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  • Donnons à Jéhovah le meilleur de nous-mêmes
    La Tour de Garde 1979 | 15 août
    • Donnons à Jéhovah le meilleur de nous-​mêmes

      “‘Maudit est celui qui agit avec ruse quand il y a dans son troupeau un animal mâle, et il fait un vœu et sacrifie à Jéhovah un animal détérioré! Car je suis un grand Roi’, a dit Jéhovah des armées, ‘et mon nom sera redoutable parmi les nations’.” — Mal. 1:14.

      1. Des humains peuvent-​ils réellement donner quelque chose à Jéhovah?

      NE TROUVEZ-​VOUS pas étrange que des humains imparfaits puissent envisager de donner quelque chose à Jéhovah, le grand Créateur? Il n’est pas une chose dans l’univers qui ne lui appartienne déjà. Dieu lui-​même déclara dans sa Parole: “L’argent est à moi, et l’or est à moi.” (Aggée 2:8). “Tous les animaux sauvages de la forêt m’appartiennent, les bêtes sur mille montagnes. Je connais bien toutes les créatures ailées des montagnes, et avec moi est la multitude des animaux de la campagne. Si j’avais faim, je ne te le dirais pas; car le sol productif et sa plénitude m’appartiennent. Mangerai-​je de la chair des puissants taureaux, et boirai-​je le sang des boucs?” (Ps. 50:10-13). Il est évident que Dieu n’attend après les dons d’aucun individu. Il se suffit à lui-​même. Il existe par lui-​même.

      2. Que reconnut David à propos des offrandes volontaires que son peuple et lui faisaient à Jéhovah?

      2 Le jeune David, fils d’un Judéen nommé Jessé, savait, pour avoir été instruit dans la Loi de Moïse, que toute la terre appartient à Jéhovah (Ex. 19:5). Plus tard, lorsqu’il versa une contribution pour la construction du temple à Jérusalem, David pria le Très-Haut en ces termes: “Qui suis-​je et qu’est-​ce que mon peuple, pour que nous conservions de la force pour faire de telles offrandes volontaires? Car tout vient de toi et c’est de ta main que nous t’avons donné. Ô Jéhovah, notre Dieu, toute cette abondance que nous avons préparée pour te bâtir une maison pour ton saint nom, elle vient de ta main et elle appartient toute à toi.” — I Chron. 29:14, 16.

      3. a) Quelles questions peut-​on se poser à propos des dons faits à Jéhovah? b) Que répondent les Écritures à de telles questions?

      3 David reconnaissait qu’en tant qu’humains, nous ne pouvons en aucune façon enrichir le Tout-Puissant. En fait, quoi que nous lui donnions, nous ne faisons que lui rendre une petite partie de ce que nous avons reçu de lui, la Source de ‘tout beau don et de tout présent parfait’. (Jacq. 1:17.) Faut-​il en conclure que les dons faits au Créateur n’ont aucune valeur? Méprise-​t-​il les offrandes de ses serviteurs dévoués? Sa Parole répond non. Jéhovah Dieu invite au contraire ses humbles adorateurs à lui apporter leurs dons. Nous lisons en Psaume 96:8: “Attribuez à Jéhovah la gloire qui appartient à son nom; portez un don et entrez dans ses cours.”

      4. À quel genre de dons Jéhovah prend-​il plaisir?

      4 Bien entendu, Jéhovah désirait que ces offrandes soient de qualité et qu’elles viennent d’un cœur reconnaissant. Ces dons exigeaient du renoncement ainsi qu’une préparation dans la prière et la réflexion. Sous la Loi mosaïque, par exemple, un Israélite ne devait pas penser qu’il lui suffisait d’amener n’importe quel animal à l’entrée de la cour du tabernacle pour être l’objet d’une attention favorable de la part de Dieu. La Loi stipulait: “Si un homme présente un sacrifice de communion à Jéhovah, pour s’acquitter d’un vœu ou comme offrande volontaire, ce devra être un animal en parfait état parmi le gros bétail ou parmi le petit bétail, afin d’attirer l’approbation. Il faudra qu’il n’y ait aucune tare en lui. Aucun animal aveugle, ou qui a une fracture, ou une entaille, ou une verrue, ou des dartres, ou la teigne, vous ne présenterez aucun de ceux-là à Jéhovah.” — Lév. 22:21, 22.

      5. Que stipulait la Loi concernant l’offrande céréalière?

      5 Quant à l’offrande céréalière, ce devait être de la fleur de farine (Lév. 2:1, 4; 6:14, 15; Nomb. 15:4). Cette exigence devait exclure toute farine grossière et mal tamisée. Oui, seuls les meilleurs produits constituaient des offrandes convenables pour le Dieu saint, Jéhovah.

