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  • ... Mais toutes les drogues sont-elles dangereuses?
    Réveillez-vous ! 1978 | 8 février
    • Prendre un médicament pour se soigner comporte donc un risque calculé. Le malade ou son médecin doit décider s’il est approprié de prendre ce risque. Mais pourquoi absorber un médicament dangereux ou une drogue quand il n’y a aucune raison médicale pour le faire? Pourquoi s’empoisonner pour un plaisir momentané? “Purifions-​nous donc de toute souillure de la chair et de l’esprit”, dit la Bible avec bon sens. — II Cor. 7:1.

      D’aucuns diront peut-être que faire usage de marijuana ou de cocaïne est la même chose que faire usage d’alcool, sauf que ce dernier est jugé acceptable par la plupart des sociétés. “Si l’alcool est accepté, pourquoi pas la marijuana ou la cocaïne?”, disent-​ils.

      Tout d’abord, on peut faire remarquer que la plupart des gens consomment des boissons alcooliques comme rafraîchissement ou pour se détendre, pas pour s’enivrer. Comme on l’a dit plus haut, le corps traite l’alcool comme les aliments, c’est-à-dire qu’il l’assimile relativement vite. Mais boire de l’alcool au point d’en avoir le cerveau troublé est une autre affaire. Ici nous en arrivons à la véritable question: qu’il s’agisse de drogue ou d’alcool, si l’on en use dans le but d’avoir l’esprit perturbé, peut-​on dire qu’il s’agit d’une distraction saine?

      Il est intéressant de noter que si la Bible approuve la consommation de vin, elle n’approuve pas l’ivrognerie. Nous lisons en effet: ‘Les ivrognes n’hériteront pas le royaume de Dieu.’ — I Cor. 6:9, 10.

      Le principe est le même dans le cas de la marijuana ou de la cocaïne. Ces substances ne peuvent servir d’aliment ou de boisson; on en use principalement pour modifier son état mental, ce qui est nuisible de plusieurs façons.

      Celui qui est sous l’action d’une drogue ou qui est ivre se comporte tout autrement que s’il était pleinement maître de lui-​même. Ce manque de maîtrise de soi peut conduire à l’impureté sexuelle avec toutes ses conséquences: maladies, enfants illégitimes et foyers brisés. Pour éviter de tels problèmes, la Bible nous exhorte ainsi: “Que chacun de vous sache posséder son corps dans la sainteté et l’honnêteté, sans vous livrer à une convoitise passionnée, comme font les païens.” — I Thess. 4:3-5, Segond.

      Mais une personne qui se trouve sous l’influence de drogues telles que la marijuana et la cocaïne est incapable de “posséder son corps”. C’est plutôt son corps qui est possédé par la drogue. Or, on a besoin de toutes ses facultés pour faire face aux pressions actuelles et pour se protéger contre les attraits trompeurs du monde qui ne conduisent qu’à la maladie et au chagrin. La Bible fait remarquer avec sagesse que “la capacité de réflexion veillera sur toi, le discernement te sauvegardera, pour te délivrer de la voie mauvaise”. — Prov. 2:11-13.

      Que celui qui est tenté par la drogue se pose les questions suivantes: Pourquoi vais-​je rechercher les chimères qu’apporte la drogue? Une personne saine et équilibrée peut-​elle trouver du plaisir à l’altération des fonctions de son cerveau? La toxicomanie n’est-​elle pas une forme d’introversion dont le seul résultat est de briser l’individu et de ruiner sa santé?

      L’usage de la drogue, comme l’a dit le docteur Hardin Jones, “abolit vraiment le plaisir d’être un humain sain, vigoureux et actif”. Le jeune couple dont parle l’article suivant en a fait l’expérience et il a appris à mener une vie riche et satisfaisante sans recourir à la drogue.

  • Comment nous sommes sortis de la drogue
    Réveillez-vous ! 1978 | 8 février
    • Comment nous sommes sortis de la drogue

      SI UN jour vous nous rencontrez, nous serons pour vous comme n’importe quel autre jeune couple. Il y a pourtant une différence: Nancy et moi avons été toxicomanes. Notre histoire aidera peut-être d’autres personnes qui sont esclaves de la drogue à s’en libérer et à mener une vie utile. Elle aidera aussi peut-être les parents des jeunes gens qui commencent à toucher à la drogue.

      Je suis vraiment consterné quand je pense au temps où, adolescents, nous nous adonnions aux stupéfiants et menions une triste vie, car, c’est vrai, nous ne faisions que végéter à ce moment-​là.

      Ni Nancy ni moi n’avions eu une enfance malheureuse. Nous habitions une banlieue résidentielle et nous appartenions, moi à une famille d’ouvriers et elle à une famille de la haute bourgeoisie américaine. Nos parents pensaient probablement que leurs enfants grandissaient dans un quartier “sûr”. Mais, à ce sujet, permettez que je vous donne une précision importante.

      Géographiquement, il n’existe pas d’endroits où les enfants sont à l’abri de la drogue. Trop souvent les parents sont enclins à tranquilliser leur esprit avec l’idée fausse que la drogue va de pair avec les quartiers défavorisés. Ce n’est pas du tout le cas. Les stupéfiants pénètrent tous les milieux. Celui qui en veut en trouve. C’est une question de désir, mais pas de quartier.

      Ayant été élevé par des parents dévoués et travailleurs, j’ai eu une enfance heureuse, normale et active. On m’avait enseigné la valeur du travail, aussi j’avais ma part de responsabilité dans la famille. À l’école j’étais dans les premiers et je m’intéressais à la science et aux mathématiques. Je souhaitais devenir pilote d’avion ou astronaute, comme John Glenn, mon “héros”.

      Toujours est-​il qu’au seuil de l’adolescence

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