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  • Vous bornez-vous à assister aux réunions ?
    La Tour de Garde 1970 | 15 septembre
    • leur compagnon, il vous faut vous intéresser sincèrement à cette œuvre de prédication et adopter une ligne de conduite en parfaite harmonie avec les principes chrétiens.

      Fréquenter les témoins de Jéhovah implique également devenir un de leurs collaborateurs, c’est-à-dire participer avec eux à certaines activités. Vous considérez-​vous comme un compagnon de ceux qui assistent aux réunions ? Avez-​vous le sentiment d’être entièrement à leurs côtés ? Le Psalmiste écrivit : “Je suis le compagnon de ceux qui te craignent [Jéhovah] et de ceux qui gardent tes ordres.” (Ps. 119:63, NW). Si vous êtes déterminé à prendre fermement position pour Jéhovah et son Royaume, vous vous sentirez étroitement lié à ceux qui assistent aux réunions.

      Le psalmiste David exprima les sentiments qui animent ceux qui fréquentent réellement le peuple de Dieu lorsqu’il dit : “J’ai été dans la joie quand on m’a dit : ‘Allons à la maison de Jéhovah !’” (Ps. 122:1, AC). En effet, David se réjouissait de l’occasion qui s’offrait à lui de se joindre au peuple de Dieu. Veuillez noter le mot : “Allons.” Non seulement, David avait le souci d’être lui-​même présent, mais il se sentait proche de tous ceux qui manifestaient leur intérêt pour le culte de Jéhovah. Puissent ces sentiments vous animer quand vous participez aux réunions des témoins de Jéhovah.

  • Aidons les personnes âgées à connaître et à servir Jéhovah
    La Tour de Garde 1970 | 15 septembre
    • Aidons les personnes âgées à connaître et à servir Jéhovah

      IL RESSORT de certains faits de prédication relatés par les témoins de Jéhovah que la patience, la bonté et l’ingéniosité produisent d’excellents résultats. Le premier nous vient du Massachusetts :

      “J’avais abonné une Lithuanienne à La Tour de Garde. En retournant la voir, j’étais remplie d’appréhension. Cette femme avait près de soixante-dix ans ; elle ne pouvait pas lire beaucoup à cause de sa mauvaise vue. D’autre part, la langue dressait entre nous une certaine barrière, et cette personne était pétrie de fausses conceptions religieuses.

      “En dépit de mes appréhensions, je suis allée la voir, et nous avons parlé du vrai Dieu. J’ai pris des dispositions pour la revisiter. La semaine suivante, elle m’a accueillie avec un large sourire, en me disant : ‘Quelle joie de vous revoir ! Je suis si heureuse depuis votre première visite ! Pourquoi a-​t-​il fallu que j’attende d’avoir soixante-neuf ans pour connaître le nom de Dieu ? Pourquoi l’Église ne me l’a-​t-​elle pas appris ?’ Nous avons continué d’étudier, et bientôt cette femme en est venue à comprendre l’enseignement biblique relatif à la condition des morts et à se rendre compte que les doctrines de l’enfer et du purgatoire sont erronées. Chaque fois, elle me demandait pourquoi l’Église ne lui avait pas enseigné la vérité de la Bible.

      “Puis, un jour, elle a assisté à un discours public sur la prière ; je n’étais pas sûre qu’elle comprenne tout ce que disait l’orateur à cause de cette question de la langue. Toutefois, en la raccompagnant chez elle, j’ai été rassurée : elle avait bien compris, mais le fait que Jéhovah désapprouvait l’utilisation du chapelet la troublait profondément. Il faut dire que, fidèle à l’enseignement reçu de ses parents et de son Église, elle s’en servait depuis toujours. ‘Que dois-​je croire ?’ me demandait-​elle. Je lui certifiais que, pour plaire à Dieu, il lui fallait avant tout écouter sa Parole. L’étude suivante a été consacrée à la question de la prière ; néanmoins, cette femme était encore bouleversée.

      “La fois suivante, quand je suis retournée pour l’étude, cette femme est revenue sur la question de la prière. Elle m’a dit : ‘L’autre soir je suis entrée dans ma chambre et, me mettant à genoux, j’ai prié : “Jéhovah Dieu, je ne suis qu’une pauvre femme âgée et sans voix, je ne sais comment vous parler, mais peut-être voudrez-​vous m’écouter (...) ; et pour finir je l’ai remercié de m’avoir entendue.”’ Puis, les larmes aux yeux, elle a ajouté : ‘Croyez-​vous qu’il m’ait écoutée ?’ De toute évidence, Dieu l’avait exaucée, car, se rapprochant de Lui et de son peuple, elle a assisté à notre assemblée de circonscription.”

