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  • Tombe
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    • plusieurs tombes. Ils se distinguent donc de l’hébreu sheʼôl et de son équivalent grec haïdês, qui qualifient la tombe commune aux hommes et qui sont toujours au singulier. C’est pourquoi de nombreuses traductions modernes de la Bible n’ont pas suivi la façon de faire de la version de Saci, par exemple, qui rend sheʼôl et haïdês par “enfer”, “tombeau” ou “fond de la terre”; elles ont préféré simplement transcrire ces mots en français. — Voir HADÈS; SCHÉOL.

      Toutefois, l’entrée d’une personne dans le Schéol ayant lieu au moment où elle est ensevelie dans une tombe individuelle ou dans un lieu d’inhumation, les mots qui désignent ce genre de sépulture sont mis en parallèle avec Schéol. Néanmoins, ils n’en sont pas des équivalents (Job 17:1, 13-16; 21:13, 32, 33; Ps. 88:3-12). Des expressions imagées, telles que “la maison de longue durée” de l’homme et peut-être “le pays d’en bas” (en opposition avec “le pays des vivants”), désignent également la tombe, mais ces expressions peuvent parfaitement s’appliquer au Schéol ou séjour des morts, terme dont le sens est plus étendu. — Comparer Ecclésiaste 12:5-7 avec Job 17:13; et Ézéchiel 32:24, 25 avec Ézéchiel 32:21.

      En Romains 3:13 l’apôtre Paul cite Psaume 5:9, où le gosier des hommes méchants et fourbes est comparé à “une sépulture ouverte”. De même qu’une sépulture ouverte est destinée à recevoir des morts et à se remplir de corruption, le gosier de ces hommes s’ouvre pour tenir des propos mortels et corrompus. — Voir Matthieu 15:18-20.

      Bien que la tombe soit comparée à une fosse dont l’homme souhaite avec juste raison être délivré, Job souligne le désespoir des gens en proie aux souffrances qui, n’ayant pas d’espérance bien nette ou ne comprenant pas clairement les desseins de leur Créateur, aspirent à mourir et “exultent parce qu’ils trouvent une sépulture”. (Job 3:21, 22.) Leur attitude offre un contraste saisissant avec celle des hommes qui consacrent leur vie au service de Dieu et qui ont accepté avec confiance la promesse de la résurrection. — Ps. 16:9-11; Actes 24:15; Phil. 1:21-26; II Tim. 4:6-8; Héb. 11:17-19.

  • Tombe, II
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    • TOMBE, II

      {Voir TOMBE (entrées “Burial, Burial Places” et “Grave” regroupées).}

  • Tombeau commémoratif
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    • TOMBEAU COMMÉMORATIF

      À propos des mots grecs utilisés pour désigner une sépulture ou un tombeau, A. Robertson (Word Pictures in the New Testament, 1932, t. V, p. 87) écrit ce qui suit: “Taphos (sépulture) emporte l’idée d’ensevelissement (thaptô, ensevelir), comme en Mat. 23:27; mnêméïon (de mnaomaï, mimnêskô, se souvenir) est un Mémorial (sépulcre constituant un monument).” Mnêma, un mot de la même famille que mnêméïon, semble avoir un sens identique puisqu’il désigne également “un Mémorial ou écrit relatif à une chose ou à une personne décédée, puis un monument funéraire, et par suite une tombe”. — An Expository Dictionary of New Testament Words, t. II, de W. Vine, pp. 172, 173.

      Ce tombeau pouvait être une fosse creusée dans le sol ou, comme c’était souvent le cas chez les Hébreux, une grotte naturelle ou taillée dans le roc (voir Actes 7:16 et Genèse 23:19, 20). Comme nous l’avons indiqué plus haut, alors que le mot taphos ou “tombe” emporte surtout l’idée d’ensevelissement, les termes mnêma et mnêméïon mettent plutôt l’accent sur le fait de garder le souvenir d’un mort. Il semble donc qu’ils soulignent davantage l’idée de permanence d’une chose que ne le fait taphos; ils sont apparentés au mot latin monumentum.

      Les tombeaux des Juifs se trouvaient ordinairement en dehors des villes, la principale exception à cette habitude étant les tombeaux des rois. Tous les tombeaux dont parlent les Écritures grecques chrétiennes se situent apparemment en dehors des villes, hormis le tombeau de David, dont il est fait mention en Actes 2:29. Du fait que les tombes étaient regroupées dans des endroits retirés que les Juifs évitaient à cause de l’impureté cérémonielle qui s’y rattachait, ces endroits étaient parfois le repaire de fous ou de démoniaques. — Mat. 8:28; Marc 5:5.

      LE TOMBEAU DE JÉSUS

      Jésus a été enseveli dans un tombeau neuf qui appartenait à Joseph d’Arimathée. Ce tombeau n’était pas une grotte naturelle, mais il avait été creusé à même la roche dans un jardin situé tout près de l’endroit où Jésus a été mis au poteau. Il avait une ouverture qui se fermait au moyen d’une grosse pierre, apparemment une pierre circulaire du type de celles qu’on utilisait parfois (Mat. 27:57-60; Marc 16:3, 4; Jean 19:41, 42). Comme dans d’autres tombeaux que l’on a retrouvés, des saillies en forme de bancs avaient dû être taillées dans la roche, ce qui permettait d’y placer les corps. — Voir Marc 16:5.

