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L’attitude du chrétien face à la violenceLa Tour de Garde 1968 | 15 août
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après les avoir soumis à une inspection réduite au minimum et s’être assurés de leur identité. Souvent les autorités faisaient cette remarque : “Nous avons confiance en vous.” Ou bien on les entendait dire : “Ne vous préoccupez pas au sujet des témoins de Jéhovah, nous les connaissons.” À l’un de ces postes de contrôle, plusieurs de ces chrétiens qui se rendaient à une assemblée de ministres entendirent la réflexion suivante : “Il y a déjà un certain nombre des vôtres qui sont passés ; allez, passez !” Les fonctionnaires chargés de l’application des lois, connaissaient bien la position de neutralité adoptée par les témoins de Jéhovah, et ils traitaient ces derniers avec respect, sachant qu’ils n’étaient pas responsables des désordres qui régnaient dans le pays.
Le chrétien garde sa neutralité, même dans les pays où les autorités persécutent les témoins. Il suit la ligne de conduite que Jéhovah Dieu lui a tracée dans sa Parole. En aucun cas, il n’accepte de faire des compromis. Il évite ainsi d’être tenu pour responsable de la violence qui règne en ce monde et de subir le jugement défavorable de Dieu.
Sous peu, Dieu mettra fin au présent système de choses rempli de violence. Il le remplacera par son ordre nouveau, où “la justice doit habiter”. (II Pierre 3:13.) Les chrétiens qui auront persévéré dans cette ligne de conduite sage face à la violence, recevront en récompense de merveilleux bienfaits : la vie, la santé et le bonheur. Ils jouiront à jamais de la vie dans un ordre nouveau d’où sera bannie la violence. “Les doux posséderont la terre, ils goûteront les délices d’une paix profonde.” — Ps. 37:11, AC.
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Un ecclésiastique fuit Babylone la GrandeLa Tour de Garde 1968 | 15 août
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Un ecclésiastique fuit Babylone la Grande
● Dans une ville du Mexique, un ministre du culte protestant, pasteur depuis dix ans dans cette localité, se procura un exemplaire du livre Du paradis perdu au paradis reconquis. Aux témoins de Jéhovah qui lui avaient remis l’ouvrage, il avoua qu’il ne savait plus quoi dire dans ses sermons au temple. Quand il vit cette publication, il s’étonna de la clarté avec laquelle elle enseignait la vérité. Une étude de la Bible fut commencée, et elle s’est poursuivie deux fois par semaine pendant deux mois. Le pasteur donna alors sa démission. Le troisième mois, il se mit à aller voir ses anciennes brebis pour leur parler de la “bonne nouvelle”. Des études sont actuellement conduites avec certaines d’entre elles.
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