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  • La Tour de Garde, une aide pour l’étude de la Bible
    La Tour de Garde 1954 | 15 mars
    • les points particulièrement utiles pour moi ? Parcourez de nouveau les questions se rapportant à l’étude. En les lisant, la réponse à chacune d’elles vous vient-​elle immédiatement à l’esprit ? Rappelez-​vous que pour bien étudier une des meilleures aides est la révision.

      Étudier La Tour de Garde avec quelqu’un d’autre est très recommandable. Étudier avec un autre allège le travail de concentration, augmente la joie, nous aide à mieux comprendre, améliore la capacité de s’exprimer lors de l’étude de La Tour de Garde du groupe. C’est une chose à considérer pour les membres d’une famille.

      L’étude de La Tour de Garde du groupe ? Oui, chaque semaine, dans environ quatorze mille Salles du Royaume des témoins de Jéhovah, une heure est réservée, habituellement le dimanche après-midi ou le soir, pour l’étude de la Bible à l’aide de La Tour de Garde. Ce n’est pas assez d’étudier en privé ou avec d’autres membres de notre famille. Nous profitons davantage de chaque leçon si nous écoutons ce que d’autres ont à dire en réponse à ces questions ; ils peuvent en avoir une compréhension différente, plus correcte ou plus complète que la nôtre. Non seulement nous pouvons être aidés dans une telle étude, mais nous pouvons aussi en aider d’autres. Ils ont besoin de ce que nous pouvons donner, nous avons besoin de ce qu’ils peuvent donner. Aucun membre de l’assemblée chrétienne ne peut dire à un autre : “ Je n’ai pas besoin de vous. ” — I Cor. 12:19-22, NW.

      La connaissance et la compréhension de la Bible signifient lumière et vie. Pour obtenir cette connaissance et cette compréhension, nous avons besoin d’aide. La Tour de Garde est l’aide supérieure pour l’étude de la Bible. Manifestons notre appréciation en la lisant soigneusement d’un bout à l’autre, en étudiant complètement ses articles de fond, en privé ou en famille, ensuite, en nous réunissant régulièrement pour l’étude du groupe où nous obtiendrons une aide plus grande et où nous apprendrons à aider nos compagnons dans le ministère chrétien.

  • Examinons les enseignements islamiques
    La Tour de Garde 1954 | 15 mars
    • Examinons les enseignements islamiques

      LE vocable islam désigne la plus récente des prétendues “ grandes ” religions du monde, celle qui fut fondée par Mahomet au début du septième siècle après le Christ. Ce mot signifie “ résignation ” ou “ entière soumission ”. Le livre sacré de l’islam est le Coran. Il se compose de 114 surates ou chapitres, divisés en versets comme la Bible, à la différence que ces divisions ne sont pas toutes les mêmes et que certaines versions n’en comprennent aucune.

      Lorsqu’on examine le Coran, qui est aussi volumineux que les Écritures grecques chrétiennes, on est frappé par l’absence de miracles ou de preuves que Mahomet était vraiment un prophète envoyé par Dieu. Quand Moïse, premier écrivain biblique et premier prophète envoyé aux descendants de Jacob, alla vers Israël, il fut puissamment aidé par des miracles qui prouvaient sa mission divine. Voyez Exode, chapitre 4. De même, lors de son premier avènement, Jésus-Christ accomplit tant de miracles que tous ceux que l’égoïsme n’avait pas aveuglés durent reconnaître qu’il était envoyé par Dieu. — Jean 7:31 ; 10:37, 38 ; 14:11.

      Cependant, Mahomet se présenta sans aucune preuve de son mandat divin. Ses critiques s’en plaignirent souvent et, à diverses reprises, il leur déclara que son œuvre n’était pas d’accomplir des signes mais simplement de prêcher, et que cette absence de signes devait éprouver leur foi. Mais, qu’est-​ce que la foi sans preuve ? N’importe qui pourrait se prétendre envoyé par Dieu. Moïse et le Christ prouvèrent qu’ils l’étaient en accomplissant de nombreux miracles, mais où trouver ceux de Mahomet ? Dans le Coran, il avoua n’en avoir fait aucun. Voyez les surates 2:118 ; 10:38 ; 11:13 ; 6:109, Ali.

      Pourtant, de nombreux mahométans prétendent qu’il fit des miracles. Ils soutiennent fréquemment qu’il fendit la lune et, pour le prouver, citent la surate 54:1. Toutefois, notez que ce texte n’affirme pas que Mahomet accomplit ce miracle. Des commentateurs musulmans de ce verset, parlant de la lune qui aurait été fendue, déclarent qu’il se peut qu’elle soit apparue sous cet aspect à Mahomet et à ses adeptes, dans la vallée de La Mecque, de sorte que l’on doit considérer cela comme une allégorie ou comme pouvant se réaliser dans l’avenir (Voyez Ali). Le témoignage des pierres, découvert par la géologie, atteste clairement le récit biblique de la création comme celui du déluge, mais où trouver la preuve que la lune fût fendue ?

      D’autres prétendent que Mahomet fit de nombreux miracles qui furent relatés dans le Alhadith ou Hadis, récit de la tradition musulmane, systématisé au troisième siècle de l’ère islamique. Selon cette tradition, parmi les miracles que Mahomet a accomplis, dit-​on, on cite les suivants : “ Les arbres, les rochers et les montagnes avaient l’habitude de le saluer près de La Mecque. Un jour où le peuple avait très soif, Mahomet remplit toutes les cruches en faisant jaillir de l’eau d’entre ses doigts. Un arbre fut appelé à témoigner de son mandat divin. Il vint, labourant le sol jusqu’à ce qu’il se trouvât en sa présence. Par trois fois il attesta le fait que Mahomet était le prophète de Dieu. ” Selon Sir William Muir, un demi-million environ de traditions semblables ont été transmises.

      Cependant, nous nous trouvons devant les mêmes difficultés que pour le judaïsme et le prétendu christianisme, en ce que la tradition contredit le récit écrit. Le Coran ne tient aucun compte des miracles. Il rapporte simplement que Dieu aurait dit : “ Nous nous abstenons d’envoyer des signes, uniquement parce que les hommes d’autrefois les considéraient comme faux. ” (Surate 17:59, Ali). Cette déclaration exclut catégoriquement tous les signes. Si Mahomet en avait accompli, pourquoi réprimandait-​il ses auditeurs qui lui ordonnaient d’en faire pour eux ? Pourquoi ceux-ci déploraient-​ils leur absence ? Pourtant, le Coran n’en relate aucun. La parole écrite est toujours plus digne de confiance que la tradition orale, et nous sommes, en outre, amenés à cette conclusion par la nature grotesque des prétendus miracles accomplis.

      ABROGATION ET ANNULATION

      Le Coran a été appelé le plus grand rival de la Bible, car il est le livre sacré de 300 millions de musulmans environ ; ceux-ci croient qu’il n’a pas été créé, qu’il fut envoyé des cieux les plus élevés et révélé à Mahomet par l’ange Gabriel, par sections ou surates. Eu égard au fait qu’on reproche souvent à la Bible de se contredire, ses amis ne concluront pas à la hâte que le Coran se contredit.

      Mais ce dernier lui-​même admet de telles contradictions puisqu’il prétend avoir le droit de “ l’annulation ” ou de “ l’abrogation ”. Les critiques de Mahomet s’étant plaints qu’il se contredisait parfois, il enseignait que, chaque fois

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