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  • Soyons fermement résolus sur la question de la vie et du sang
    La Tour de Garde 1978 | 15 septembre
    • Nomb. 35:15-33; Ex. 21:29). Dans notre vie de tous les jours, manifestons-​nous un profond respect pour la vie et le sang? Un tel respect, par exemple, nous incitera à être prudents au volant de notre voiture, à nous conformer aux consignes de sécurité et à maintenir notre véhicule en bon état de fonctionnement. De même, nous veillerons dans une mesure raisonnable à éliminer les risques d’accidents mortels que ce soit chez nous ou sur notre lieu de travail, et cela dans notre intérêt comme dans celui de nos semblables. Êtes-​vous de cet avis?

      21. Comment pourrait-​on aujourd’hui se rendre indirectement coupable d’une dette de sang? Aussi cela nous incitera-​t-​il à nous examiner de quelle manière?

      21 Il est des organisations et des institutions qui ont contracté une dette de sang aux yeux de Dieu; il convient donc d’éviter de partager leur culpabilité. Par exemple, Dieu accuse ouvertement Babylone la Grande d’avoir répandu le sang de ses véritables adorateurs (Rév. 17:6; 18:24; 19:2). Elle a également approuvé les systèmes politiques et militaires qui ont fait couler le sang à flot au cours des siècles. Quiconque désire vraiment être pur de toute dette de sang doit se tenir séparé des organisations que Dieu condamne et veiller à ne leur accorder aucun soutien. Est-​ce là notre attitude dans tous les domaines de la vie?

      22, 23. a) Si nous voulons être purs de toute dette de sang, de quelle responsabilité devons-​nous nous acquitter (Actes 18:6)? b) À quoi devrions-​nous donc être fermement résolus en rapport avec la vie et le sang?

      22 Montrons-​nous également que nous sommes purs de toute dette de sang par notre prédication zélée du message du Royaume (Marc 13:10)? Considérons à ce sujet le conseil que Dieu donna au prophète Ézéchiel avant la chute de Jérusalem en l’an 607 avant notre ère. Dieu, qui avait fait de son prophète un guetteur, lui dit que s’il ne donnait pas l’avertissement il aurait à rendre compte du sang versé, celui des Israélites qui auraient perdu la vie (Ézéch. 3:17-21; 33:2-16). Sans compter que nous éprouvons une vive satisfaction à nous acquitter de notre responsabilité chrétienne qui consiste à répandre la vérité relative à la fin prochaine du présent système mauvais et à l’établissement du paradis sur toute la terre. Nous pouvons alors nous permettre de reprendre à notre compte les paroles suivantes que l’apôtre Paul prononça devant un groupe d’anciens de la congrégation chrétienne: “Je suis pur du sang de tous les hommes, car je ne me suis pas retenu de vous annoncer tout le conseil de Dieu.” (Actes 20:26, 27). Quel privilège que le nôtre! Tout en évitant de contracter une dette de sang, nous aidons nos semblables à obtenir la vie éternelle en exerçant la foi dans le sang de Christ.

      23 Peut-être la plupart des gens ignorent-​ils la volonté de Dieu et considèrent-​ils le sang comme un liquide dont l’unique fonction est de maintenir provisoirement en vie; mais telle n’est pas l’opinion des vrais chrétiens. Nous fondant sur la Parole de Dieu, nous respectons l’attitude de Jéhovah à l’égard de la vie et du sang. Soyons donc résolus à défendre le point de vue divin et à y conformer notre vie!

  • Il faut plus d’“ouvriers” — pouvez-vous participer?
    La Tour de Garde 1978 | 15 septembre
    • Il faut plus d’“ouvriers” — pouvez-​vous participer?

      JÉSUS commença une œuvre qui a acquis une telle importance que l’avenir de l’humanité dépend de son résultat. Il se compara lui-​même à un “semeur d’excellente semence”. En contraste, il représenta le Diable comme un semeur de “mauvaise herbe” sans valeur. L’une et l’autre devaient continuer à croître ensemble jusqu’à la “moisson”, “la conclusion du système de choses”; alors, les “moissonneurs” angéliques recueilleraient joyeusement le produit de l’excellente semence et brûleraient la “mauvaise herbe” dénuée de prix. — Mat. 13:36-43.

