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  • Grenade
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    • Le grenadier (Punica granatum) pousse dans tout l’Orient. C’est un petit arbre ou un arbuste qui mesure rarement plus de 4,5 mètres de haut. Ses branches nombreuses et largement déployées portent des feuilles vert sombre lancéolées. Les fleurs vont du rouge corail au violet. Le fruit mûr est de la grosseur d’une pomme et surmonté d’une petite couronne. Sous l’écorce dure, une multitude de capsules pulpeuses contiennent chacune une petite graine rose ou rouge. Leur jus donne une boisson rafraîchissante (Cant. 8:2), on fait un sirop appelé grenadine avec ses pépins, et ses fleurs servent à la préparation d’un astringent médicinal utilise pour combattre la dysenterie, les tempes voilées de la jeune fille sulamite sont comparées à “une tranche de grenade” et sa peau à “un paradis de grenades”. — Cant. 4:3, 13; 6:7.

      Le grenadier faisait l’objet d’une culture extensive aux temps bibliques, et des lieux comme Rimmon, En-Rimmon et Gath-Rimmon doivent certainement leur nom à l’abondance de cet arbre dans la région (Josué 15:32; 19:45; Néh. 11:29). Le grenadier était très prisé, c’est pourquoi il est souvent associé à d’autres arbres fruitiers importants comme la vigne et le figuier. — Cant. 7:12, 13; Joël 1:12; Aggée 2:19.

  • Grenier
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    • GRENIER

      Voir MAGASIN.

  • Grenier, II
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    • GRENIER, II

      {Article non traduit.}

  • Grenouille
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    • GRENOUILLE

      Amphibien anoure caractérisé par sa peau lisse et par ses membres postérieurs longs et musclés, parfaitement adaptés au saut. Les Écritures hébraïques ne parlent des grouilles qu’à propos de la seconde plaie que Jéhovah infligea à l’Égypte (Ex. 8:1-14; Ps. 78:45; 105:30), plaie qui, comme les autres, constituait un jugement contre les divinités adorées dans ce pays (Ex. 12:12). Effectivement, la grenouille était consacrée à Heqt, une déesse égyptienne que l’on représentait avec la tête de ce batracien.

      En Révélation 16:13, des “paroles inspirées impures” sont comparées à des grenouilles. Cette description se justifie parfaitement, sachant que, sous la Loi mosaïque, les grenouilles, animaux impurs, ne pouvaient servir de nourriture. — Lév. 11:12.

  • Grillon
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    • GRILLON

      (ḫargôl).

      Cet insecte sauteur apparenté à la sauterelle est différent en ce qu’il possède de gros palpes qui dépassent de l’extrémité de son abdomen. Dans les pays bibliques, on trouve tant le grillon des champs que le grillon domestique. En Lévitique 11:22, certaines traductions de la Bible rendent ḫargôl par “grillon”.

  • Grossesse
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    • GROSSESSE

      Quand Jéhovah déclara à Adam et Ève: “Soyez féconds, et devenez nombreux, et remplissez la terre”, il montra que la grossesse serait le privilège normal de la femme (Gen. 1:28). Avec l’introduction de l’imperfection dans la famille humaine, Dieu expliqua que les douleurs de la grossesse augmenteraient. — Gen. 3:16; voir DOULEURS DE L’ENFANTEMENT.

      Les Juifs considéraient les enfants, surtout les garçons, comme une bénédiction (Ps. 127:3; 128:3; Gen. 29:32-35; 30:5, 6) et la stérilité comme une honte et un opprobre (Luc 1:24, 25; Gen. 25:21; 30:1). Par conséquent, la grossesse était une chose désirable pour une femme mariée (I Sam. 1:2, 11, 20). Une fois que l’enfant était conçu, l’embryon ou le fœtus était considéré comme une âme. Toute action entraînant la mort de l’enfant durant la gestation était traitée en accord avec la règle “âme pour âme”. (Ex. 21:22, 23.) C’était un acte terrible de la part d’un ennemi que d’éventrer une femme enceinte. — Osée 13:16; Amos 1:13; II Rois 8:12; 15:16.

