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  • Une remarquable prouesse technique: l’amplification
    Réveillez-vous ! 1980 | 8 avril
    • 15 mètres, une installation à haute impédance est parfaite. Par contre, au-delà de cette distance, il vaut mieux du matériel à basse impédance, afin de réduire les pertes dans les aigus dues à la capacitance du fil. Les basses impédances permettent également de réduire les ronflements et évitent de capter les émissions sur onde courte ou celles de la police. Un micro à basse impédance doit être relié à l’amplificateur par un fil également à basse impédance, et il faut parfois modifier cet amplificateur, par exemple en ajoutant un transformateur pour adapter le signal basse impédance au niveau de l’entrée de l’amplificateur. Toutes les installations de sonorisation professionnelles utilisent des micros et des circuits à basse impédance.

      Le second maillon de l’installation est l’amplificateur. Celui-ci doit avoir une entrée et un potentiomètre par micro, de façon à pouvoir les régler séparément.

      Quand l’assistance s’élève à plus de 200 personnes, l’amplificateur doit avoir une puissance de sortie supérieure à 30 watts. Plus l’auditoire est nombreux, plus l’appareil doit être puissant. Normalement, un amplificateur à transistors est plus fiable et plus sûr qu’un modèle à lampes. Évidemment, il faut choisir un appareil conçu pour la sonorisation.

      Le dernier maillon de notre chaîne de reproduction de la parole est constitué par les haut-parleurs. Il en existe plusieurs types. Par exemple, quand l’auditoire n’est pas très important, on peut choisir des colonnes, qu’il suffit de disposer de chaque côté de la scène. Celles-ci s’avèrent très pratiques pour les installations provisoires. Dans les installations permanentes, il vaut mieux fixer des haut-parleurs en hauteur, particulièrement si le plafond est bas, car cela permet à tous les assistants de se trouver à peu près à distance égale de la source sonore. Ces haut-parleurs de plafond devraient être répartis dans toute la salle et espacés d’environ une fois et demie la hauteur de la pièce. Ceux qui se trouvent près de l’orateur seront alimentés par une source moins puissante, afin de permettre de pousser le volume des autres haut-parleurs sans que cela entraîne d’effet Larsen.

      Les haut parleurs doivent être compatibles avec l’amplificateur sur lequel ils sont branchés. Il suffit pour cela de sélectionner à l’arrière de l’amplificateur l’impédance la plus voisine de celle du haut-parleur. D’autre part, on se sert souvent de sorties en 25 ou 70 volts sur l’amplificateur. Dans certains pays, on préfère 100 volts. Quand le voltage est bas, il n’est pas nécessaire d’ingénier le fil dans du câble blindé. Un système à voltage constant impose de relier un transformateur à chacun des haut-parleurs pour qu’ils puissent être compatibles avec l’installation. Il ne reste plus qu’à la faire marcher.

      Quelques suggestions

      Le micro sera réglé à 15 centimètres de la bouche de l’orateur, en tenant compte de ce que ce dernier va lever et baisser la tête. Le micro sera suffisamment près pour qu’on entende bien, mais sans provoquer d’effet Larsen, et suffisamment loin pour ne pas gêner l’orateur ou modifier le son quand celui-ci tourne la tête. Un bon réglage de la distance du micro permettra également d’éliminer les syllabes explosives à l’audition, si la prononciation de l’orateur présente le défaut d’en produire.

      Il est très important de veiller au volume sonore et à la tonalité. Aussi faut-​il régler les boutons de l’amplificateur de façon à ce que la voix de chacun des orateurs soit claire, intelligible, naturelle et agréable à écouter sans effort. Si le volume sonore est faible ou si le son est de mauvaise qualité, on entend mal certains mots, et l’auditeur se crispe pour comprendre ce qui est dit. Au bout d’un moment, la fatigue cérébrale s’installe, et l’on a plus envie d’arrêter d’écouter que de se fatiguer à comprendre ce qui est dit. Par contre, un son trop fort est traumatisant et fatigant. L’auditeur s’épuise et finit par relâcher son attention, si bien qu’il perd également ce qui est dit.

      Quand on sait qu’un micro ne va pas servir pendant plusieurs minutes, on le coupe, pour ne pas capter de bruits ou de conversations extérieurs. Il va de soi qu’il est préférable que la personne qui s’occupe de la sonorisation travaille dans cette spécialité. Le programme ne sera que meilleur si chaque orateur informe à l’avance le sonorisateur de ce qu’il lui faut pour son allocution et si ce technicien est rapide.

      On demande parfois s’il est sage d’utiliser un micro “baladeur” pour poser des questions à l’auditoire. Eh bien, cela dépend de l’importance de la distance, des caractéristiques acoustiques de la salle ainsi que de la répartition des places. Il vaut mieux inviter chaque personne qui s’exprime à élever la voix plutôt que de perdre du temps à passer un micro d’une personne à l’autre.

      Il y a de nombreuses années, Salomon compara une parole édifiante dite avec à propos à “des pommes d’or dans des ciselures d’argent”. (Prov. 25:11.) Ce principe est vrai quand une nombreuse assistance reçoit des paroles qui ont trait à la vie, à condition qu’on les entende bien et qu’on les comprenne grâce à cette remarquable prouesse technique qu’est l’amplification.

  • Ils s’intéressent à la Bible, mais pas à l’Église
    Réveillez-vous ! 1980 | 8 avril
    • Ils s’intéressent à la Bible, mais pas à l’Église

      Un sondage effectué par l’Institut Gallup sur la pratique religieuse révèle que 11 millions de catholiques américains adultes ne fréquentent plus les églises. Par ailleurs, 33 500 000 protestants ne vont plus au temple et 1 200 000 juifs ont déserté les synagogues. L’une des raisons qui reviennent le plus fréquemment pour expliquer cet abandon est que les Églises n’ont pas réussi à aider les fidèles à trouver un sens et un but à leur vie. Soixante pour cent d’entre eux pensent que la plupart des Églises et des synagogues ont “perdu le côté spirituel de la religion”. Toutefois, bien que des millions de gens ne s’intéressent plus aux offices, il ne fait aucun doute que nombre d’entre eux aimeraient savoir ce que la Bible enseigne réellement sur le dessein divin relatif à la terre et à l’homme.

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