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SexeComment raisonner à partir des Écritures
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les besoins de ceux qui veulent garder une conscience pure devant Dieu et éviter des problèmes inutiles.)
Si quelqu’un vous dit:
‘Que pensez-vous de l’homosexualité?’
Vous pouvez répondre: ‘Je partage le point de vue de la Bible sur cette question. Je crois qu’il a plus de valeur que celui de n’importe quel humain, car il émane du Créateur de l’homme (I Cor. 6:9-11). Vous noterez que certains pratiquaient l’homosexualité avant de devenir chrétiens. Mais par amour pour Dieu et avec l’aide de son esprit, ils ont changé.’
Ou bien vous pouvez dire: ‘J’ai remarqué que beaucoup de défenseurs de l’homosexualité ne croient pas que la Bible est la Parole de Dieu. Puis-je vous demander ce que vous pensez de ce livre?’ Si la personne affirme croire en la Bible, vous pouvez ajouter: ‘L’homosexualité n’est pas une pratique nouvelle. Les Écritures montrent clairement comment Jéhovah l’a toujours considérée. (Vous pouvez utiliser les matières des pages 372 et 373.)’ Si la personne doute de l’existence de Dieu et de la véracité de la Bible, vous pouvez ajouter: ‘Évidemment, si Dieu n’existait pas, nous n’aurions aucun compte à lui rendre et nous pourrions vivre comme bon nous semble. Tout le problème est donc de savoir si Dieu existe et si nous lui devons la vie [ou éventuellement, si la Bible est inspirée de Dieu]. (Servez-vous des pensées développées aux pages 51 à 60 ou 106 à 112.)’
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SouffranceComment raisonner à partir des Écritures
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Souffrance
Définition: Ce que ressent une personne soumise à la douleur ou à l’affliction. La souffrance peut être d’ordre physique, moral ou émotionnel. Les causes possibles en sont nombreuses: des dommages consécutifs à la guerre ou à l’avidité mercantile, des tares, la maladie, un accident, une catastrophe naturelle, des propos blessants ou un acte malveillant, des pressions exercées par les démons, la perspective d’un malheur imminent, ou sa propre sottise. Nous parlerons de la souffrance liée à ces diverses causes. Toutefois, on peut encore souffrir parce qu’on est sensible aux difficultés d’autrui ou parce qu’on remarque la conduite impie de ceux qui nous entourent.
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