      DES ‘TOMBEAUX S’OUVRIRENT’ À LA MORT DE JÉSUS

      Matthieu 27:52, 53 rapporte que “les tombeaux commémoratifs s’ouvrirent” sous l’action d’un tremblement de terre qui se produisit à la mort de Jésus. Ce texte a soulevé de nombreuses discussions, certains soutenant qu’il y a eu une résurrection. Toutefois, une comparaison avec les passages où il est question de la résurrection infirme nettement cette thèse. En réalité, des corps ont simplement été expulsés des tombeaux dans lesquels ils avaient été ensevelis, comme cela s’est produit en Équateur en 1949, puis en 1962 à Bogotá, en Colombie, où deux cents cadavres dans un cimetière ont été éjectés de leurs tombeaux par une violente secousse sismique. — El Tiempo du 31 juillet 1962, Bogotá, Colombie.

      DANS LE SOUVENIR DE DIEU

      Étant donné l’idée de souvenir qui se rattache au mot mnêméïon, le fait que Jésus utilise ce mot (au lieu de taphos) en Jean 5:28, à propos de la résurrection de “tous ceux qui sont dans les tombeaux commémoratifs”, semble particulièrement approprié et contraste fortement avec ce que représente la Géhenne, à savoir la répudiation et l’effacement absolus de toutes les mémoires (Mat. 10:28; 23:33; Marc 9:43). L’importance que les Hébreux accordaient à l’ensevelissement révèle leur souci de ne pas être oubliés, principalement par Jéhovah Dieu qu’ils considéraient avec foi comme “le rémunérateur de ceux qui le cherchent réellement”. (Héb. 11:1, 2, 6.) Les inscriptions sur les tombeaux d’origine israélite sont très rares, et encore ne s’agit-​il habituellement que de simples noms. Les grands rois de Juda n’ont pas laissé de somptueux monuments avec des inscriptions qui les glorifient ou rapportent leurs exploits, comme ce fut le cas des rois des autres nations. Il apparaît donc que les hommes de foi du passé se souciaient avant tout d’avoir leur nom écrit dans le “livre de souvenir”, dont il est question en Malachie 3:16, et d’éviter qu’il ne ‘pourrisse’ comme le nom des méchants. — Prov. 10:7; voir Ecclésiaste 7:1.

      L’idée fondamentale de souvenir qui se rattache aux mots grecs originaux pour “tombeau” et “tombeau commémoratif” donne également plus de sens à la requête du brigand qui était à côté de Jésus sur un poteau, savoir: “Souviens-​toi de moi quand tu entreras dans ton royaume.” — Luc 23:42.

  • Tombes des rois ou de David
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    • TOMBES DES ROIS OU DE DAVID

      {Article non traduit.}

  • Tonnerre
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    • TONNERRE

      Bruit violent qui suit un éclair. Le tonnerre est causé par la dilatation soudaine de l’air qui, chauffé par cette décharge électrique, s’éloigne brutalement du chemin de l’éclair puis reprend sa place après son passage. — Job 28:26; 38:25.

      Le mot hébreu raʽam, qui signifie “faire rage, rugir, tonner”, est parfois utilisé à propos de Jéhovah (I Sam. 2:10; II Sam. 22:14; Ps. 18:13), Celui qui s’est servi du tonnerre à plusieurs reprises pour accomplir sa volonté. Ainsi, aux jours de Samuel, Jéhovah jeta la confusion chez les Philistins au moyen du tonnerre (I Sam. 7:10; voir Ésaïe 29:6). Un autre mot hébreu, qôl, parfois traduit par “tonnerres” (I Sam. 12:17, 18), signifie fondamentalement “appeler” ou “produire un son, dire”. Selon le contexte, il peut aussi être rendu par “son” (Ex. 28:34, 35; II Sam. 6:15), “bruit” (I Sam. 15:14) ou “voix”. — Deut. 21:18; I Rois 19:12.

      Les Écritures associent le bruit terrifiant du tonnerre à la voix de Jéhovah (Job 37:4, 5; 40:9; Ps. 29:3-9). Quand des Juifs entendirent Jéhovah parler à Jésus depuis le ciel, certains crurent avoir perçu le bruit du tonnerre et d’autres la voix d’un ange (Jean 12:28, 29; voir Révélation 6:1; 14:2; 19:6). Puisque le grondement du tonnerre est souvent le signe avant-coureur d’une tempête, les “tonnerres” peuvent désigner des avertissements divins, comme en Révélation 8:5; 10:3, 4 et 16:18.