      6. Jéhovah tenait-​il compte des mobiles avant d’agréer un sacrifice?

      6 Mais pour être agréable à Jéhovah, une offrande devait satisfaire à une autre condition importante. Elle devait être présentée avec un bon mobile dans le cœur. Si un Israélite n’avait pas au fond de lui le désir de plaire à son Créateur, ses sacrifices seraient vains. Remarquez comme cette condition est bien mise en évidence dans les paroles suivantes: “‘De quel profit est pour moi la multitude de vos sacrifices?’ dit Jéhovah. ‘J’ai mon content des holocaustes de béliers et de la graisse des animaux bien nourris; et je ne prends nul plaisir au sang des jeunes taureaux, et des agneaux mâles, et des boucs. Quand vous entrez pour voir ma face, qui a réclamé de votre main ceci: piétiner mes cours? Cessez d’apporter encore des offrandes céréalières sans valeur. L’encens — c’est pour moi quelque chose de détestable. (...) Vos nouvelles lunes et vos époques de fête, mon âme les hait. Elles sont devenues pour moi un fardeau; je suis devenu las de les supporter. Et lorsque vous étendez vos paumes, je cache mes yeux de devant vous. Quand bien même vous faites beaucoup de prières, je n’écoute pas; vos mains sont devenues pleines d’effusions de sang.’” (És. 1:11-15). Là où il n’y avait pas un attachement sincère et un esprit de générosité, les dehors du culte devenaient semblables à des présents destinés à acheter la faveur divine, et Jéhovah ne pouvait en aucune façon les agréer.

      CE QUE NOUS OFFRONS À JÉHOVAH

      7. Pourquoi n’offrons-​nous plus aujourd’hui de sacrifices d’animaux?

      7 À la différence des Israélites, les disciples de Jésus Christ n’offrent pas de sacrifices sur un autel matériel. L’alliance de la Loi qui ordonnait de telles offrandes fut abolie grâce à la mort de Jésus sur un poteau (Col. 2:13, 14). Ceci soulève donc la question suivante: Quels sacrifices pouvons-​nous offrir?

      8. En Romains 12:1, qu’écrivit Paul à propos des sacrifices? Comment faut-​il comprendre ce passage?

      8 S’adressant aux croyants oints de l’esprit qui allaient abandonner leur corps de chair et recevoir un corps spirituel glorieux à la résurrection, l’apôtre chrétien Paul donna cette exhortation: “Je vous supplie donc, frères, par les compassions de Dieu, de présenter vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, un service sacré avec usage de votre raison.” (Rom. 12:1). Paul encourageait donc ces chrétiens à employer leurs forces et leurs facultés au service du Créateur. Puisque les membres du corps sont les instruments qui permettent de parler et d’agir, ‘présenter leurs corps en sacrifice vivant’ signifiait pour les chrétiens qu’ils devaient être actifs et ‘faire tout pour la gloire de Dieu’. (I Cor. 10:31.) Pour que ce sacrifice soit “saint”, ils devaient aussi rester purs sur les plans moral et spirituel. Ensuite, l’offrande de leurs corps ne serait “agréable à Dieu” que si leurs actions étaient motivées par un amour sans hypocrisie (I Cor. 13:3). Si maintenant ils vivaient avec piété et le manifestaient dans leur façon de penser, de parler et d’agir, tout cela parce qu’après mûre réflexion, ils avaient estimé juste de témoigner ainsi leur reconnaissance pour la compassion divine, alors ils accomplissaient le service sacré avec ‘usage de leur raison’. Que notre espérance soit céleste ou terrestre, ne pouvons-​nous pas, nous aussi, servir Dieu de la manière décrite par Paul, à savoir de toute notre âme?

      9. Quel encouragement Paul nous donne-​t-​il en Hébreux 13:15, 16?

      9 La lettre aux Hébreux nous donne encore d’autres explications sur les sacrifices que Dieu agrée. Nous lisons en Hébreux 13:15, 16: “Par [Christ], offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-à-dire le fruit de lèvres qui font la déclaration publique pour son nom. D’autre part, n’oubliez pas de faire le bien et de partager avec autrui, car c’est à de tels sacrifices que Dieu prend plaisir.” — Voir aussi Osée 14:2.

      10. Que comprend ‘le fruit des lèvres’? Quelles questions pouvons-​nous nous poser à ce sujet?

      10 Offrir ‘le fruit des lèvres’ signifie notamment prendre part à l’accomplissement de Matthieu 24:14, qui dit: “Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée par toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations.” Donnons-​nous vraiment le meilleur de nous-​mêmes dans l’œuvre importante de prédication? Guettons-​nous les occasions de donner le témoignage? Notre vie de chrétiens est-​elle exemplaire et fait-​elle du ‘fruit de nos lèvres’ un sacrifice de louange acceptable? — Rom. 2:21, 22.

