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  • Comment garder le mariage honorable devant Dieu et devant les hommes
    La Tour de Garde 1977 | 1er juillet
    • 33. Quelle est la responsabilité personnelle de celui qui remplit une déclaration de fidélité ?

      33 Une personne qui, n’ayant pas pu obtenir l’enregistrement de son mariage par “César”, entreprend les démarches voulues pour le faire reconnaître par la congrégation chrétienne, doit être consciente que, quelles qu’en soient les conséquences par rapport au monde, elle seule devra en assumer la responsabilité et y faire face. Par exemple, si à cause d’un précédent mariage cette personne se trouve en procès à propos de certains biens ou de questions d’héritage, elle ne pourra espérer bénéficier de la protection judiciaire de “César” pour ce qui est de sa nouvelle union puisque celui-ci ne la reconnaît pas.

      DES PRINCIPES FONDAMENTAUX BIEN CLAIRS

      34. Quelle est pour le chrétien l’autorité suprême en matière de mariage et de divorce ?

      34 Les lois sur le mariage et le divorce diffèrent d’un pays à un autre sous bien des aspects. Au lieu de se laisser embrouiller par une foule de détails techniques, le chrétien, ou quiconque désire devenir un disciple du Fils de Dieu, peut se laisser guider par les principes fondamentaux des Écritures qui sont valables dans tous les cas.

      35. Comment les Écritures considèrent-​elles le concubinage et l’inceste ?

      35 Il faut avant tout se préoccuper de ce que pense Dieu. Une telle personne doit donc d’abord se demander si sa situation matrimoniale actuelle, ou celle dans laquelle elle envisage de s’engager avec une autre personne, peut être approuvée par Dieu ou si elle ne transgresse pas en elle-​même certaines règles de la Parole divine. Prenons, par exemple, le cas d’un homme qui, tout en cohabitant avec sa femme légitime, a une maîtresse avec laquelle il passe un certain temps. Aussi longtemps que durera ce concubinage, la situation matrimoniale de la seconde femme ne pourra jamais être harmonisée avec les principes chrétiens, et ni cette femme ni l’homme en question ne pourront faire une déclaration dans ce sens. Il n’y a qu’une seule solution convenable : rompre ces relations. Il en va de même pour des personnes qui sont unies par des relations incestueuses ou homosexuelles, comme pour toute situation condamnée par la Parole de Dieu (Mat. 19:5, 6 ; I Tim. 3:2 ; I Cor. 5:1). Si de telles unions sont inacceptables, ce n’est pas parce qu’elles n’ont pas été reconnues juridiquement valides, mais parce qu’elles sont condamnées par les Écritures, donc immorales. Par conséquent, une personne qui se trouverait dans une telle situation ne pourrait remplir une ‘déclaration de fidélité’ d’aucune sorte, car celle-ci n’aurait aucune valeur aux yeux de Dieu.

      36. Qu’est-​il exigé d’une personne qui, avant de connaître la vérité, n’accordait pas le respect qui convenait au mariage ?

      36 Si maintenant l’union de deux personnes peut être approuvée par Dieu, il faut alors suivre un second principe : ce couple doit faire tout son possible pour démontrer le caractère honorable de son union aux yeux de tous (Héb. 13:4). Une personne qui envisage le baptême peut s’être séparée de son conjoint légitime des années auparavant, sans avoir obtenu le divorce, puis s’être mise en ménage avec une autre personne. Les années ont passé et des enfants ont pu naître de cette union. On ne peut raisonnablement s’attendre que cette personne, une fois qu’elle a appris la vérité, retourne auprès de son premier conjoint et tente de refaire sa vie avec lui comme par le passé. Mais maintenant qu’elle a “rompu avec les péchés”, cette personne doit s’engager à vivre dorénavant en parfaite harmonie avec la volonté de Dieu. — I Pierre 4:1-3 ; comparez avec I Corinthiens 7:17-24.

