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  • Pendant combien de temps commémorera-t-on la mort du Christ?
    La Tour de Garde 1979 | 15 mars
    • invités, mais seuls quelques-uns furent choisis (Mat. 22:1-14; Rom. 9:27-29; 11:5). La nouvelle alliance, par contre, produit ce que Pierre appela “une race choisie, une prêtrise royale, une nation sainte, un peuple destiné à être une possession spéciale”. — I Pierre 2:9.

      Jésus Christ pouvait effectivement faire entrer un tel peuple dans son alliance pour un royaume (Luc 22:28-30; Rév. 20:4-6). La “Jérusalem céleste” a dès lors de quoi se réjouir davantage que la “Jérusalem” terrestre qui était sous l’alliance de la Loi. Pourquoi? Parce que la “femme” de Dieu, la “mère” céleste qui donne naissance aux enfants spirituels de son “époux”, produit tous les 144 000 cohéritiers du Christ et pas seulement un reste d’éventuels héritiers du Royaume. — Gal. 4:21-31; És. 54:1.

      Ce sont ces fils spirituels de Dieu, les Israélites spirituels inclus dans la nouvelle alliance, qui sont tenus de prendre part au Repas du soir du Seigneur en souvenir de sa mort. L’apôtre Paul les compare à ce qu’il nomme l’“Israël selon la chair”. L’autel matériel sur lequel on sacrifiait à Dieu était appelé “la table de Jéhovah”. Quand les Israélites mangeaient une portion des sacrifices de communion qu’ils offraient à Dieu, ils s’associaient à lui, en tant qu’il était représenté par l’autel (Mal. 1:7, 8). Pareillement, la table sur laquelle sont déposés le pain sans levain et la coupe de vin lors du Repas du soir du Seigneur peut être appelée “la table de Jéhovah”. Les Israélites spirituels qui participent à ces emblèmes du Mémorial entrent eux aussi en communion avec Dieu. Ils sont à la fois en union avec lui et entre eux. — I Cor. 10:18-21; 11:25.

      La coupe de vin du Mémorial, symbole du “sang de l’alliance”, est aussi appelée “la coupe de Jéhovah”. Lorsque les Israélites spirituels la boivent, ils ont part avec Jéhovah au sang du Christ qui valide la nouvelle alliance. Ils montrent ainsi que c’est Jéhovah qu’ils adorent comme leur Dieu et non pas les démons. Jéhovah accepte le sang de Jésus comme celui qui fait entrer en vigueur la nouvelle alliance. Or, ceux qui boivent la coupe du Mémorial voient eux aussi dans le sang du Christ la vie qu’il a offerte en sacrifice pour eux, afin que, grâce à cette alliance, ils obtiennent de Dieu le pardon des péchés.

      Bien que la coupe du Mémorial symbolisât pour lui une mort sacrificielle et l’effusion de son sang, Jésus remercia Jéhovah pour cette coupe de vin. Non seulement cela, mais après que ses disciples l’eurent bue, il chanta avec eux le reste du Hallel (ou “Louange”), qui correspond aux Psaumes 115 à 118 (Mat. 26:27-30). Lorsqu’ils célèbrent le Mémorial, ceux qui ont été admis dans la nouvelle alliance prononcent aussi une bénédiction sur cette coupe. Puisque Jésus l’a bénie, elle est “la coupe de bénédiction” au sujet de laquelle nous lisons:

      “La coupe de bénédiction que nous bénissons n’est-​elle pas une participation au sang du Christ? Le pain que nous rompons n’est-​il pas une participation au corps du Christ? Parce qu’il y a un seul pain, nous sommes un seul corps, tout en étant nombreux, car nous avons tous part à ce seul pain.” — I Cor. 10:16, 17.