      11. Pourquoi avons-​nous intérêt à examiner notre attitude vis-à-vis des réunions chrétiennes?

      11 Notre sacrifice comprend aussi les commentaires que nous faisons en public lors des réunions chrétiennes. Bien entendu, cela exige que nous soyons présents lorsque nos compagnons croyants s’assemblent pour adorer Dieu. Attendons-​nous donc avec impatience le moment de retrouver ceux qui partagent la même foi précieuse que nous? Ou permettons-​nous à d’autres activités de nous faire perdre le temps que nous aurions pu passer en compagnie de nos frères? Nous ferions bien d’imiter le psalmiste qui avait un si vif désir d’entrer en communication avec Dieu au milieu de ses coreligionnaires qu’il se compara à une biche qui soupire après le courant d’eau sans lequel il lui sera tout simplement impossible de survivre (Ps. 42:1, 2). Avons-​nous profondément conscience de ne pouvoir vivre sans Jéhovah, “la source d’eau vive”? — Jér. 2:13.

      12, 13. Comment pouvons-​nous tirer le plus grand profit possible des réunions?

      12 Mais sans doute voudrions-​nous tirer le plus grand profit possible des réunions. Nous y parviendrons en nous efforçant de mettre en pratique le conseil divinement inspiré que voici: “Observons-​nous les uns les autres pour nous inciter à l’amour et aux belles œuvres, (...) en nous encourageant mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez s’approcher le jour.” (Héb. 10:24, 25). Puisque le grand jour de l’exécution des jugements divins viendra sans faute, n’y a-​t-​il pas lieu d’examiner dans la prière ce que nous pouvons faire pour affermir et encourager nos frères? Nous ne désirons pas que ce jour surprenne l’un d’eux alors qu’il se trouve dans une condition que Dieu désapprouve, n’est-​ce pas (Luc 21:34-36)? Nos commentaires lors des réunions révèlent-​ils donc que nous nous préoccupons sincèrement du bien-être spirituel de nos frères? Les encourageons-​nous ainsi à se témoigner de l’amour et à rechercher avec désintéressement le bonheur éternel de leurs compagnons? Ce que nous disons les incite-​t-​il tous à persévérer dans la pratique des belles œuvres, à prêcher la “bonne nouvelle” avec zèle et à montrer l’exemple dans tous les aspects de la vie quotidienne? — Voir Tite 2:1-14.

      13 Par surcroît, en incitant les autres “à l’amour et aux belles œuvres”, nous nous stimulons nous-​mêmes. Nous imprégnons notre esprit et notre cœur de l’importance de faire des œuvres qui s’harmonisent avec notre foi. Ceci peut nous amener à nous examiner puis à opérer des changements dans notre vie et notre activité de chrétiens, tout cela pour notre plus grand profit. Enfin, quand nous écoutons les autres et que nous mettons en pratique leurs exhortations tirées des Écritures, nous trouvons le bonheur dont jouissent “les personnes qui pratiquent la parole”. — Jacq. 1:22-25.

      14, 15. Outre le fait d’aider spirituellement notre prochain, qu’est-​ce qui fait aussi partie de nos “sacrifices”?

      14 La lettre aux Hébreux nous encourage aussi à nous associer à ceux qui sont dans le besoin et à les secourir. Voici ce que cette lettre disait à ses destinataires: “Mais rappelez-​vous les jours passés, où après avoir été éclairés, vous avez enduré un grand combat au milieu des souffrances, tantôt exposés comme dans un théâtre aux outrages et aux tribulations, tantôt vous associant à ceux qu’on traitait ainsi. Et en effet, vous avez montré de la compassion pour ceux qui étaient en prison et vous avez accepté avec joie le pillage de vos biens, sachant que vous avez, vous, une possession meilleure et durable.” (Héb. 10:32-34). Montrons-​nous également de la compassion pour ceux qui souffrent, et leur venons-​nous en aide?

      15 Les serviteurs de Dieu connaissent des situations très différentes les unes des autres. Certains sont dans la misère. D’autres, qui sont tristes et déprimés, ont soif de réconfort et d’amitié. D’autres encore sont découragés à cause de graves problèmes personnels. Certes, Jéhovah Dieu veillera à ce que les justes ne soient jamais complètement abandonnés (Ps. 37:25). Mais ne nous sentons-​nous pas personnellement tenus de servir d’instruments pour montrer à ces chrétiens les effets de l’aide et de la bonté divines? Négliger cette responsabilité serait chose grave. L’apôtre Jean écrivit: “Quiconque a les ressources de ce monde et voit son frère dans le besoin et lui ferme la porte de ses tendres compassions, comment l’amour de Dieu demeure-​t-​il en lui? Petits enfants, n’aimons ni en parole ni avec la langue, mais en acte et en vérité.” — I Jean 3:17, 18.

      POURQUOI SOMMES-​NOUS INVITÉS À PRÉSENTER NOS DONS?

      16, 17. Pourquoi Jéhovah nous invite-​t-​il à lui offrir des sacrifices?