      À son terme, la grossesse s’accompagne de douleurs (Ps. 48:6; I Thess. 5:3), mais ce chagrin temporaire prend fin à la naissance de l’enfant, si bien que, normalement, la grossesse devrait connaître une conclusion heureuse et satisfaisante. — Jean 16:21, 22.

      “MALHEUR AUX FEMMES ENCEINTES”

      En réponse à la question des apôtres sur la conclusion du système de choses, Jésus parla de fuir la Judée, puis il ajouta: “Malheur aux femmes enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-​là!” (Mat. 24:19; Marc 13:17; Luc 21:23). L’accomplissement et la véracité de ces paroles devinrent apparents lors des événements qui précédèrent et accompagnèrent la destruction de Jérusalem en 70 de notre ère. Bien qu’une femme puisse généralement avoir une activité raisonnable et se déplacer pendant sa grossesse (Luc 1:39, 56; 2:5), une longue fuite à pied en région montagneuse lui serait pénible, surtout si le moment de l’accouchement était proche. Les femmes enceintes et celles qui allaitaient se trouvèrent dans une situation extrêmement pénible quand les armées romaines assiégèrent Jérusalem. La famine régnait. Or, durant la grossesse, il est important pour une femme de se nourrir convenablement. Si, par exemple, elle n’absorbe pas suffisamment de calcium, elle risque de perdre ses dents car l’enfant qu’elle développe lui prend du calcium pour former ses os. En outre, l’instinct protecteur de la mère augmenterait la souffrance qu’elle éprouverait à la vue d’enfants mourant de faim ou pour d’autres raisons, sachant qu’elle mettrait bientôt au monde un nouveau-né dans ces conditions. Josèphe déclara au sujet d’hommes affamés dans la Jérusalem assiégée: “On frappait les vieillards (...); on prenait à la gorge les femmes qui cachaient ce qu’elles avaient dans les mains,; et sans avoir compassion des enfants mêmes qui tétaient encore, on les jetait contre terre après les avoir arrachés de la mamelle de leurs mères.” — La guerre des Juifs, traduction d’Arnaud d’Andilly, liv. V, chap. XXVII, par. 1; comparez avec Luc 23:29.

      EMPLOI MÉTAPHORIQUE

      La grossesse, dont la naissance de l’enfant est le couronnement, est utilisée à plusieurs reprises dans un sens métaphorique. Israël perdit la faveur de Dieu parce que ses sujets infidèles ‘avaient conçu le tourment et enfanté ce qui était nuisible’. (És. 59:2-8; comparez avec Psaume 7:14.) Cela commença lorsqu’ils laissèrent des “pensées nuisibles” et de mauvais désirs imprégner leurs esprits et leurs cœurs, y incuber en quelque sorte, ce qui eut pour résultat inévitable la naissance d’“œuvres nuisibles”. — Voir Jacques 1:14, 15.

      Ailleurs, Ésaïe décrit Israël comme une femme qui crie dans les douleurs de l’enfantement et qui s’adresse à Dieu par ces mots: “Ainsi sommes-​nous devenus à cause de toi, ô Jéhovah! Nous avons conçu, nous avons eu des affres; nous avons, pour ainsi dire, enfanté du vent. Nous ne réalisons pas de salut véritable en ce qui concerne le pays, et point de tombent, étant mis au monde, des habitants pour le sol productif [il n’est pas né d’habitants au monde, Os].” (És. 26:17, 18). Cette déclaration se rapporte peut-être au fait que bien que Dieu ait béni Israël (comparez avec le verset 15 26:15) et qu’il lui ait offert la possibilité de devenir “un royaume de prêtres et une nation sainte” (Ex. 19:6), celui-ci n’avait pas encore vu se réaliser la promesse relative à la Postérité, promesse attendue depuis longtemps, par laquelle les bénédictions devaient abonder (Gen. 22:15-18). Les efforts personnels d’Israël en vue du salut n’avaient rien produit, les résultats étaient inexistants; en tant que nation, il ne pouvait pas se libérer “de l’esclavage de la corruption”, chose pour laquelle toute la création “continue à gémir ensemble et à souffrir ensemble”. (Rom. 8:19-22; comparez avec 10:3; 11:7.) Lors de la conquête babylonienne, le pays “a dépéri”, car il était contaminé du fait qu’il avait violé son alliance avec Dieu, c’est pourquoi “les habitants du pays ont décru en nombre”. — És. 24:4-6.

