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  • Parlons avec Dieu
    La Tour de Garde 1963 | 15 juin
    • mais de présenter convenablement une requête collective devant le trône de la bonté imméritée de Jéhovah. Qu’il soit dit en passant qu’une prière dite au nom d’une assemblée n’est pas une simple formalité, comme une messe dite dans une langue étrangère. C’est pourquoi chaque assistant devrait l’écouter attentivement, et la prière elle-​même devrait être dite de façon à ce que chacun se sente sincèrement poussé à dire “ Amen ”.

      22. Où et comment les enfants doivent-​ils apprendre à prier ?

      22 Comme on ne prie pas en public pour s’exercer, on ne devrait jamais inviter un enfant à prier au nom d’un groupe d’adultes. Les enfants doivent apprendre comment prier auprès de leurs parents. Parents, prenez le temps et donnez-​vous la peine d’expliquer à vos enfants comment il faut prier et sur quoi on peut prier. Faites bien comprendre à leurs jeunes esprits qu’en priant, ils parlent à Dieu et que, par conséquent, ils doivent s’adresser à lui avec révérence, sincérité et simplicité.

      23. Puisque le privilège de la prière est une chose à respecter, qu’évitera-​t-​on de faire ?

      23 Le respect à l’égard du précieux privilège de la prière exige qu’on ne prie pas pendant une démonstration. Pour la même raison, un frère qui est serviteur permettra à la sœur qu’il accompagne de conduire l’étude biblique, afin de pouvoir lui donner des conseils sur la conduite de l’étude, mais il fera les prières lui-​même, car on ne doit jamais prier pour s’exercer et recevoir des conseils.

      24. En résumé, comment devons-​nous exercer le privilège de parler avec Dieu ?

      24 Vraiment, Dieu fait preuve d’une grande condescendance en nous permettant de marcher et de parler avec lui. Et pendant que nous marchons avec lui, restons toujours éveillés afin d’entendre et de suivre ce qu’il nous dit, tout en ne cessant de lui parler, de lui exprimer notre gratitude et de lui présenter nos requêtes. En même temps, veillons à nous conduire conformément à nos prières et à ce que le contenu de ces dernières soit toujours approprié à l’occasion. Évitons aussi de devenir routiniers dans nos prières. En agissant ainsi, nous participerons à la justification du nom de Jéhovah, nous réjouirons son cœur et nous nous procurerons beaucoup de joie dès maintenant et dans le monde nouveau de la justice sans fin.

  • Servez Jéhovah avec joie
    La Tour de Garde 1963 | 15 juin
    • Servez Jéhovah avec joie

      Raconté par Margaret Dunham

      “ SERVEZ Jéhovah avec joie ”, chantait le psalmiste. “ Venez à ses portiques avec des louanges, à ses parvis avec des cantiques ; célébrez-​le, bénissez son nom. Car Jéhovah est bon, sa miséricorde est éternelle. ” (Ps. 100:2, 4, 5, AC). Ces mots décrivent exactement ce que les trente-sept années passées dans le service de Jéhovah à plein temps ont été pour moi. Elles m’ont enrichie de multiples expériences, fait vivre dans de nombreux pays et m’ont toujours fourni des occasions de me réjouir de la bonté de Jéhovah.

      Le premier souvenir que je garde de mon entrée en contact avec le peuple de Jéhovah remonte au temps où, à l’âge de dix ans, je passais mes vacances chez ma grand-mère à Édimbourg, en Écosse. Un dimanche, grand-mère m’emmena au cinéma pour voir le Photo-Drame de la Création, film et projections lumineuses qui dépeignaient le dessein de Dieu relatif à la terre et à l’humanité, à partir de l’époque de la préparation de notre planète jusque dans le règne millénaire du Christ. Le spectacle était impressionnant. Quelques années plus tard, nous allâmes habiter Édimbourg, et ma grand-mère s’arrangea pour que je revoie le Photo-Drame ; j’assistai au spectacle avec quelques-unes de mes camarades de classe. Toutefois, ce ne fut qu’après la mort de ma grand-mère que les Étudiants de la Bible entrèrent en contact avec ma mère. Nous ne tardâmes pas, elle et moi, à assister à leurs réunions.

