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  • Fournaise
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    • foyer. Les creusets d’argile qui contenaient le cuivre étaient posés sur des tuiles en pierre, elles-​mêmes placées sur les cendres à l’intérieur du fourneau.

      Nébucadnezzar fit jeter les trois fidèles compagnons hébreux de Daniel dans une fournaise de feu parce qu’ils refusaient de se prosterner devant l’image d’or qu’il avait dressée (Dan. chap. 3). Le récit ne précise pas s’il s’agissait d’une fournaise spéciale, fabriquée expressément dans ce but, ou si c’était un fourneau affecté en temps normal à un usage habituel.

      L’Égypte, qui maintenait Israël sous le rude joug de l’esclavage, est comparée à un fourneau de fer (Deut. 4:20). Le déversement de la colère de Dieu sur la maison d’Israël est assimilé à la liquéfaction des métaux dans un fourneau (Ézéch. 22:18-22). Pour d’autres emplois de ce mot dans des métaphores ou dans des comparaisons, voir Proverbes 17:3; 27:21; Psaume 12:6 (“fourneau de fusion”).

  • Fourreau
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    • FOURREAU

      {Article non traduit.}

  • Fourrier en chef
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    • FOURRIER EN CHEF

      (héb. sar menûḫâh).

      C’était peut-être l’officier responsable du ravitaillement en vivres et en armes des troupes. Cette expression, qui signifie littéralement “prince du lieu de repos”, pourrait désigner la personne chargée de la caravane du roi lorsque celui-ci était en campagne ou en voyage. En tant que fourrier en chef de Sédécias, Séraïah accompagna le roi lors du voyage qu’il fit à Babylone dans la quatrième année de son règne, apportant avec lui la prophétie que Jéhovah avait écrite contre Babylone.Après l’avoir lue à haute voix dans cette ville, Séraïah l’attacha à une pierre et la lança dans l’Euphrate, en symbole de la future chute que Babylone subirait pour ne plus jamais se relever. — Jér. 51:59-64.

  • Frapper
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    • FRAPPER

      {Article non traduit.}

  • Frêne
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    • FRÊNE

      (héb. tidhhâr).

      Le nom de cet arbre figure deux fois dans les Écritures hébraïques, en Ésaïe 41:19 et 60:13. Le premier texte déclare que le frêne, comme le genévrier et le cyprès, prospérera dans la plaine déserte quand les conditions paradisiaques prédites régneront. D’après le deuxième texte, ces trois mêmes arbres font partie de la “gloire du Liban”. L’identification de cet arbre est conjecturales, mais une comparaisons avec l’arbre et l’araméen fournit des indices qui pèsent en faveur du frêne.

      Le frêne mérite de faire partie de la “gloire du Liban”. En effet, ce grand arbre qui peut atteindre quinze mètres de haut prospère en Syrie et au Liban à une altitude élevée, là où d’autres arbres ont du mal à survivre. En outre, c’est un arbre d’une telle beauté que certains l’ont appelé la “Vénus” de la forêt. Son feuillage est vert clair et ses rameaux cendrés. Les botanistes le classent dans la même famille que l’olivier, mais, contrairement à cet arbre à feuillage persistant, le frêne perd ses feuilles chaque automne.

  • Frère
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    • FRÈRE

      Homme qui a le même père, la même mère ou les mêmes parents que la personne considérée (Gen. 4:1, 2). Cependant, le terme “frère” peut aussi s’appliquer à des neveux, aux membres d’une même tribu, d’une même nation, voire à des gens issus d’un ancêtre commun bien que de nationalité différente (Gen. 11:27; 13:8; Ex. 2:11; Nomb. 20:14). Il est aussi appliqué à ceux qui servent une cause commune ou qui travaillent à des objectifs semblables. — I Rois 9:13; 5:1-12.

      Dans la Société patriarcale, comme sous la loi de Moïse, les frères selon la chair jouissaient de divers privilèges, mais il devaient aussi s’acquitter de certaines obligations. À la mort du père, le frère aîné ou premier-né recevait une double part de l’héritage familial, et c’est lui qui devait jouer le rôle de chef de famille. Le frère passait en premier pour le droit de rachat, le lévirat ou le rôle de vengeur du sang (Lév. 25:48, 49; Deut. 25:5). La Loi interdisait formellement les relations incestueuses entre frère et sœur. — Lév. 18:9; Deut. 27:22.

      Les membres de la congrégation chrétienne entretiennent entre eux des relations spirituelles analogues à celles qui unissent des frères. D’ailleurs, Jésus appela ses disciples “frères”. (Mat. 25:40; 28:10; Jean 20:17.) Il insista beaucoup sur ces relations spirituelles, disant par exemple: “Quiconque fait la volonté de mon Père (...), celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère.” — Mat. 12:48-50.

      Le jour de la Pentecôte, Pierre s’adressa à ceux qui étaient venus de pays lointains, y compris à des prosélytes, en les appelant “frères”. (Actes 2:8-10, 29, 37.) Parfois, on distinguait les hommes chrétiens ou “frères” des femmes ou “sœurs”. (I Cor. 7:14, 15.) Cependant, il était d’usage d’employer le terme “frères” en s’adressant à des groupes mixtes, aussi ne se limitait-​il pas aux hommes (Actes 1:15; Rom. 1:13; I Thess. 1:4). Ce terme est utilisé dans ce dernier sens dans toutes les lettres des rédacteurs chrétiens divinement inspirés, à l’exception de trois épîtres (Tite, II Jean et Jude), ainsi que dans les écrits émanant d’autres membres de la congrégation chrétienne primitive. Les apôtres mirent les chrétiens en garde contre les “faux frères” qui s’infiltraient dans les congrégations. — II Cor. 11:26; Gal. 2:4.

      LES FRÈRES DE JÉSUS

      Les quatre Évangiles, les Actes des Apôtres, ainsi que deux lettres de Paul parlent des “frères du Seigneur”, du “frère du Seigneur”, de “ses frères”, de “ses sœurs”, et notamment quatre de ces “frères”, savoir Jacques, Joseph, Simon et Judas (Mat. 12:46; 13:55, 56; Marc 3:31; Luc 8:19; Jean 2:12; Actes 1:14; I Cor. 9:5; Gal. 1:19). La plupart des biblistes acceptent cette accumulation de preuves et reconnaissent que Jésus avait au moins quatre frères et deux sœurs qui étaient tous nés naturellement de Joseph et de Marie après la naissance miraculeuse de Jésus.

      Les interprétations arbitraires qui veulent faire de ces frères de Jésus les fils d’un premier lit de Joseph ou d’un mariage par lévirat avec sa belle-sœur sont purement imaginaire, car on ne peut en trouver aucune confirmation dans les Écritures, où il n’est pas même fait la moindre allusion à ce idées. L’affirmation selon laquelle le terme “frère” (adelphos) signifierait ici cousin (anepsios) n’est qu’une conjecture échafaudée, croit-​on, par Jérôme, mais pas avant l’an 383. Non seulement Jérôme s’abstient de citer aucune source traditionnelle pour sa nouvelle hypothèse, mais encore, dans ses écrits postérieurs, il sera gagné par l’incertitude et exprimera même des doutes au sujet de sa “thèse des cousins”. Dans un commentaire à ce propos, Lightfoot déclare: “Saint Jérôme n’invoque aucune autorité traditionnelle pour appuyer sa thèse, et, par conséquent, on devrait en trouver les preuves uniquement dans les Écritures. J’ai

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