennes (...) a été un choc désagréable pour les autorités médicales”. Pourquoi ? “Parce qu’il n’y a pas longtemps encore on prétendait généralement que de nouveaux traitements allaient permettre la diminution rapide (...) des deux maladies les plus répandues et les plus meurtrières”, qui sont la conséquence de l’amour libre. Mais la décadence morale des hommes a été beaucoup plus “rapide” que les progrès de la médecine.

L’éthique et la famine

Les autorités commencent à définir leur “éthique” en fonction de la famine dans le monde. Le sujet est traité dans une étude faite par l’Institut de technologie du Massachusetts. Elle traite du mot français triage qui était utilisé autrefois uniquement à propos du classement des victimes d’une guerre. Dans ce “triage”, ceux qui pouvaient être sauvés recevaient des soins immédiats, alors qu’on ne secourait pas ceux qui allaient certainement mourir. Aujourd’hui, dit cette étude, il faut considérer le “triage des nations” lorsqu’il s’agit de répartir la nourriture. En vertu d’une telle politique, on enverrait des secours limités uniquement aux nations capables de les utiliser efficacement. Et les nations moins chanceuses ? On les laisserait mourir de faim.

Des problèmes universels

De plus en plus de gens reconnaissent que les problèmes mondiaux sont imbriqués. Kurt Waldheim, secrétaire général de l’ONU, déclara : “La majorité des grandes questions auxquelles l’humanité est confrontée sont profondes, complexes et sont surtout des problèmes à long terme. Ces derniers ne peuvent être résolus rapidement ou d’une manière dramatique ; ils sont étroitement liés les uns aux autres, et ils touchent directement la vie de chacun. En effet, les grands problèmes sont des problèmes universels qui exigent un examen global et concerté. (...) Notre avenir sur la terre dépend dans une large mesure de notre capacité de développer un nouveau système économique et social qui reconnaisse les droits, les intérêts et les aspirations de tous les peuples, et qui réalise l’équilibre entre ces éléments. C’est un problème d’une telle ampleur et d’une telle complexité qu’il ne peut être résolu qu’avec une coopération internationale beaucoup plus grande que celle que nous avons pu obtenir jusqu’à présent.”

Bienvenue aux témoins de Jéhovah

Il y a quelques mois, les témoins de Jéhovah ont organisé deux grands congrès dans la ville de New York. Voici ce qu’on a pu lire à ce sujet dans l’Amsterdam News, quotidien de New York : “À une époque où les mœurs de notre nation sont sérieusement mises en question et où nos grandes religions doivent faire face à la rébellion contre des préceptes moraux établis depuis très longtemps, il est agréable d’accueillir l’assemblée des témoins de Jéhovah. Ils constituent un groupe religieux qui, au cours des années, est resté fermement attaché à ses croyances, tant par la parole que par l’exemple, et qui pratique strictement ce qu’il prêche dans un monde où pareilles choses sont très rares.”

La marijuana est-​elle sans danger ?

Les jeunes gens affirment généralement que la marijuana est “sans danger”. En est-​il vraiment ainsi ? Voici la réponse que donne la revue Science : “Cinq années de recherches ont fourni de solides preuves qui, si elles sont confirmées, laissent entendre que la marijuana sous ses formes très diverses est beaucoup plus dangereuse qu’on ne le pensait au début.” Les faits courants indiquent que la marijuana (et le haschisch) peut endommager des chromosomes, bouleverser le métabolisme cellulaire et nuire au système d’immunisation. La marijuana peut rendre impotent ou temporairement stérile, donner de la poitrine aux hommes, nuire aux bronches et aux poumons, provoquer d’importants changements de personnalité et causer des dommages irréparables au cerveau.

Des “chrétiens” païens

Ted Noffs, pasteur méthodiste de Sydney, s’éleva récemment avec force contre certaines pratiques païennes adoptées par le clergé australien. Selon le Daily News, “il accusa les chefs religieux de tolérer la superstition et la magie noire dans leurs églises (...). Il ajouta que les Églises font passer des mensonges pour la vérité, des pratiques païennes pour de la liturgie et la superstition pour de la théologie (...). Il déclara que le col ecclésiastique venait des anciens orateurs d’Athènes (...) et que la soutane noire que portent les prêtres était un vestige des anciennes séances de sorcellerie”. Noffs fit encore cette remarque : “Ils acceptent les pratiques païennes du quatrième siècle et parlent en chaire de la croix (...) qui est elle-​même un ancien symbole de la fertilité.”

La fin du présent système est-​elle proche ?

Partout les gens en ont assez du présent système caractérisé par la guerre, le crime et la corruption. Beaucoup aimeraient qu’il disparaisse et soit remplacé par un nouveau système de choses. Et vous ? Quel est le point de vue de Dieu ?

Lisez les réponses passionnantes que fournit le livre “Les nations sauront que je suis Jéhovah” — Comment ? C’est un livre cartonné de 416 pages qui renferme une étude détaillée du livre biblique d’Ézéchiel.

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