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Suivez les bergers fidèles avec la perspective de vivreLa Tour de Garde 1968 | 1er février
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faire avancer les intérêts du Royaume conformément au programme courant prévu par l’“esclave fidèle et avisé”.
22. Pourquoi devons-nous donc demeurer loyalement attachés à l’organisation de Jéhovah ?
22 La Bible nous incite et nous encourage à faire passer l’organisation théocratique avant notre propre personne, à l’accepter sous tous ses aspects et à lui demeurer loyalement attachés. Jéhovah révélera en temps voulu ce qui sera encore requis de ses fidèles serviteurs sur la terre avant Harmaguédon. La seule façon de le savoir consiste à demeurer étroitement uni à son organisation théocratique visible. Ayant identifié cette organisation et appris les justes exigences divines par l’intermédiaire de son canal, ne vous en écartez pas. Suivez les fidèles bergers de Jéhovah, “pour que, tout comme le péché a régné avec la mort, pareillement aussi la bonté imméritée règne par la justice, avec la vie éternelle en vue, par Jésus-Christ notre Seigneur”. — Rom. 5:21.
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Donnez-vous ‘comme vous l’avez résolu dans votre cœur’ ?La Tour de Garde 1968 | 1er février
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Donnez-vous ‘comme vous l’avez résolu dans votre cœur’ ?
CET enfant n’avait que neuf ans mais il possédait déjà l’esprit de la bonne nouvelle du Royaume de Dieu, comme le prouve la lettre qu’il envoya à la filiale de la Société Watch Tower à Athènes. Il écrivit : “Mes parents m’avaient promis 500 drachmes [environ 80 francs français] si j’obtenais de très bonnes notes aux examens de fin d’année à l’école. En fait, j’ai été reçu, et ils m’ont donné cet argent comme promis, tout en me laissant le libre choix quant à son emploi. Après avoir réfléchi, j’ai décidé de l’employer à l’extension de la proclamation de la bonne nouvelle, et je vous l’envoie par l’intermédiaire de notre surveillanta.”
Ce geste n’est-il pas remarquable ? Certainement, mais il n’est pas unique, car l’effet que produit la bonne nouvelle du Royaume de Dieu sur des enfants est encore démontré par ce jeune Rhodésien de cinq ans qui écrivit les quelques mots suivants au bureau de la filiale de la Société à Salisbury : “Chers frères, voici mon don pour la Société : 1 shilling [environ 75 centimes français], que mon père m’a donné pour acheter des bonbons. Au lieu d’acheter des bonbons, j’ai pensé à envoyer cet argent à la Société ; il sera ainsi dépensé d’une façon plus utileb.”
Il est effectivement remarquable que des jeunes enfants manifestent un tel esprit désintéressé ; mais ce qui est peut-être encore plus remarquable, c’est la maturité dont ils font preuve dans leur façon de s’exprimer. Le premier de ces petits garçons, celui de neuf ans, écrit : “Après avoir réfléchi, j’ai décidé”, tandis que le second, âgé de cinq ans, dit : “J’ai pensé à envoyer cet argent à la Société.”
Il semble bien que ces enfants ont tout d’abord accordé quelque réflexion à la question, résolu ensuite dans leur petit
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