      Jésus fonda l’œuvre qui consiste à prêcher et à faire des disciples. Pendant trois ans et demi, il y consacra tout son temps et toutes ses forces. Il instruisit ses disciples et les envoya en instruire d’autres. À partir d’un faible commencement, cette œuvre finit par s’étendre “jusque dans la partie la plus lointaine de la terre”. (Actes 1:8.) Elle devait atteindre son point culminant juste avant “la fin”, quand le message du Royaume aurait été “prêché par toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations”. (Mat. 24:14.) Tout prouve que nous sommes parvenus à la “conclusion du système de choses” et cela nous situe dans le temps antitypique de la “récolte” qui était couronnée chez les Juifs par la fête des huttes (Ex. 23:16). En conséquence, les hommes, bons ou mauvais, que Jésus compara à des “brebis” ou à des “chèvres”, sont triés pour la vie ou pour la mort. — Mat. 24:3-8; 25:31-46.

      En ce qui concerne l’avenir de l’humanité, aucune œuvre ne peut se comparer à celle-là, ni en urgence ni en importance. Elle ne se renouvellera jamais. Le temps qui reste pour l’achever est réduit. Les champs sont déjà “blancs pour la moisson”. (Jean 4:35.) Il y a beaucoup à faire et un retard inutile peut coûter cher. La moisson promet d’être abondante, mais “les ouvriers sont peu nombreux”, ce qui pousse à demander avec insistance “d’envoyer plus d’ouvriers” pour y travailler. — Mat. 9:37, 38.

      Le service de pionnier auxiliaire, la preuve en est faite, a été pour beaucoup l’excellente occasion d’accroître leur collaboration dans l’accomplissement de cette œuvre urgente. Pouvez-​vous y participer?

      FAIRE DES EFFORTS PROCURE LA JOIE

      Quiconque a l’expérience de la vie rurale sait que l’époque de la moisson est un temps de dur travail. La moisson doit commencer dès que la récolte est mûre. Tout retard peut entraîner une perte considérable. Chacun, femmes et enfants compris, doit coopérer. Les besognes de moindre importance sont laissées provisoirement de côté. Chaque journée de travail commence avant le lever du soleil et s’achève souvent tard le soir. Assurément, la moisson est un temps de travail. Mais c’est aussi un temps de grande allégresse quand la récolte est abondante. — És. 9:3.

      De même, la “récolte” actuelle demande un grand surcroît de travail. L’activité qui consiste à faire des disciples ne peut être reportée à une époque plus commode. Quand des vies sont en jeu, tout retard inutile peut avoir des conséquences d’une grande portée. Le désir de faire le meilleur usage du temps incite de nombreuses gens à réduire ou à laisser provisoirement de côté les occupations moins importantes. Quelqu’un qui travaille de tout son cœur constate souvent que sa journée commence tôt et qu’il y a beaucoup à faire avant d’être enfin prêt à se coucher. Même les femmes et les enfants sont appelés à collaborer de façon ou d’autre. Vraiment, la tâche assignée à la congrégation chrétienne pendant ce temps de la moisson suppose du travail, et combien! Mais ceux qui travaillent de toute leur âme sont “remplis de joie” quand ils recueillent une abondante moisson de nouveaux disciples. — Actes 13:48, 52.

      UNE RÉACTION RÉJOUISSANTE

      Beaucoup de Témoins de Jéhovah se soucient sincèrement du besoin d’“ouvriers” et ont cherché assidûment les moyens de faire davantage. Cela n’a pas été facile. Ils ont eu à lutter contre les sollicitations toujours accrues, dues aux pressions que subit la famille, à l’instabilité économique et aux influences pernicieuses de ce qui les entoure. Ceux qui ont augmenté leur participation à l’œuvre en dépit de ces obstacles doivent être chaudement félicités. En agissant ainsi, ils ont prouvé leur désir de rester “fermes (...), ayant toujours beaucoup de travail dans l’œuvre du Seigneur”. (I Cor. 15:58.) Il y a maintenant deux ans que l’on a pris certaines dispositions grâce auxquelles il est devenu possible d’être pionnier auxiliaire, avec un objectif réduit de soixante heures par mois seulement dans le service du Royaume. La réaction a été très réjouissante.