      LES OBSERVATEURS DU MÉMORIAL

      Il existe encore sur la terre un reste d’Israélites spirituels, membres du “corps” spirituel du Christ. Depuis quelques dizaines d’années, ils invitent d’autres personnes à assister à la célébration du Mémorial en tant que témoins ou observateurs. Ces personnes vouées qui s’assimilent à des “brebis” furent préfigurées par Jonadab, l’ami de Jéhu, roi d’Israël (II Rois 10:15-23; Jér. 35:1-16). Depuis 1935, Jésus Christ, l’excellent Berger, n’a cessé d’adjoindre au reste oint de son “corps” spirituel une “grande foule” de ces “Jonadabs” modernes, ou “autres brebis”. Toutefois, c’est dans La Tour de Garde du 1er mars 1938 qu’on lut pour la première fois cette invitation:

      “Que chaque groupe des oints se réunisse le 15 avril, après 6 heures du soir, pour célébrer la fête commémorative, et que leurs compagnons, les Jonadabs, soient également présents. On se servira de pain sans levain et de véritable vin rouge.” — Page 66, sous “Fête commémorative”.

      Ces “autres brebis”, qui ne sont pas du même “enclos” que le “petit troupeau”, assistèrent au Mémorial en tant qu’observateurs et non en tant que participants. — Jean 10:16; Luc 12:32. — Voir La Tour de Garde du 1er avril 1938, pages 107 et 108, paragraphes 50 à 52.

      Depuis lors, les “autres brebis”, qui ont augmenté en nombre jusqu’à former une “grande foule”, ont régulièrement assisté au Mémorial annuel de la mort du Christ. Elles ont tout lieu de le faire, car bien que ne buvant pas la coupe qui symbolise le sang du Christ, elles ont, selon Révélation 7:14, “lavé leurs longues robes et les ont blanchies dans le sang de l’Agneau”. Révélation 7:9, 10 nous dit aussi qu’elles attribuent leur salut à Dieu et à l’Agneau Jésus Christ.

      Qu’en cette année 1979, le 11 avril, après le coucher du soleil, toutes les “autres brebis” vouées et baptisées se joignent au reste du “petit troupeau” pour célébrer le Repas du soir du Seigneur! La “grande foule” des “autres brebis” ne pourra pas le faire encore bien longtemps, car le temps approche où le Seigneur Jésus glorifié accueillera le reste dans sa demeure céleste.

  • Jérémie s’est-il trompé?
    La Tour de Garde 1979 | 15 mars
    • Jérémie s’est-​il trompé?

      “Amman existe toujours — Jérémie s’est trompé”, lisait-​on en grosses lettres dans un article de l’Atlanta Journal and Constitution de Georgie (États-Unis). On y disait: “Jérémie avait prédit que l’ancienne Amman [aujourd’hui capitale de la Jordanie; deviendrait ‘un tell de solitude désolée’. Ézéchiel avait dit qu’elle serait une étable pour les chameaux qu’occuperaient les bédouins.” — Voir Jérémie 49:2; Ézéchiel 25:4, 5.

      Jérémie s’est-​il trompé? L’actuelle Amman, en Jordanie, n’est pas désolée, dit le journal d’Atlanta, donc, Jérémie s’est trompé. Mais ce qui a échappé à ces critiques empressés, c’est que Jérémie n’a dit nulle part que la désolation de l’antique Ammon serait DÉFINITIVE, contrairement à ce que déclarèrent les prophètes dans d’autres cas, et notamment dans le cas de Babylone qui est toujours désolée aujourd’hui. — És. 13:19, 20.

      En fait, la prophétie de Jérémie prévoyait l’occupation ultérieure de la ville d’Ammon, puisque nous lisons quelques versets plus loin: “‘Mais après cela je regrouperai les captifs des fils d’Ammon’, telle est la déclaration de Jéhovah.” — Jér. 49:6.

      Auparavant, toutefois, la prophétie sur sa désolation se réalisa bien en détail, comme le fait remarquer la revue The Biblical Archaeologist Reader en ces termes: “Des fouilles archéologiques ont montré que la région d’Ammon cessa en fait d’être habitée par une population sédentaire dès avant le milieu du sixième siècle avant notre ère. (...) les hordes de bédouins venues du désert (...) mirent fin à l’État semi-autonome des Ammonites.” — Vol. II, pp. 87, 88.

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