      À une assemblée de circonscription tenue à New York, un témoin nous a relaté ce qui suit : “Un jour j’ai vu une femme qui poussait un chariot chargé de provisions. Comme elle avançait avec peine, je me suis approchée d’elle et lui ai proposé mon aide. Elle a accepté avec joie, car elle demeurait à sept rues de là.

      “En chemin, j’ai saisi l’occasion pour lui parler de la Bible. Sensible à ma bonté, elle a accepté que je lui rende visite pour continuer la discussion.

      “Quand je suis allée la voir, nous avons commencé à étudier la Bible ensemble, cette femme a fait de rapides progrès. Aujourd’hui, elle assiste à la plupart des réunions à la Salle du Royaume et participe à l’étude de La Tour de Garde. Elle a quatre-vingt-sept ans, et c’est un véritable plaisir de l’aider à connaître Jéhovah.”

      Au Pérou, une missionnaire a aidé une femme de quatre-vingt-neuf ans, clouée au lit, à étudier la Bible. À un moment donné, cette personne en est venue à s’attacher à la vérité et à l’organisation de Dieu. Elle savait que la prédication est une des exigences divines auxquelles elle devait satisfaire pour être agréable à son Créateur. Toutefois, elle ne savait pas comment s’en acquitter : ses visiteurs étaient peu nombreux ; elle n’avait pas le téléphone et elle n’écrivait pas d’une main très ferme. L’horizon était sombre pour elle. La missionnaire l’a encouragée à prier Jéhovah et à lui demander sans cesse de lui frayer la voie, afin qu’elle puisse faire quelque chose et être ainsi un véritable témoin.

      La voie n’a pas tardé à lui être frayée. Sa famille, qui avait chargé une femme de ménage de s’occuper d’elle, a décidé sans raison apparente de prendre quelqu’un d’autre. Or, cette nouvelle personne, voyant la Bible et les manuels bibliques qui se trouvaient au chevet de la malade, a commencé à lui poser des questions.

      Comme cette femme exultait quand la missionnaire est venue pour l’étude ! Voilà que, dans sa propre chambre, elle rencontrait une personne au cœur humble ! Comment pourrait-​elle l’aider ? Pour qu’elle puisse s’occuper de la femme qui s’intéressait à la vérité, la missionnaire lui a tapé à la machine, en lettres majuscules, certaines questions qu’elle devait lire à sa femme de ménage. Au cours de l’étude, il était rare que la missionnaire eût besoin de faire d’autres observations. Cette femme âgée, qui venait d’apprendre à chanter les louanges de Jéhovah, était bientôt en mesure de s’occuper, seule, de cette personne intéressée à la vérité. Aujourd’hui, bien que clouée au lit, elle participe avec joie à l’œuvre consistant à rendre témoignage.

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1970 | 15 septembre
    • Questions de lecteurs

      ● À quoi servait la “fiente de pigeon” dont il est question dans II Rois 6:25 ?

      Ce texte biblique décrit les conditions qui existaient dans la ville de Samarie assiégée par les Syriens à l’époque d’Élisée. Nous y lisons : “Il y eut une grande famine dans Samarie ; et ils la serrèrent tellement qu’une tête d’âne valait quatre-vingts sicles d’argent, et le quart d’un kab de fiente de pigeon cinq sicles d’argent.” — II Rois 6:25.

      Par conséquent, un tiers de litre de fiente de pigeon valait environ 13 francs français. Mais la question de savoir comment l’acheteur utilisait cette fiente a été largement discutée.

      Certains ont cru qu’il pouvait s’agir d’une plante ; ils se basent sur le fait que les Arabes emploient l’expression “fiente de moineau” pour désigner une plante que mangent les personnes ayant des ressources modestes et que, d’autre part, dans la région de Samarie, il pousse une plante dont le nom latin signifie “lait d’oiseau”. Toutefois, rien ne prouve que l’une ou l’autre de ces plantes ait jamais eu pour nom “fiente de pigeon” ou que les habitants de Samarie assiégée en aient eu à leur disposition.

      Si l’on prend cette expression au sens littéral, à quoi servait la fiente de pigeon ? On a émis l’idée que cette matière a été longtemps utilisée comme engrais en Orient. Mais il n’est guère probable que des gens, sur le point de mourir de faim, se soient préoccupés de fertiliser des récoltes dont ils ne pourraient profiter avant des mois.

      Il est possible que la fiente de pigeon servait de nourriture. Un jour, pour effrayer les habitants de Jérusalem, Rabschaké les avertit qu’ils se verraient contraints pendant le siège assyrien de “manger leurs excréments et (...) boire leur urine”. (II Rois 18:27.) L’idée de manger de la fiente nous inspire de la répugnance, et pourtant il est rapporté que la

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