      Bien des Témoins qui en étaient auparavant incapables, constatent qu’ils peuvent maintenant accomplir ce service. Une maîtresse de maison écrit: “Je constate (...) qu’en faisant juste un petit effort de plus, (...) je peux accorder l’attention nécessaire à ma famille, à ma maison et à nos réunions chrétiennes.” Une congrégation dont plusieurs membres ont entrepris ce service rapporte ceci: “Tous, sauf deux, occupaient un emploi à plein temps. Certains travaillaient la nuit et étaient pionniers le jour; d’autres l’étaient après leur travail ou pendant les week-ends (...), et quelques-uns prirent des dispositions spéciales avec leurs employeurs pour avoir plus de temps libre, de manière à atteindre leurs objectifs.” Voici ce que rapporte un Témoin, chef de famille: “Notre fille aînée, qui en est au début de ses études secondaires, voulait apporter son concours. (...) Nous avons découvert qu’un enfant pouvait se libérer quatre jours par mois pour des activités religieuses; (...) elle a servi avec les pionniers auxiliaires.” Une congrégation exprime son enthousiasme par ces mots: “Soixante-dix des cent trente-trois membres de notre congrégation se sont engagés dans le service de pionnier auxiliaire!” Ainsi, il est évident que beaucoup ont été prompts à tirer profit de l’occasion offerte.

      UN EFFORT DILIGENT PROCURE DES AVANTAGES IMPORTANTS

      Ceux qui s’engagent comme pionniers ont été récompensés par des bénédictions qui vont bien au delà d’un accroissement de leur activité. Un Témoin décrit son service comme “la plus grande joie spirituelle qu’elle ait eue depuis des années”. Un autre écrit: “J’ai eu la possibilité de trouver deux personnes de plus qui désirent étudier la Bible.” Un groupe a travaillé ensemble et affirme: “Cela nous a aidés à faire connaissance avec nos nouveaux frères et sœurs.” Une maîtresse de maison exprime ainsi ses sentiments: “Je suis joyeuse et satisfaite de voir que mon service pour Jéhovah a augmenté et s’est amélioré. (...) Je me sens beaucoup plus près de Jéhovah.” Un autre Témoin avait des ennuis de santé et ne pouvait être pionnier ordinaire; mais, dit-​il, “quand l’objectif des pionniers auxiliaires fut ramené à soixante heures, j’ai constaté que je pouvais y persévérer mois après mois.” Un jeune Témoin fait remarquer ceci: “J’ai trouvé de nombreuses nouvelles visites et j’ai bénéficié d’une aide spirituelle. Plus on parle de la Bible, plus on s’en sert, et plus on l’apprécie.” Ces témoignages sincères confirment que beaucoup ont éprouvé une joie personnelle qui les a récompensés spirituellement.

      De plus, la congrégation en a retiré des bienfaits semblables. Au dire d’un ancien, “cela a été très encourageant pour la congrégation, et a fait progresser la spiritualité ainsi que la fréquentation des réunions”. Un autre ancien, qui a entrepris lui-​même ce service, est fort satisfait “Beaucoup se sont joints à nous, (...) tandis que d’autres, sans être pionniers, ont remarquablement amélioré la qualité de leur service.” “Dans la congrégation, ajoute un autre, le niveau spirituel est élevé.” Dans une localité, les anciens ont senti que “chacun avait rendu plus vives son habileté à utiliser la Bible et la joie qu’il y trouvait”. Autre remarque: “L’esprit a changé en mieux, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Salle du Royaume, ce que tous apprécient grandement.” À la suite de sa visite dans une congrégation, un surveillant itinérant rapporte que “neuf pionniers auxiliaires ont rendu cette semaine très agréable, et encourageante pour tous”. Beaucoup de témoignages semblables montrent que cette disposition a fortement contribué à la joie et à la spiritualité de la congrégation, outre qu’elle pousse à un service plus zélé et plus efficace.

      POUVEZ-​VOUS Y PRENDRE PART?

      Quelques-uns ont pu hésiter, parce qu’ils avaient l’impression de ne pas être à la hauteur de cette tâche; ou bien, ils n’étaient pas sûrs d’y prendre plaisir. D’autres ont pu penser, tout simplement, qu’ils ne trouveraient pas le temps nécessaire. Mais après avoir réfléchi sur ce que d’autres ont fait et sur les joies qu’ils ont éprouvées, même ceux-là peuvent se sentir poussés à revoir leur programme quotidien. Peut-être n’est-​ce pas si difficile, après tout. Quelques menus changements ici et là permettraient une participation occasionnelle au service.