      Pour les Juifs qui se trouvaient au pied du mont Sinaï, le tonnerre qu’ils entendirent était une manifestation de la présence de Dieu (Ex. 19:16; voir Révélation 4:5; 11:19). On trouve peut-être une allusion à cet événement, ou au fait que Dieu conduisait Israël au moyen d’une colonne de nuée (un endroit où le tonnerre gronde), dans ces paroles de Jéhovah rapportées par le psalmiste: “J’ai commencé à te répondre dans le lieu caché du tonnerre.” — Ps. 81:7.

  • Tonnerre (Fils du)
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    • TONNERRE (FILS DU)

      {Article non traduit.}

  • Topaze
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    • TOPAZE

      La variété employée pour faire des joyaux est un minéral dur, transparent et cristallin composé de silicate fluoré d’aluminium. Il est plus dur que le quartz et on le trouve souvent dans les cavités des roches granitiques. La topaze peut être incolore, mais elle se présente aussi dans une grande diversité de teintes, telles que le blanc, le jaune, le brun clair, le rouge rosé et parfois le vert ou le bleu pâle. La nuance la plus populaire est le jaune. Le mot “topaze” vient du grec topazion, du nom d’une île de la mer Rouge où les Grecs se procuraient cette pierre bien connue de Pline l’Ancien et d’autres auteurs de l’Antiquité. Le livre de Job établit un rapport entre les topazes et une région appelée Cusch qui borde la mer Rouge.

      L’une des pierres précieuses du “pectoral du jugement” porté par le grand prêtre Aaron était une topaze. Elle était au milieu de la première rangée de gemmes et le nom d’une des tribus d’Israël y était gravé (Ex. 28:2, 15, 17, 21; 39:10). Les fondements de ‘la ville sainte, la Nouvelle Jérusalem, descendue du ciel d’auprès de Dieu, (...) étaient ornés de pierres précieuses de toute sorte’, “le neuvième de topaze”. — Rév. 21:2, 19, 20.

  • Tophel
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    • TOPHEL

      {Article non traduit.}

  • Topheth
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    • TOPHETH

      Voir HINNOM (VALLÉE DE).

  • Torche
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    • TORCHE

      Flambeau généralement porté à la main et consistant souvent en un bâton de bois résineux ou enveloppé dans une matière absorbante préalablement trempée dans de l’huile puis enflammée. — Gen. 15:17; Juges 7:16, 20; 15:4; És. 62:1; Ézéch. 1:13; Dan. 10:6; Nahum 2:4; Jean 18:3.

  • Tour
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    • TOUR

      L’histoire des tours remonte jusqu’à peu après le déluge, quand les hommes de la plaine de Schinéar déclarèrent: “Allons! Bâtissons-​nous une ville et aussi une tour dont le sommet soit dans les cieux.” (Gen. 11:2-4). On pense que cette tour était en forme de pyramide, comme les ziggourats découvertes dans la région. — Voir BABEL.

      Dans les vignobles on construisait des tours simples d’où des veilleurs guettaient l’intrusion éventuelle de voleurs et d’animaux. — És. 5:1, 2; Mat. 21:33; Marc 12:1.

      Comme moyens de défense, on érigeait des tours intégrées aux murs des villes, les plus importantes étant généralement situées aux angles de la muraille et près des portes (II Chron. 26:9; 32:5; Ézéch. 26:4, 9; Soph. 1:16; 3:6). Parfois, on bâtissait des tours comme avant-postes tout le long d’une frontière ou comme lieux de refuge dans les endroits isolés pour les bergers et d’autres personnes. — II Chron. 26:10; 27:4; voir FORTIFICATIONS.

      Souvent une tour à l’intérieur d’une ville servait de citadelle. C’était le cas des tours de Sichem, de Thébez et de Penuel (Juges 8:9, 17; 9:46-54). On a découvert des ruines de tours de ce genre à Jéricho, à Beth-Schan, à Lachis, à Méguiddo, à Mizpah et à Samarie.

      Des armées assaillantes construisaient parfois des tours de siège quand elles attaquaient des villes fortifiées. Ces tours servaient de postes de tir pour les archers et les lanceurs de javelots. De plus, certaines d’entre elles abritaient des béliers et offraient une protection à ceux qui s’en servaient. — És. 23:13.

      LES TOURS DE JÉRUSALEM

      La Tour des Fours à Pain était située sur la muraille nord-ouest de la ville, près de la Porte de l’Angle (Néh. 3:11; 12:38). On ne sait pas exactement pourquoi elle portait ce nom, mais il est très possible qu’il y ait eu des boulangers dans les environs. C’était peut-être l’une des tours bâties par Ozias, qui régna à Jérusalem de 829 à 777 avant notre ère (II Chron. 26:9). Le long du mur nord de la ville s’élevaient deux autres tours importantes. La Tour de Hananel était située au point le plus septentrional de la muraille (Zach. 14:10). Elle aussi a été réparée et sanctifiée aux jours de Néhémie (Néh. 3:1; 12:39; Jér. 31:38; voir le schéma à la page 1201). Non loin de là, à l’est, près de la Porte des Moutons, se dressait la Tour de Méah. On ignore pourquoi elle s’appelait

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