      16 Pour que nous puissions offrir fidèlement nos sacrifices spirituels, il faut que nous comprenions pourquoi Jéhovah Dieu nous invite à les présenter. Il est de fait que notre Père céleste connaît d’ores et déjà nos pensées les plus intimes. Mais il veut que nous exprimions notre amour pour lui en agissant de façon positive pour le bien des autres. Il désire que ses serviteurs soient, comme lui, bons et généreux (Mat. 5:43-48). C’est pour Jéhovah le moyen d’attirer des hommes à lui, car la conduite méritoire des chrétiens peut pousser ceux qui en sont témoins à reconnaître que le vrai bonheur réside dans l’accomplissement de la volonté divine. — Mat. 5:16.

      17 Puisqu’il nous a créés, Jéhovah Dieu sait ce qui sert le mieux nos intérêts. Et c’est là une autre raison pour laquelle il nous invite à lui présenter des dons. En effet, la générosité nous procure dès maintenant la paix de l’esprit et du cœur, ainsi qu’un bonheur véritable. La Bible ne dit-​elle pas: “Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir.” (Actes 20:35). Mais outre cela, nous avons l’assurance que notre Père céleste lui-​même nous récompensera largement dans le présent comme dans l’avenir. Son Fils déclara: “Quand tu fais des dons de miséricorde, que ta main gauche ne sache pas ce que fait ta droite, afin que tes dons de miséricorde se fassent en secret; alors ton Père, qui regarde dans le secret, te le rendra.” (Mat. 6:3, 4). “Quand tu offres un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles; et tu seras heureux, parce qu’ils n’ont pas de quoi te rendre. Cela, en effet, te sera rendu à la résurrection des justes.” — Luc 14:13, 14.

      18. Que devrions-​nous donner? Pourquoi?

      18 Une vue d’ensemble de nos sacrifices nous oblige à conclure qu’aux réunions, dans la prédication de la “bonne nouvelle”, dans notre façon de penser, de parler et d’agir, bref, dans tous les aspects de la vie, nous devrions être prêts à donner le meilleur de nous-​mêmes. La tiédeur n’est pas de mise face à des questions d’une telle importance. L’approbation de Jéhovah et notre espoir d’obtenir la vie sont en jeu. Vivons donc en harmonie avec cette assurance que nous donnent les Écritures: “Dieu n’est pas injuste pour oublier votre œuvre et l’amour que vous avez montré à l’égard de son nom, en ce que vous avez servi les saints et que vous continuez à les servir.” — Héb. 6:10.

  • Veillons à être purs lorsque nous apportons nos dons
    La Tour de Garde 1979 | 15 août
    • Veillons à être purs lorsque nous apportons nos dons

      “Attribuez à Jéhovah la gloire qui appartient à son nom; portez un don et entrez dans ses cours. Prosternez-​vous devant Jéhovah en saints ornements.” — Ps. 96:8, 9.

      1, 2. Pourquoi le peuple de Dieu doit-​il être pur? Comment la Loi inculqua-​t-​elle cette nécessité aux Israélites?

      SAINT et pur, Jéhovah exige de son peuple qu’il reste pur lui aussi (I Pierre 1:14-16). La Loi de Moïse avait d’ailleurs inculqué cette exigence aux Israélites. Ceux-ci devaient se tenir à l’écart des pratiques immorales et décadentes des nations d’alentour, éviter autant que possible de toucher un corps mort ou toute autre chose qui les aurait souillés, et ne pas manger d’animaux impurs. — Lév. 11:4-8, 10-20, 24, 25; 18:3-24.

      2 Quand ils participaient à une campagne militaire, les Israélites étaient dans l’obligation de maintenir la pureté dans leur camp. La Loi disait: “Ton camp devra se révéler saint, afin qu’il [Jéhovah] ne voie chez toi rien de choquant, sans quoi il se détournerait assurément de t’accompagner.” (Deut. 23:14). Si jamais un Israélite se souillait d’une manière ou d’une autre, il devait ‘laver ses vêtements et était impur jusqu’au soir’. (Lév. 11:40.) Ainsi, même se laver ne suffisait pas. L’individu devait attendre le jour suivant, que les Hébreux faisaient commencer au coucher du soleil, pour pouvoir se tenir à nouveau devant Jéhovah. Il faut dire qu’à l’époque où des millions d’Israélites erraient dans le désert, ce n’était pas une mince affaire que de maintenir la pureté au niveau requis par Dieu.

      3. Quelle était la responsabilité des prêtres aaroniques en matière de pureté?

      3 Pour offrir un sacrifice agréable à Dieu, un Israélite devait s’être purifié selon les rites (Lév. 15:31). Il appartenait aux prêtres de préserver le degré de pureté que Dieu exigeait, en se gardant purs eux-​mêmes et en aidant leurs frères israélites à se maintenir dans une condition qui permettait à Dieu d’agréer leurs offrandes. — Mal. 2:7.

