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  • Faisons notre part pour contribuer au bonheur de la famille
    La Tour de Garde 1978 | 1er janvier
    • envers leur mari (I Pierre 3:2). Cela devrait être plus facile si leur mari est un chrétien voué et baptisé qui sert Jéhovah en leur compagnie.

      15. Comment une femme peut-​elle gagner l’approbation de son mari en assumant son rôle de ménagère?

      15 Une femme peut gagner son mari de bien des manières, par exemple par la façon dont elle s’occupe de son foyer. Si elle veille à ce qu’il soit toujours propre et convenablement rangé, cela encouragera son mari à bien assumer son rôle. Prenez-​vous plaisir à assumer votre responsabilité de ménagère? Quand les amis de votre mari vous rendent visite, est-​il fier de les accueillir dans sa maison? C’est une chose à laquelle il faut penser. Si la maison est en désordre, avec la vaisselle sale de la veille dans l’évier et une couche de poussière épaisse sur les meubles, ou si elle offre aux regards des visiteurs une apparence négligée, cela peut nuire au bonheur du couple. Il va sans dire qu’un mari peut apporter son aide dans ce domaine en veillant à laisser les choses propres. Mais nous parlons ici plus particulièrement de la façon dont une femme peut aider son mari de manière à ce qu’il soit fier d’avoir une épouse si aimante et si dévouée.

      16. Quelle est la responsabilité de la femme à qui son mari confie le soin de gérer le budget familial?

      16 Il faut aussi parler du budget familial. Vous efforcez-​vous de vivre selon vos moyens pécuniaires? Si votre mari vous confie l’argent nécessaire pour gérer le budget du foyer, pour faire les courses et pour payer les factures, veillez-​vous à rester dans les limites de ce qu’il vous a donné, au lieu de penser qu’il vous redonnera de l’argent si vous vous montrez dépensière? Là encore, il va sans dire qu’un mari doit s’efforcer de procurer à sa femme assez d’argent pour gérer le budget familial. Maintenant, s’il s’avère nécessaire de faire des économies, le mari et la femme doivent alors coopérer dans l’intérêt général de toute la famille. — Prov. 31:10-31.

      17. Comment ne femme peut-​elle s’intéresser aux responsabilités de son mari (sans s’ingérer dans des affaires confidentielles) et maintenir ainsi une bonne communication avec lui?

      17 Il est également très important pour une femme d’avoir des conversations avec son mari. Là encore, les deux conjoints, et non pas seulement la femme, doivent faire des efforts dans ce sens. Cependant, la femme peut faire certaines choses pour favoriser cette communication, sans pour autant se mêler de questions qui ne regardent que son mari s’il assume certaines responsabilités au sein de la congrégation. Elle peut encourager son mari à lui parler de son activité de la journée ou des problèmes qu’ils peuvent éventuellement résoudre ensemble. Elle peut aussi lui faire part de ce qu’elle a fait avec les enfants ou de sa participation à la prédication du Royaume. Cet intérêt réciproque pour les activités de l’un et de l’autre contribuera à la bénédiction et au bonheur de toute la famille. — Prov. 16:24.

      18. Quels autres problèmes relatifs à l’unité familiale pourrons-​nous traiter?

      18 Jusqu’à maintenant, nous avons vu deux choses importantes qui favorisent l’unité familiale: l’autorité du mari, telle qu’elle a été prévue par Dieu, et la soumission de la femme, telle qu’elle est définie dans la Bible. Mais dans une discussion sur la vie de famille il y a bien d’autres domaines qui méritent notre attention. Ainsi, il y a le problème que représente un conjoint querelleur, celui de la discipline des enfants ou encore celui des relations intimes, celles dont parle l’apôtre Paul quand il dit aux conjoints de rendre à chacun ce qui lui est dû (I Cor. 7:3-5). Il sera utile d’examiner ces questions en détail. C’est ce que nous ferons dans l’article suivant, et ce pour notre bien.

  • Comment coopérer à l’unité de la famille
    La Tour de Garde 1978 | 1er janvier
    • Comment coopérer à l’unité de la famille

      1. a) Qu’est-​ce qui doit être évité dans un foyer chrétien? b) Quel excellent conseil est donné en Colossiens 4:6?

      “JE TE TE L’AVAIS BIEN DIT!” “Tu n’écoutes jamais quand je te parle.” “Ne t’avais-​je pas prévenu?” Telles sont quelques-unes des paroles qui reviennent trop souvent dans les conversations entre conjoints ou entre parents et enfants. C’est avec ce ton de dépit que s’exprime parfois un homme ou une femme quand quelque chose, qui était préconisé par son conjoint, ne va pas. Le sage écrivit: “Mieux vaut habiter dans un pays désertique que d’avoir une femme querelleuse et chagrine.” (Prov. 21:19, Dhorme). On peut en dire autant à propos d’un homme querelleur et chagrin. Une personne querelleuse est quelqu’un qui importune les autres en trouvant à redire à tout, qui irrite en ne cessant de maugréer. C’est quelque chose qui ne devrait pas avoir sa place dans un foyer chrétien où le mari comme la femme s’efforcent d’éviter pareille attitude. L’apôtre Paul donne cet excellent conseil pour tous dans sa lettre aux Colossiens: “Que votre parole soit toujours exprimée avec charme et assaisonnée de sel, pour savoir comment vous devez répondre à chacun!” (Col. 4:6). Si un mari ou sa femme répond de cette façon à son conjoint, tous deux en retireront des bienfaits.

      2. Quelle remarque appropriée sur la bienveillance les lecteurs de ce périodique ont-​ils pu lire récemment?

      2 Il n’y a pas très longtemps, ce périodique a publié un article qui parlait de la bienveillance. Il disait entre autres choses: “Ceux qui se disent chrétiens veilleront donc à ce que leur bonté égale la bonté (...) que montrent des gens qui ne se prétendent pas serviteurs de Dieu. (...) Nous sommes témoins ou nous entendons parler d’actes de bonté extraordinaire qui révèlent, par contraste, le peu de bonté de certains chrétiens qui disent s’être voués à Dieu.” Ne serait-​ce pas triste si, au sein de notre cercle familial composé d’adorateurs de Jéhovah, nos rapports les uns avec les autres étaient dépourvus de bienveillance?

      3. À quoi l’expression “de même” fait-​elle allusion en rapport avec la façon dont les maris doivent se conduire envers leurs femmes?

      3 L’apôtre Pierre donne cet excellent conseil aux maris sur la sollicitude qu’ils doivent témoigner à leurs femmes: “Vous les maris, de même, continuez à demeurer avec elles [vos femmes] selon la connaissance, leur assignant de l’honneur comme à un vase plus faible, le vase féminin, puisque vous aussi, vous êtes avec elles héritiers de la faveur imméritée de la vie, afin que vos prières ne soient pas entravées.” (I Pierre 3:7). En disant “de même”, Pierre fait allusion aux conseils qu’il donne un peu avant, à partir du 1Pi chapitre deux, sur la soumission qui convient et d’autres sujets annexes. Ainsi, expliquant que Jésus a laissé à ses disciples un modèle à suivre, il dit: “Quand il était insulté, il ne rendait pas l’insulte. Quand il souffrait, il ne menaçait pas, mais il continuait à s’en remettre à celui qui juge justement.” (I Pierre 2:23). Il agissait vraiment avec bienveillance,

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