      37. Quelles démarches une personne peut-​elle entreprendre pour faire régulariser sa situation matrimoniale ?

      37 Que fera-​t-​elle alors ? Si un divorce est possible, elle fera ce qu’il faut pour l’obtenir (sur la base d’un des motifs prévus par la loi), après quoi elle fera les démarches nécessaires pour que son union actuelle soit entérinée et reconnue valable par l’autorité civile. La marche à suivre est la même pour celui (ou celle) qui, avant de connaître la vérité, était devenu bigame. Il (ou elle) devra faire les démarches nécessaires pour régler sa situation conformément à la loi (par une annulation et (ou) un divorce), afin qu’il (ou elle) puisse ensuite être reconnu comme le conjoint légal d’une seule femme (ou d’un seul mari).

      38. Que peut faire une personne qui désire que son mariage soit honorable, mais qui ne peut pas obtenir la reconnaissance légale de celui-ci, bien qu’il soit acceptable aux yeux de Dieu ?

      38 Finalement, si une personne dont la situation matrimoniale n’est pas contraire aux principes de la Parole de Dieu, a fait tout ce qu’elle pouvait raisonnablement faire, mais en vain, pour que son union soit reconnue par les autorités civiles, elle peut remplir et signer une déclaration dans laquelle elle promet fidélité à son conjoint actuel. Comme nous l’avons dit précédemment, il arrive que dans certains cas, à cause de l’extrême lenteur des services officiels, il faille de nombreuses années pour faire aboutir des démarches juridiques. Il se peut aussi que ces démarches représentent une dépense si élevée pour une personne qu’il lui faudrait des années pour réunir l’argent nécessaire. Dans de tels cas, une déclaration de fidélité permettra à la congrégation de reconnaître le caractère honorable de l’union conjugale de ces personnes, mais celles-ci continueront de faire tout leur possible pour obtenir la reconnaissance légale de leur union. Notez bien que les habitants de beaucoup de communautés, voire de pays entiers, accordent beaucoup moins d’importance au côté juridique d’un mariage qu’aux preuves tangibles qui leur permettent de constater la fidélité des deux conjoints. Cependant, même dans ce cas-​là, le chrétien devra s’efforcer sincèrement de faire toutes les démarches possibles pour établir de façon incontestable le caractère honorable de son union.

      39. Quelle assurance peuvent avoir les chrétiens qui s’efforcent de préserver le caractère honorable de leur mariage ?

      39 S’il garde présents à l’esprit les principes fondamentaux énoncés dans ces pages, le chrétien doit pouvoir considérer cette question avec bon sens, c’est-à-dire sans sous-estimer ni surestimer l’importance de la reconnaissance légale d’un mariage par l’État politique. Le chrétien (ou la chrétienne) se préoccupera toujours et avant tout de la façon dont Dieu juge son mariage. De plus, il s’efforcera de donner un bel exemple par la fidélité et l’amour qu’il témoignera à son conjoint, veillant ainsi à ce que le mariage soit toujours “honoré chez tous”. Cela lui vaudra la bénédiction divine, et il honorera et louera Jéhovah, l’Auteur du mariage. — I Cor. 10:31-33.

  • “Aux environs de la brise du jour”
    La Tour de Garde 1977 | 1er juillet
    • “Aux environs de la brise du jour”

      ◆ C’est “aux environs de la brise [littéralement l’esprit ou le vent] du jour” que Jéhovah prononça son jugement contre Adam et Ève qui venaient de lui désobéir en Éden (Gen. 3:8-19). Ce pouvait être un peu avant le coucher du soleil, car, à ce moment-​là, une brise rafraîchissante commence à souffler dans la région qui est supposée être celle du jardin d’Éden. La tradition situe cette région à l’est de la Turquie, à environ 225 kilomètres au sud-ouest du mont Ararat et à quelques kilomètres au sud du lac Van.

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