      À l’époque, ils distribuaient des résolutions informant la chrétienté de son échec ; je participai à ce travail. À mesure que je fréquentais assidûment les réunions, je progressais dans la connaissance de la bonté de Jéhovah et mon appréciation de sa bonté envers ses créatures augmentait de plus en plus. Le désir de servir Jéhovah naquit en moi, impérieux, et, au printemps de 1923, je fis le don de ma personne à Jéhovah et symbolisai ce vœu par le baptême dans l’eau. Je voulais employer ma vie à “ serv(ir) Jéhovah avec joie ”.

      Quel privilège merveilleux de servir Jéhovah dans ses parvis ! Et comme le temps a passé vite ! Il me semble que quelques années seulement se sont écoulées depuis le moment où je frappai à ma première porte pour offrir la brochure d’étude biblique Des millions de personnes actuellement vivantes ne mourront jamais ! Timide, mais priant Jéhovah pour qu’il me donne la force, je frappai une fois, deux fois, sans obtenir de réponse. Quel soulagement ! Mais le premier pas était fait, et bientôt, je désirai vivement trouver les gens chez eux. Cela fit partie de ma manière de vivre.

      MA JOIE EN TANT QUE PIONNIER

      Les grandes vacances, passées deux années de suite dans le nord de l’Écosse, en compagnie de quelques membres de mon assemblée, dans le service de pionnier de vacances, comme on l’appelle aujourd’hui, aiguisèrent mon appétit pour le service de Jéhovah à plein temps en tant que colporteur. En 1925, je partis, accompagnée de Janet Thompson qui faisait partie du groupe précédent, dans mon premier territoire attribué, à Midlothian, en Écosse. La bicyclette fut notre mode de locomotion pendant les sept années que nous vécûmes ensemble comme pionniers de la bonne nouvelle. Nous ne fûmes jamais riches en biens de ce monde mais les occasions de nous réjouir ne manquèrent pas. Le cœur tout au ministère, nous ne doutions pas que Jéhovah pourvoirait à nos besoins. Comme notre confiance s’est trouvée justifiée ! Le psalmiste n’a-​t-​il pas dit : “ J’ai été jeune, j’ai vieilli ; et je n’ai point vu le juste abandonné, ni sa postérité mendiant son pain. ” — Ps. 37:25.

      Quand, dans les assemblées, on étudia l’édition du 1er mars 1925 de The Watchtower, nous revînmes à Édimbourg pour profiter avec les autres de l’étude de l’article intitulé “ Naissance de la nation ”. En quels termes clairs il décrivait l’établissement du Royaume des cieux ! Il indiquait nettement l’existence de deux organisations adverses, celle de Satan et celle de Jéhovah. D’avoir ces vérités gravées dans notre mémoire nous donnait de bonnes raisons de nous réjouir, d’être reconnaissantes.

      L’année suivante nous vit en route pour l’assemblée d’Alexandra Palace à Londres, autre borne routière sur le chemin du monde nouveau. Ce fut là que le livre Deliverance (Délivrance) fut mis en circulation, avec ses révélations sur la bataille d’Harmaguédon. À cette assemblée aussi le frère Rutherford prononça son puissant discours intitulé “ Pourquoi les puissances du monde chancellent-​elles ? — Le remède ”. Ce fut là que, pour la première fois dans une assemblée, on distribua des brochures aux gens, dans les rues.

      À l’automne, ma compagne et moi fûmes invitées à nous rendre dans un nouveau territoire, dans l’Irlande du Nord. Nous croyions entendre l’appel “ Passe en Macédoine ”, reçu par l’apôtre Paul ; nous acceptâmes avec joie (Actes 16:9, 10). À bicyclette et à pied, nous parcourions les villes et les villages du County Down et du County Armagh et visitions les fermes

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