      4. Comment Jéhovah considérait-​il les sacrifices de ceux qui ne se conformaient pas à ses exigences?

      4 Lorsque les Israélites négligeaient de se conformer aux exigences divines en matière de conduite, non seulement leurs sacrifices n’avaient plus aucun sens, mais ils devenaient littéralement détestables pour Jéhovah Dieu. Nous lisons dans les Écritures: “Le sacrifice des méchants est quelque chose de détestable pour Jéhovah, mais la prière des hommes droits est un plaisir pour lui.” (Prov. 15:8). “Celui qui égorge le taureau est comme celui qui abat un homme. Celui qui sacrifie le mouton est comme celui qui brise la nuque d’un chien. Celui qui offre un don — du sang de porc! Celui qui présente un mémorial d’oliban est comme celui qui bénit avec des paroles magiques. Ce sont eux également qui ont choisi leurs propres voies, et leur âme a pris plaisir à leurs choses immondes.” — És. 66:3.

      5. Pourquoi devrions-​nous aujourd’hui examiner la façon dont Dieu nous considère?

      5 Les justes principes contenus dans la Loi que Dieu donna à Israël n’ont pas changé. Ils sont valables à toutes les époques, dans tous les cas et en toutes circonstances. C’est pourquoi chaque témoin chrétien de Jéhovah devrait avoir aujourd’hui le désir d’examiner avec sérieux la façon dont Dieu le considère. Peut-être pourrait-​il se poser les questions suivantes: ‘Est-​ce que je m’efforce de rester pur sur les plans mental, moral, physique et spirituel? Est-​ce que je contribue, pour ma part, à la pureté de la congrégation, afin que celle-ci offre un contraste frappant avec notre génération méchante et impure? La manière dont j’entretiens ma maison et dont j’emploie mes autres biens, ainsi que mon propre corps, montre-​t-​elle que je suis étroitement attaché aux principes de Jéhovah? Cela se vérifie-​t-​il dans ma façon de vivre en général?’ Si nous répondons oui à ces questions, c’est que nous nous efforçons de suivre les paroles divinement inspirées qui nous exhortent à nous purifier de “toute souillure de la chair et de l’esprit”. — II Cor. 7:1.

      D’AUTRES DISPOSITIONS DE LA LOI NOUS INDIQUENT QUEL GENRE DE SACRIFICES DIEU AGRÉE

      6. Que disait la Loi concernant l’huile d’onction?

      6 L’importance de respecter le critère de sainteté établi par Dieu ressort également des prescriptions qui, dans la Loi mosaïque, touchaient l’huile d’onction. Lorsque Jéhovah donna à Moïse la formule qui permettrait de fabriquer l’huile d’onction, il y adjoignit des règles strictes concernant l’usage de ce produit. Il dit: “Ceci doit rester une huile d’onction sainte pour moi pendant vos générations. On ne devra pas frotter avec elle la chair des humains et vous ne devrez pas en faire de semblable, de même composition. C’est quelque chose de saint. Elle devra rester quelque chose de saint pour vous. Quiconque fait un onguent comme celui-là et en met sur un étranger devra être retranché de son peuple.” (Ex. 30:31-33). Un manque de respect pour l’usage sacré de l’huile d’onction constituait un péché capital.

      7. Quels enseignements vitaux pouvons-​nous tirer des commandements divins qui touchaient l’huile d’onction?

      7 Cet exemple est riche d’enseignements vitaux. Dans la Bible, en effet, l’huile symbolise l’esprit saint de Jéhovah (voir Zacharie 4:2-6). Ainsi, le grand Roi-Prêtre Jésus Christ fut oint, non pas d’huile, mais d’esprit saint (Mat. 3:16, 17; Luc 4:18; Héb. 1:8, 9). Nous voulons donc cultiver une très haute opinion de l’esprit saint et faire tout notre possible pour suivre sa direction, ce qui signifie notamment garder une conscience pure, afin de ne pas ‘peiner l’esprit’ en en faisant peu de cas (Éph. 4:30). De plus, comme c’est grâce à son esprit que Jéhovah Dieu édifie la congrégation chrétienne, nous devons nous garder d’attribuer à des hommes le mérite de l’œuvre qui s’effectue présentement (I Cor. 3:5, 6). Notre bonne attitude à l’égard de l’esprit se verra également par notre foi solide dans les prophéties dont il a permis l’inspiration (II Pierre 1:21). Nos paroles et nos actions montrent-​elles que nous attendons “de nouveaux cieux et une nouvelle terre” et que nous désirons faire partager cette espérance au plus grand nombre de personnes possible? — II Pierre 3:13, 14.

