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  • Comment je poursuis le but de ma vie
    La Tour de Garde 1958 | 15 juillet
    • de les voir aux congrès internationaux, accompagnées de leur famille et de leurs enfants qui ont grandi et ont eux-​mêmes des enfants. Une de ces jeunes filles a fréquenté l’école de Galaad.

      Enfin, mon visa pour le Mexique arriva ! Là, au cours des mois qui suivirent, le rêve de prêcher à ce peuple aimable et aux yeux vifs devint une réalité. Et puis, ce fut de nouveau le service de pionnier spécial à Houston, Texas, suivi en automne de 1948 de mon attribution en El Salvador et avec cela d’une autre belle surprise. Il me fallut aller à New-​York pour m’embarquer. À New-​York, ma nouvelle partenaire, sœur Bowin (qui avait aussi travaillé au Mexique), et moi passâmes une semaine au Béthel à aider dans les travaux ménagers et à l’imprimerie, et je pus également visiter Galaad et l’émetteur de radio WBBR, dans le Staten Island.

      De nombreux officiers de l’équipage de notre bateau et des passagers manifestèrent de l’intérêt pour le message du Royaume. Nous traversâmes le Guatemala et El Salvador par voie terrestre, ce qui nous permit de voir une grande partie du pays qui allait être le nôtre. Notre chambre nous attendait dans la ville de San Salvador. Au cours des trois premières années passées dans cette ville, un émetteur de radio local nous accorda chaque semaine une heure d’émission, à titre gracieux ; cela nous permit de diffuser le contenu des livres “ Que Dieu soit reconnu pour vrai ” et “ C’est ici la vie éternelle ! ” en espagnol, ainsi que beaucoup d’articles publiés dans La Tour de Garde. Nous apprîmes vite bien des choses sur la vie dans les tropiques ; mais nous apprîmes surtout que notre œuvre consiste à enseigner les personnes de bonne volonté à devenir des témoins mûrs plutôt qu’à placer de grandes quantités d’écrits. Lorsque je vois, aux réunions, les heureux visages de témoins résolus que j’ai aidés à parvenir à la compréhension de la vérité, je me sens richement bénie, ce qui m’encourage sans cesse à continuer à poursuivre le but de ma vie.

  • Un champ de prédication idéal
    La Tour de Garde 1958 | 15 juillet
    • Un champ de prédication idéal

      QUAND il était sur la terre, le Christ donna le commandement d’aller et d’“ annoncer le royaume de Dieu ”. (Luc 9:60.) Cet ordre s’adressait à ses disciples du premier siècle, mais aussi à ceux de notre époque. Il mit ce fait en évidence lorsqu’il prédit que dans les derniers jours “ cette bonne nouvelle du royaume (serait) prêchée dans le monde entier ”, prédication accomplie aujourd’hui par les témoins de Jéhovah. — Mat. 24:14.

      Ces derniers ont trouvé à New-​York un terrain excellent pour obéir au commandement de Jésus. Des millions de personnes y vivent sur une surface de 80 000 hectares et la ville dispose en outre de bons moyens de transport. Ces avantages permettent aux témoins de parler à beaucoup de personnes dans l’espace de quelques heures seulement.

      “ Le plus petit deviendra un millier ”, a dit Ésaïe, fait vérifié pour la ville de New-​York (És. 60:22). Il y a vingt-six ans, elle ne comptait qu’un groupe de témoins de Jéhovah. Aujourd’hui, plus de huit mille témoins actifs, assemblés en soixante-neuf groupes, proclament la bonne nouvelle du royaume de Dieu. Ces ministres conduisent plus de 5 600 études bibliques à domicile chez les habitants de cette ville, et cet accroissement se poursuit à un rythme toujours plus accéléré.

      Un tel développement peut être attribué à un fait : ils ont agi conformément à ce que le roi David avait annoncé il y a près de trois mille ans : “ Ils diront la gloire de ton règne, et ils proclameront ta puissance, pour faire connaître aux fils de l’homme ta puissance et la splendeur glorieuse de ton règne. ” — Ps. 145:11, 12.

      Au premier siècle, en prêchant de maison en maison à Jérusalem, les disciples du Christ rencontraient des Juifs de plusieurs nationalités. Par exemple, le jour de la Pentecôte, ils eurent le privilège de s’adresser à une grande foule composée de personnes qui s’exprimaient en différentes langues. À ce sujet, la Bible rapporte : “ La multitude accourut, et elle fut confondue parce que chacun les entendait parler dans sa propre langue. ” — Actes 2:6.

