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    • Celui qui exerce la bonté de cœur, l’équité et la justice sur la terre.” — Jér. 9:24; voir Luc 10:20.

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    • ORIENT

      Voir EST.

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    • ORIENTAUX

      (héb. littéralement “fils de l’Orient”).

      Nom donné à la population des régions que les rédacteurs hébreux considéraient comme “l’est”. Celles-ci s’étendaient au delà des frontières d’Israël, non seulement à l’est, mais aussi très au nord et en direction du sud, jusqu’en Arabie (Gen. 25:6; Jér. 49:28). Ainsi, quand Jacob se rendit chez Laban, à Haran, il fit route “vers le pays des Orientaux”, au nord-est de Canaan. — Gen. 29:1.

      Job est appelé “le plus grand de tous les Orientaux”. (Job 1:3.) Les armées qui opprimaient Israël avant d’être écrasées par Gédéon comprenaient des Amalécites et des Madianites, ainsi que des “Orientaux” dont l’origine n’est pas spécifiée (Juges 6:3, 33; 7:12; 8:10). Les Orientaux étaient célèbres pour leur sagesse, mais Salomon les surpassait dans ce domaine (I Rois 4:30). Les prétendus “hommes sages” ou mages qui visitèrent le petit enfant Jésus étaient des “astrologues venus des régions de l’orient”. — Mat. 2:1, 2, 11.

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    • ORNAN

      Voir ARAUNAH.

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    • ORNEMENTS

      Selon les renseignements donnés dans la Bible et les découvertes archéologiques, les hommes se sont intéressés aux ornements dès les temps les plus reculés et ils ont su produire des articles d’une grande qualité artistique. Des artisans fabriquaient des objets très décoratifs dans des domaines comme le tissage, la broderie, la sculpture du bois et de l’ivoire et le travail sur métaux. Les vestiges des palais que l’on a découverts en Assyrie, en Babylonie, en Perse et dans la ville de Mari révèlent que les murs intérieurs étaient richement décorés d’immenses fresques, tandis que les bas-reliefs finement sculptés, qui dépeignaient des scènes de guerre et de chasse ou de la vie à la cour, ornaient les murs intérieurs et extérieurs. Les portes des palais étaient souvent gardées par d’énormes sculptures représentant des bêtes puissantes. Des bas-reliefs nous montrent des rois et leur entourage revêtus de vêtements finement brodés. Même les harnais des chevaux étaient richement ciselés et ornés de glands. (Voir les colliers que portaient les chameaux des Madianites; Juges 8:21, 26.)

      LES ORNEMENTS DES HÉBREUX ET DES CHRÉTIENS

      La Bible accorde beaucoup plus d’importance à la beauté spirituelle qu’aux ornements matériels. Ainsi, la discipline des parents est “une guirlande de charme” pour la tête de l’enfant, “un collier magnifique” pour sa gorge et “une couronne de beauté”; “les lèvres de la connaissance sont des vases précieux” qu’aucun vase d’or sorti des mains d’un artisan ne peut égaler; “comme des pommes d’or dans des ciselures d’argent, telle est une parole dite en son temps”, et “une boucle d’oreille en or et un ornement en or spécial, tel est un censeur sage pour l’oreille qui entend”. (Prov. 1:9; 4:9; 20:15; 25:11, 12.) Les Écritures comparent une femme belle mais dépourvue de bon sens à “un anneau nasal d’or au groin d’un porc”. (Prov. 11:22.) S’ils exaltent des qualités spirituelles, ces textes démontrent néanmoins que les rédacteurs de la Bible et leurs lecteurs connaissaient bien tous ces ornements.

      Les Écritures grecques chrétiennes invitent tout particulièrement à la modération dans ce domaine. Elles donnent le conseil suivant: “Que les femmes, dans une tenue bien arrangée, se parent de modestie et de bon sens, non pas de tresses savamment disposées, ni d’or, ni de perles, ni de vêtements très coûteux, mais qu’elles se parent comme il convient à des femmes qui font profession de révérer Dieu, c’est-à-dire grâce à des œuvres bonnes.” (I Tim. 2:9, 10). Pierre put faire appel à des exemples tirés des temps préchrétiens pour encourager les femmes à rechercher la beauté qu’est “la personne cachée du cœur, dans le vêtement incorruptible de l’esprit calme et doux, qui est d’une grande valeur aux yeux de Dieu”. Citant des femmes comme Sara, il montra que leur parure consistait à ‘se soumettre à leurs propres maris’. (I Pierre 3:1-6.) Ainsi, en suivant les conseils des Écritures nous pouvons adopter le bon point de vue sur les ornements et les bijoux et en faire un usage raisonnable.

      LES ORNEMENTS DANS LES PROPHÉTIES

      Parce qu’il avait accordé sa bénédiction à Jérusalem, la capitale de Juda, Jéhovah la compara à une femme revêtue de vêtements coûteux et richement parée d’ornements et de bijoux. Mais parce qu’elle manquait de spiritualité et qu’elle commettait la fornication spirituelle avec les nations, Jéhovah l’avertit qu’elle serait dépouillée de sa parure et laissée nue (Ézéch. 16:2, 10-39). Elle fut dépouillée tant du point de vue matériel que spirituel, car ses conquérants avides emportèrent toutes les richesses de la ville, y compris les anneaux de chevilles, les bandeaux, les ornements en forme de lunes, les pendants d’oreilles, les bracelets, les voiles, les coiffures, les chaînettes d’entraves, les ceintures de poitrine, les “maisons de l’âme” (peut-être des flacons de parfum), les coquillages bruissants portés en ornement, les bagues et les anneaux de nez dont se paraient “les filles de Sion”. (És. 3:16-26.) Ce devait être un temps de deuil, car en pareille circonstance on ôtait généralement ses ornements. — Ex. 33:4-6.

      Toutefois, lorsque Jéhovah rachèterait Sion de sa captivité à Babylone, il la reconstruirait, figurément parlant, avec des fondements en saphirs, des créneaux en rubis et des portes en pierres d’un rouge ardent, symboles de la paix et de la justice qu’il y apporterait (És. 54:7, 8, 11-14). Il est dit aussi qu’elle serait parée de vêtements et d’ornements, comme une épouse (És. 49:14-18; voir 61:10). Cette image rappelle la description que l’apôtre Jean nous fait de la Nouvelle Jérusalem. Les portes de celle-ci sont des perles et ses fondations des pierres précieuses, et elle s’est préparée “comme une épouse qui s’est parée pour son mari”. (Rév. 21:2, 9-21.) Là encore, il est évident que les ornements et les parures symbolisent des qualités spirituelles ainsi que les bénédictions qui découlent de l’approbation et de la faveur divines.

      En revanche, si Babylone la Grande, la femme symbolique qui commet la fornication avec les rois de la terre, se pare de vêtements et d’ornements royaux et vit dans un luxe scandaleux, elle va être dépouillée de ses beaux atours, dénudée et détruite. Sa beauté est trompeuse et elle ‘se glorifie’ elle-​même; aussi sa parure

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