      8. Que stipulait la Loi au sujet de l’encens?

      8 Comme pour l’huile d’onction, la Loi que Dieu donna aux Israélites réglementait la fabrication et l’usage de l’encens. Après en avoir expliqué la préparation et cité les ingrédients, la Bible dit: “Ce devra être pour vous une chose très sainte. Et l’encens que tu feras de cette composition, vous ne devrez pas le faire pour vous-​mêmes. Cela devra rester pour toi quelque chose de saint pour Jéhovah. Quiconque en fait de semblable pour en humer l’odeur devra être retranché de son peuple.” (Ex. 30:34-38). Il était donc formellement interdit d’utiliser l’encens à des fins profanes. Quelle leçon pouvons-​nous en tirer?

      9. a) Que nous apprennent Psaume 141:2 et Révélation 5:8 sur la signification de l’encens? b) Comment pouvons-​nous montrer que nous apprécions le privilège de la prière?

      9 L’encens représentait les prières agréées offertes par les fidèles serviteurs de Dieu. Nous trouvons ce symbolisme en Psaume 141:2, qui dit: “Que ma prière soit préparée comme un encens devant toi, l’élévation de mes paumes comme l’offrande céréalière du soir!” Nous lisons également dans le livre de la Révélation (5:8) que “l’encens représente les prières des saints”. Comme il importe dès lors que nous fassions grand cas du privilège de la prière en nous adressant régulièrement à Dieu et en conformant nos requêtes à sa volonté (I Jean 3:21, 22; 5:14, 15)! Des prières intéressées ou inspirées par de mauvais mobiles équivaudraient à la profanation de l’encens et ne recevraient pas une attention favorable de la part de notre Père céleste. — Jacq. 4:3.

      10. Selon les Écritures, qui peut représenter la congrégation dans la prière?

      10 Puisque la prière joue un si grand rôle dans le vrai culte, ceux qui prient au nom de la congrégation devraient être des exemples. Sous l’inspiration divine, l’apôtre Paul adressa le conseil suivant à Timothée: “Je veux donc qu’en tout lieu les hommes continuent à prier, en levant des mains fidèles, sans courroux ni discussions.” (I Tim. 2:8). De tels hommes, purs de tout acte d’infidélité envers Dieu et leurs semblables et exempts de toute animosité, sont dignes de représenter la congrégation dans la prière. En raison du caractère sérieux de la prière, nous devrions aussi nous efforcer d’empêcher notre esprit de vagabonder pendant qu’un autre chrétien prie Jéhovah Dieu pour nous.

      11, 12. a) Qu’est-​ce qu’un vœu? b) D’après la Loi, était-​il grave de ne pas accomplir un vœu?

      11 Sous la Loi, la question des sacrifices était en rapport étroit avec celle des vœux, témoin cet ordre qu’avaient reçu les Israélites: “Vous devrez faire une offrande faite par le feu à Jéhovah, holocauste ou sacrifice pour accomplir un vœu spécial.” (Nomb. 15:3). De nombreux vœux avaient pour but d’implorer la faveur ou l’aide de Dieu. Si le Très-Haut accédait à la requête en question, alors celui qui avait fait le vœu s’imposait un certain devoir spécial, ou bien se privait d’une activité à laquelle il avait normalement le droit de se livrer.

      12 Le vœu avait le même poids qu’un serment, et c’était chose grave que de ne pas l’accomplir. Nous en avons pour preuve cet extrait de la Loi: “Si tu fais un vœu à Jéhovah, ton Dieu, tu ne devras pas tarder à l’acquitter, car Jéhovah, ton Dieu, te le réclamera sans faute, et cela deviendrait vraiment un péché chez toi. Mais si tu t’abstiens de faire un vœu, cela ne deviendra pas un péché chez toi.” — Deut. 23:21, 22.

      13. Compte tenu de la loi divine sur les vœux, qu’est-​ce que les gens devraient pouvoir dire de notre parole?

      13 Le principe que nous pouvons dégager de cette ancienne prescription est le suivant: Notre Père céleste s’attend à ce que nous nous montrions droits et honnêtes dans tous les domaines de la vie. Notre désir devrait rejoindre celui du psalmiste David, qui écrivit: “Que les paroles de ma bouche et la méditation de mon cœur deviennent agréables devant toi, ô Jéhovah, mon Rocher et mon Rédempteur!” (Ps. 19:14). Si tel est vraiment notre souhait, nous suivrons ce conseil du disciple Jacques: “Que votre mot Oui signifie bien Oui et votre Non, Non, afin que vous ne tombiez pas sous le jugement.” (Jacq. 5:12). Notre parole devrait être aussi sûre qu’un document signé. Les gens qui nous entourent devraient être convaincus que nous sommes dignes de confiance. Ainsi, étant donné que Jéhovah attend de ses serviteurs qu’ils ‘parlent avec vérité, chacun avec son prochain’, celui qui pèche sous le rapport de la véracité ou de l’honnêteté ne peut guère espérer que le Très-Haut accueillera favorablement ses dons.