      New-​York est aussi une ville où l’on parle plusieurs langues. En 1950 y vivaient plus de deux millions et demi de citoyens venus de pays étrangers et près de deux millions de personnes de parents étrangers ou mixtes. Ces gens n’ont pas reçu le témoignage de la manière miraculeuse par laquelle des disciples prêchaient à la foule de la Pentecôte ; mais ils entendent néanmoins la bonne nouvelle du royaume de Dieu dans leur propre langue par le moyen d’auxiliaires bibliques imprimés et par l’intermédiaire de témoins qui s’expriment dans leur langue.

      Ville cosmopolite, New-​York est vraiment un terrain idéal pour l’assemblée internationale des témoins de Jéhovah, et les délégués accourus de tous les points de la terre auront bien des occasions de prêcher dans leur propre langue.

      Il y aura là un vaste territoire pour tous les témoins engagés dans le ministère, mais ils se trouveront dans des conditions bien différentes de celles auxquelles ils sont accoutumés. Tout d’abord, les New-Yorkais sont généralement impatients et désireux de voir leur interlocuteur en venir au fait avec le minimum de mots. Cette attitude nécessite des introductions brèves et frappantes, ainsi que des sermons composés selon un thème qui sera évident du commencement à la fin. Ces témoins constateront que, dans bien des cas, ils doivent prêcher à travers un judas, ne discernant autre chose que les yeux du maître de maison. D’autres fois, on attendra d’eux qu’ils parlent à travers une porte ou du bas d’une rampe d’escalier. Ils trouveront New-​York bien choisi pour éprouver leur habileté de ministres.

      Dans les Proverbes (1:20), il est écrit : “ La sagesse crie dans les rues, elle élève sa voix dans les places. ” Ceci était vrai aux jours des apôtres, parce qu’ils prêchaient dans les rues et sur les places publiques, et c’est également vrai aujourd’hui, vu l’œuvre accomplie par les témoins de Jéhovah. Ils proclament de même la sagesse de Dieu dans les lieux d’affluence et New-​York convient parfaitement pour ce genre de prédication. Il s’y trouve beaucoup de rues mouvementées et de places publiques bordées de vastes trottoirs que les congressistes trouveront bien appropriés pour le service des pancartes et celui des périodiques.

      Cet été, pendant les huit jours de l’assemblée, les témoins étrangers ne voudront pas manquer l’expérience de proclamer la bonne nouvelle du Royaume dans cette grande cité. Par leur prédication intensive il lui sera rendu le plus grand témoignage qu’elle aura jamais reçu du nom et des desseins de Jéhovah.

  • Intrépides, les témoins remportent la victoire
    La Tour de Garde 1958 | 15 juillet
    • Intrépides, les témoins remportent la victoire

      EN AVRIL 1957, quelque chose de nouveau surgit dans le combat contre les témoins de Jéhovah en Colombie. C’était l’action de la foule. Mais une chose nouvelle aussi, ce fut le soutien que les autorités leur apportèrent.

      La scène se passa dans un village de 6 000 habitants environ, dans les collines de l’État de Bolivar, à un peu moins de cinquante kilomètres de la ville de Carthagène. Toute la journée, les deux représentants de la Watch Tower Society, à qui cette ville avait été attribuée, avaient entendu proférer d’inquiétantes menaces tandis qu’ils étaient engagés dans la prédication de porte en porte. Sans peur, ils continuèrent à prêcher jusqu’à la fin du jour, puis retournèrent chez eux, barricadèrent leurs portes, et, après le souper, poursuivirent leur étude personnelle.

      Les émeutiers, qui avaient menacé de “ visiter les protestants ce soir-​là ”, survinrent alors qu’il commençait à faire sombre. Des centaines d’entre eux, hommes trapus, femmes d’église, maîtres d’école et étudiants. Surexcités, ils criaient : “ Nous ne voulons pas de protestants ! ” “ Dehors les protestants ! ” “ Nous sommes catholiques romains ! ” Ils se mirent à lancer des pierres contre la maison. Les voisins s’enquirent auprès d’eux de la raison de toute cette violence et les persuadèrent finalement de s’en aller. Cependant, ils promirent de revenir le lendemain soir.

      Le lendemain matin, les témoins téléphonèrent au bureau de la Watch Tower Society pour l’informer de la situation ; immédiatement,

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