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  • Le dilemme des célibataires
    Réveillez-vous ! 1977 | 8 mai
    • Il y a une différence entre quelqu’un qui désire se marier mais qui ne le fait pas parce qu’il a peur du mariage et un célibataire qui ne veut pas se marier parce qu’il n’en éprouve pas le besoin. Selon le docteur Henry Bowman, “si quelqu’un se sent plus heureux en restant célibataire, il devrait faire tout son possible pour le rester. (...) Il y a des célibataires très équilibrés, alors qu’on trouve des ‘vieux garçons’ et des ‘vieilles filles’ chez les couples”.

      Au lieu de “se réfugier” craintivement dans un mariage non désiré, il vaut mieux reconnaître le bien-fondé de ce que Jésus Christ avait fait sagement remarquer. Il disait que certains ont le “don” ou la possibilité d’être heureux dans le célibat et il encourageait ceux-ci à conserver un tel “don” et à l’employer au service de Dieu. — Mat. 19:10-12.

      Un mythe repose sur l’imagination populaire ; il n’a rien de vrai. Nous n’avons aucune peine à imaginer combien ceux que nous venons d’examiner pourraient jeter le trouble dans l’esprit du célibataire qui se pose des questions sur le mariage. Beaucoup de jeunes gens réagissent en disant qu’il ne faut pas s’en occuper et qu’il n’y a qu’à laisser parler ses sentiments sans se tracasser de savoir si on fait une erreur. Il suffit de vivre ensemble pendant un certain temps et, “si ça marche”, de se marier. Le “mariage à l’essai” est-​il la solution, ou ne serait-​il qu’un autre mythe ?

      “Le mariage à l’essai” est-​il une bonne solution ?

      L’idée de vivre ensemble avant de se marier n’a rien de neuf. Ce qui est nouveau, c’est le nombre de gens qui le font ouvertement. Aux États-Unis, un rapport du gouvernement indiquait qu’entre 1960 et 1970, le nombre de couples illégitimes s’est multiplié par sept. Ce chiffre est très inférieur à ce que révèlent les dernières enquêtes.

      En plus du problème que cela pose à une conscience chrétienne, on peut se demander s’il s’agit vraiment d’un “mariage”. Cette cohabitation a-​t-​elle dissipé toute équivoque ? A-​t-​elle établi des relations durables, qui ont un sens ?

      En réalité, même si certains couples vivent maritalement toute leur vie, la plupart des liaisons sont courtes. Du point de vue affectif, le résultat est aussi amer et désastreux qu’un divorce. Pourquoi ?

      Réfléchissez un instant. De quelle valeur peuvent être des relations qui placent la liberté de se quitter au-dessus d’un engagement pris l’un envers l’autre ? Même si un homme ou une femme vivant maritalement prétend qu’il ne “prend” pas égoïstement son plaisir, mais qu’il le “partage”, on peut se demander s’il est raisonnable de donner quelque chose d’aussi intime et d’aussi précieux sans qu’il y ait en échange le moindre engagement.

      Un “essai” est une “expérience”. Est-​il possible de faire un mariage expérimental ? Cette question n’est pas aussi simple que le choix d’un tissu. Quand un tissu est déchiré ou qu’il ne nous plaît pas, il suffit d’aller acheter un autre coupon. Quand un mariage se brise, cette blessure laisse une cicatrice profonde et peut même parfois conduire au suicide.

      Même si un homme et une femme qui vivent maritalement ont des égards l’un envers l’autre, l’insécurité de leur liaison est une source de problèmes affectifs. On demanda un jour à un homme et à une femme qui vivaient en concubinage pourquoi ils avaient fini par se marier. Ils répondirent : “Parce que c’était un besoin ; nous voulions nous engager moralement.”

      Que penser de l’argument selon lequel “on ne sait pas vraiment ce que sera le mariage avec quelqu’un tant que l’on n’a pas vécu avec” ? Voici ce qu’en pense un écrivain : “Le célibat ne permet pas d’expérimenter les conditions du mariage. Les célibataires qui en font l’expérience, même quand elle semble réussir, n’ont pas donné la preuve qu’ils sauront vivre heureux dans le cadre du mariage.” Les gens qui ont eu plusieurs amants n’ont qu’une faible idée de ce que seront leurs relations avec un nouveau partenaire. Le prix élevé qu’ils ont payé sur le plan affectif est sans rapport avec la leçon limitée qu’ils en ont tiré pour résoudre les problèmes du couple. Ils sont encore moins disposés à donner d’eux-​mêmes et à faire confiance à leur partenaire.

      Il faut reconnaître que la “maîtrise de soi”, cette vertu très ancienne, a perdu beaucoup de son attrait. On lui reproche d’être contraignante et de nuire à l’épanouissement de la personnalité. Cependant, abordant la question suivante : “La continence est-​elle dangereuse ?”, le livre Le mariage moderne (angl.) répond : “L’abstinence avant le mariage comporte bien moins de risques physiques, psychologiques et sociaux que la liberté sexuelle.”

      Le “mariage à l’essai” se révèle donc aussi dangereux que les autres mythes relatifs au mariage ; on ne saurait édifier une union solide sur pareil fondement. Arrivé à ce point, quelqu’un pourrait dire : “Je comprends quels sont les écueils à éviter, mais y a-​t-​il des principes positifs ? Comment savoir si je suis mûr pour le mariage ? Comment faire preuve de sagesse dans le choix de mon conjoint ?”

      Ce sont des questions sérieuses qui n’ont pas de “réponse type”. Il y a cependant des principes dignes de confiance qui aideront ceux qui ont l’intelligence de réfléchir avant de faire le “grand saut”. L’article qui suit nous les fera connaître.

  • Comment trouver un bon conjoint
    Réveillez-vous ! 1977 | 8 mai
    • Comment trouver un bon conjoint

      UN POÈTE a dit : “Si tu veux te marier sagement, épouse ton égal.” Vous vous demandez peut-être qui est votre égal. Ce n’est pas en allant faire un tour au bal que vous trouverez la réponse, mais en vous regardant vous-​même honnêtement. Comme tout le monde, vous avez des défauts ; votre personnalité n’est pas sans faille, elle n’offre pas la perfection. D’un autre côté, vous avez des talents, des désirs et des besoins ainsi que des croyances. Efforcez-​vous de les identifier.

      Il vous faut également déterminer si vous êtes mûr pour le mariage. Il ne suffit pas de dire “oui”. Il faut surtout être capable “d’aimer, d’honorer et de chérir”

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