      14, 15. a) Que disait la Loi concernant les fêtes? b) Peut-​on établir un parallèle entre ces fêtes et les assemblées chrétiennes d’aujourd’hui? Que nous apprend I Corinthiens 5:7, 8?

      14 Passons maintenant à un autre aspect de l’activité chrétienne qui gagne à être examiné à la lumière de la Loi. Jéhovah prescrivit à son peuple Israël d’observer trois fêtes annuelles. Tous les mâles étaient tenus d’y assister (Deut. 16:16). Mais pour beaucoup d’entre eux, cela représentait un long voyage plus les problèmes que posait chez eux leur absence. Aujourd’hui, nous avons nous aussi l’occasion d’assister à deux ou trois assemblées annuelles, et peut-être nous faut-​il pour cela consentir à certains sacrifices. Dans ce cas, sommes-​nous décidés à profiter de la compagnie de nos frères et d’une abondante nourriture spirituelle, et faisons-​nous l’effort voulu pour assister à ces assemblées?

      15 Mais, bien sûr, le tout n’est pas d’apprécier ces assemblées du peuple de Dieu. Pourquoi? Parce que nous ne nous bornons plus, comme les Israélites, à l’observance de dates et de fêtes spéciales (Col. 2:16, 17). À ce sujet, l’apôtre Paul écrivit: “Ôtez le vieux levain pour être une masse nouvelle, dans la mesure où vous êtes exempts de ferment. Car Christ notre Pâque a vraiment été sacrifié. Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, ni avec du levain de malice et de méchanceté, mais avec les gâteaux non fermentés de la sincérité et de la vérité.” (I Cor. 5:7, 8). Puisque Jésus Christ, l’Agneau pascal antitypique, s’offrit en sacrifice une fois pour toutes, c’est notre vie entière de chrétiens qui est maintenant comparable à la fête des gâteaux non fermentés. Sommes-​nous désireux d’ôter le péché, afin de préserver notre pureté personnelle et celle de la congrégation? Si nous voulons que notre service soit agréable à Dieu, il est absolument indispensable d’observer jour après jour ses justes exigences.

      JÉHOVAH S’INTÉRESSE VIVEMENT À NOUS

      16. a) Par l’intermédiaire de qui Jéhovah rappela-​t-​il sévèrement à l’ordre les Israélites au cinquième siècle avant notre ère? b) Comment la Palestine était-​elle administrée à cette époque-​là?

      16 Puisque ce n’est pas pour son profit personnel, mais plutôt en vue de notre bonheur éternel, que Jéhovah nous invite à lui apporter nos offrandes, nous ferions bien de prendre en considération les avertissements bienveillants grâce auxquels il nous indique ce qui rend nos dons acceptables. Au cinquième siècle avant notre ère, Jéhovah Dieu se servit de son prophète Malachie pour rappeler sévèrement ses exigences en la matière à ceux qui prétendaient l’adorer. C’était aux jours de la Puissance mondiale perse. Les anciens royaumes locaux étaient devenus des provinces de l’empire, chacune d’elles étant administrée par un gouverneur qui représentait le souverain perse. Pour que ces gouverneurs puissent maintenir la domination perse et collecter les impôts destinés au trésor impérial, la loi leur donnait droit de vie et de mort sur leurs sujets. L’autorité dont jouissait ainsi le gouverneur incitait la plupart de ses administrés à payer leurs impôts et parfois même à y ajouter des dons. Pour rien au monde ils n’auraient voulu lui déplaire et mettre de ce fait leur vie en danger.

      17. Au temps de Malachie, comment le peuple et les prêtres rendaient-​ils leurs sacrifices inacceptables?

      17 Avec ce contexte présent à l’esprit, nous pourrons mieux apprécier toute la justesse des paroles que Jéhovah prononça par la bouche de Malachie. Le Très-Haut reprit les Israélites et leur montra de quel grand péché le peuple et les prêtres se rendaient coupables, le premier en offrant en sacrifice des animaux aveugles, boiteux et malades, et les seconds en acceptant des offrandes ainsi tarées. Puis il leur lança ce défi: “Fais-​le approcher [ton don] de ton gouverneur, s’il te plaît. Se complaira-​t-​il en toi ou t’accueillera-​t-​il avec faveur?” (Mal. 1:7, 8). Les Israélites imaginaient sans peine les conséquences fâcheuses d’un tel comportement envers un gouverneur humain. Comment donc pouvaient-​ils espérer trouver faveur auprès du grand Roi, Jéhovah? C’était hors de question. Ils avaient tout intérêt à suivre cette exhortation de Malachie: “Maintenant, s’il vous plaît, adoucissez la face de Dieu, pour qu’il nous témoigne de la faveur.” (Mal. 1:9). Ce n’est qu’en vivant en harmonie avec les exigences de Jéhovah qu’ils pourraient retrouver l’approbation divine.