      Une moyenne d’environ deux heures par jour dans le service du Royaume suffit pour atteindre l’objectif d’un pionnier auxiliaire. Leur emploi profane permet de temps à autre à quelques-uns de réduire leurs heures de travail ou de profiter de débauchages périodiques. À l’école, des élèves ont pu s’arranger pour terminer leurs cours de bonne heure. D’autres ont fait un bon usage des congés ou des vacances d’été. Beaucoup de maîtresses de maison ont constaté qu’il suffisait de réorganiser leur programme ou de demander la coopération de la famille pour pouvoir participer très facilement au service de pionnier, de temps à autre.

      Avant d’établir des plans précis, il est bon de parler à ceux qui ont été pionniers, pour tirer parti de leur expérience. Souvenez-​vous que les anciens désirent vous aider. Beaucoup d’entre eux ont une grande expérience et seraient heureux d’en faire profiter autrui. Parfois, les anciens se sont arrangés pour se libérer de leur travail un jour ou deux, simplement pour avoir l’occasion de travailler en personne avec un groupe de pionniers auxiliaires. Une association si salutaire peut apporter, de part et d’autre, des bénédictions.

      Dans tout ce que nous faisons, il convient toujours d’aller vers Jéhovah par la prière et de solliciter son aide. Nous avons besoin de forces physiques, et il les octroie à tous ceux qui s’offrent volontairement (És. 40:29-31). Nous pouvons lui demander la sagesse pour dire et faire ce qu’il faut et son esprit pour nous soutenir. — Jacq. 1:5; Luc 11:13.

      Nous avons le privilège de vivre dans le temps de la moisson spirituelle de ce vieux système et de prendre part à une œuvre qui ne doit jamais se renouveler après que le système aura pris fin. Les exigences de la moisson peuvent prélever une lourde part de notre temps et de notre énergie, mais une joie incomparable est notre récompense. Un amour sincère pour Dieu et pour notre prochain trouve sa plus belle expression dans la part que nous prenons à l’œuvre qui consiste à faire des disciples (Mat. 22:37-39; 28:19). Un effort pour augmenter et améliorer notre collaboration, grâce au service de pionnier auxiliaire, nous place assurément parmi ceux qui “travaillent dur et qui luttent” pour aider “toute sorte d’hommes” à être sauvés. — I Tim. 4:10.

  • Questions des lecteurs
    La Tour de Garde 1978 | 15 septembre
    • Questions des lecteurs

      ● Selon un médecin, le patient qui va se faire opérer peut demander qu’on prélève et qu’on stocke un peu de son sang, au cas où une transfusion s’avérerait nécessaire pendant l’intervention. Que doit penser le chrétien d’un tel emploi de son sang?

      Ce procédé peut effectivement paraître une solution aisée pour les membres du corps médical. Ils savent bien les graves dangers que présente la transfusion d’un sang étranger. Or, il semble y avoir moins de risques à réinjecter à un patient son propre sang. Ceci explique la tendance grandissante des docteurs à recourir à ce qu’on appelle “la transfusion autologue”. Elle consiste à prélever le sang du patient puis à le stocker en attendant de le lui transfuser si cela s’avère nécessaire. Sinon, ce sang sera administré à d’autres personnes.

      Comme l’expliquent les pages 22 à 25 de ce périodique, la transfusion sanguine est en contradiction avec la Biblea. Les Écritures nous apprennent que le sang est sacré aux yeux de Dieu et qu’il doit l’être également aux yeux de ses serviteurs. C’est pourquoi Jéhovah déclara aux Israélites qu’ils ne pouvaient faire du sang que deux choses. Il leur dit tout d’abord: “Moi, le l’ai mis pour vous sur l’autel [des sacrifices], pour faire propitiation pour vos âmes.” Si maintenant le sang d’un animal n’était pas offert sur l’autel, l’Israélite devait le répandre par terre. Il démontrait par cet acte qu’il reconnaissait que la vie venait de Dieu, et que le sang qui la représentait ne serait pas employé à des fins personnelles (Lév. 17:11-14). Mais cette façon de faire était-​elle propre aux serviteurs de Dieu soumis à la Loi mosaïque? Non. Comme on peut s’y attendre, elle avait déjà cours chez ses vrais adorateurs bien avant qu’ils n’eût donné la Loi.

      Longtemps auparavant, Dieu avait en effet averti Noé et sa famille que les hommes ne devraient pas manger de chair non saignée (Gen. 9:3, 4). Comment devraient-​ils faire? Quand ils tueraient un animal pour se nourrir, il leur faudrait le vider de son sang et répandre celui-ci sur le sol. Le sang, symbole de la vie, n’appartenait pas à Noé ni à sa famille, mais

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