      18. Comment un chrétien pourrait-​il commettre le même péché que les Israélites contemporains de Malachie?

      18 Nous devrions aujourd’hui nous assurer que nous tirons profit des exemples instructifs consignés dans les Saintes Écritures (Rom. 15:4). Nous ne pouvons pas nous permettre de faire les généreux, comme Ananias et Sapphira, tout en recherchant en fait nos propres intérêts (Actes 5:1-11). Il ne conviendrait pas que nous permettions à la poursuite des plaisirs d’accaparer nos forces, notre argent et nos capacités au point qu’il ne nous reste pratiquement plus rien pour aider les autres sur le plan matériel ou spirituel. Ce serait dire à Jéhovah: ‘Tiens, voilà ce qui reste.’ Quel outrage, n’est-​ce pas? Pourrions-​nous réellement nous attendre à ce qu’il voie ce service symbolique d’un œil favorable? Non: il est clair que notre mode de vie tout entier, notre conduite de tous les jours, notre état d’esprit et nos mobiles sont en rapport étroit avec les offrandes que nous présentons à Jéhovah. Il nous faut rester purs sous tous les points de vue.

      19. Qu’est-​ce qui peut nous aider à déterminer si nous donnons bien le meilleur de nous-​mêmes?

      19 Dans notre cas comme dans celui des Israélites autrefois, “le don de la main de chacun devra être en proportion de la bénédiction de Jéhovah”. (Deut. 16:17.) Avec reconnaissance, faisons donc le compte de toutes les bénédictions que notre Père céleste nous a accordées, sans en oublier aucune. Alors, nous serons en mesure de déterminer personnellement si nous rendons à Jéhovah en proportion des dons qu’il nous a faits. Comme il est merveilleux de constater que Jéhovah, bien que connaissant nos capacités, ne dicte pas à chacun ce qu’il doit lui rendre exactement! Au contraire, il nous laisse exprimer la gratitude que nous avons dans notre cœur. Ne désirons-​nous donc pas lui donner ce qu’il mérite, c’est-à-dire le meilleur de nous-​mêmes? Lui offrir moins ne suffirait pas. Ce que nous avons de meilleur, donnons-​le à Celui qui nous a donné toutes choses.

      [Illustrations, page 25]

      L’HUILE (l’esprit de Jéhovah)

      L’ENCENS (les prières agréées)

      L’HOLOCAUSTE (un attachement exclusif)

      LES GÂTEAUX NON FERMENTÉS (une vie pure)

  • Un programme de construction qui glorifie Jéhovah
    La Tour de Garde 1979 | 15 août
    • Un programme de construction qui glorifie Jéhovah

      VERS la fin d’une vie consacrée au service fidèle de son Dieu, David pouvait s’exclamer: “À toi, ô Jéhovah, sont la grandeur, et la puissance, et la beauté, et la supériorité, et la dignité; car tout, dans les cieux et sur la terre, est à toi.” David était à même d’apprécier la façon dont ce Dieu d’amour pourvoit continuellement aux besoins tant spirituels que matériels de ses serviteurs terrestres. Reconnaissant la bonté de cœur avec laquelle Jéhovah avait pris soin de son peuple, c’est dans la joie et l’unité que tous les membres de la nation d’Israël avaient apporté leurs contributions destinées à la construction d’un temple glorieux pour le culte de Jéhovah. Oui, le peuple s’était livré “à l’allégresse, parce qu’ils faisaient des offrandes volontaires, car c’est d’un cœur complet qu’ils faisaient des offrandes volontaires à Jéhovah”. David exprima ensuite l’attitude de tout le peuple en ces termes: “Maintenant, ô notre Dieu, nous te rendons grâce et nous louons ton nom magnifique.” — I Chron. 29:9-13.

      Alors que notre vingtième siècle touche à sa fin, nous avons nous aussi de nombreuses raisons de remercier Jéhovah. Nous sommes heureux de présenter nos dons à son autel spirituel. Et il nous a également bénis à cause des dons matériels que nous avons apportés pour favoriser son culte. Dans le monde entier, des milliers de Salles du Royaume propres et belles témoignent de la générosité avec laquelle les Témoins de Jéhovah ont soutenu financièrement de tels projets. En tant qu’association déclarée, la Société Watch Tower se réjouit également d’avoir pu, dans bien des cas, accorder son aide.

      Ces dernières années, les Témoins de Jéhovah ont encore mené à bien d’autres projets de construction. En particulier, ils ont construit de nouveaux bâtiments ou des annexes de bâtiments déjà en fonction, qui abritent les nombreuses filiales de la Société Watch Tower réparties dans le monde entier. Ces bâtiments diffèrent beaucoup des églises et des temples imposants que la chrétienté ou d’autres religions érigent souvent dans un souci d’“exhibition” et pour attirer les gens vers un culte formaliste. Bien au contraire, les Témoins de Jéhovah construisent

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