      Par contre, lorsqu’il ramena son peuple de l’exil, Jéhovah fit en sorte que Jérusalem soit comme une femme qui a été fécondée par son mari et qui a mis au monde de nombreux enfants. — És. 54:1-8.

      L’apôtre Paul cite cette prophétie d’Ésaïe chapitre 54 et l’applique à “la Jérusalem d’en haut [qui] est libre, et elle est notre mère”. (Gal. 4:26, 27; comparez avec Hébreux 12:22.) Ce passage est sans doute la clé qui permet de comprendre la vision rapportée en Révélation 12:1-5, dans laquelle une “femme” céleste, enceinte, donne naissance à “un fils, un mâle, qui doit faire paître toutes les nations avec une baguette de fer”. L’action de faire paître les nations avec une baguette de fer est directement liée au Royaume messianique de Dieu et, par conséquent, la vision doit concerner la naissance de ce Royaume. En effet, aussitôt après l’échec de l’attaque de Satan contre l’“enfant” nouveau-né, le cri suivant est lancé: “Maintenant sont arrivés le salut et la puissance et le royaume de notre Dieu et l’autorité de son Christ.” (Rév. 12:10). L’angoisse de la “femme” enceinte céleste avant la naissance rappelle l’expression de Paul en Galates 4:19. Dans le cas de la “femme”, les “douleurs de l’enfantement” semblent représenter l’intérêt vibrant et le désir fervent de voir l’affaire parvenir à son complet développement (dans le cas de Paul, de voir les croyants galates croître pleinement en tant que chrétiens).en tant que chrétiens).

  • Grotte
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    • GROTTE

      Voir CAVERNE.

  • Gudgodah
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    • GUDGODAH

      {Article non traduit.}

  • Guéba
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    • GUÉBA

      (Colline).

      Ville de la tribu de Benjamin qui fut donnée aux Kohathites; l’une des treize villes des prêtres (Josué 18:21, 24; 21:17, 19; I Chron. 6:54, 60). Guéba devait se trouver à la frontière septentrionale du royaume de Juda, d’où l’expression “depuis Guéba jusqu’à Béer-Schéba”. (II Rois 23:8.) On identifie généralement l’ancienne cité au village moderne de Djebaʽ, qui se situe à une dizaine de kilomètres au nord-nord-est de Jérusalem.

      Guéba est l’une des villes mentionnées dans le récit de la campagne que le roi Saül mena contre les Philistins. Agissant selon toute vraisemblance sur les ordres de son père Saül, Jonathan abattit la “garnison” (le “préfet”, Dh) des Philistins à Guéba (“Guibéah”, Vg) (I Sam. 13:3, 4; voir GUIBÉAH). Par représailles, les Philistins rassemblèrent une armée puissante à Micmasch. Alors beaucoup d’Israélites prirent peur et allèrent se cacher; certains fuirent même de l’autre côté du Jourdain (I Sam. 13:5-7). Plus tard, Jonathan et son porteur d’armes se frayèrent un chemin depuis Guéba jusqu’à un avant-poste que les Philistins avaient dû établir au bord du “ravin de Micmasch”. À l’aide de ses mains et de ses pieds, Jonathan gravit le versant escarpé pour atteindre cet avant-poste et, secondé par son porteur d’armes, il abattit une vingtaine de Philistins. — I Sam. 14:6-14; comparez avec I Sam. 13:16, 23.

      Des années plus tard, Asa fortifia Guéba avec des pierres et du bois de Ramah (I Rois 15:22; II Chron. 16:6). Alors qu’elle faisait marche sur Jérusalem, l’armée assyrienne conduite par Sennachérib passa vraisemblablement par Guéba (És. 10:24, 28-32). Parmi les Juifs qui revinrent de leur exil à Babylone figuraient des ‘fils de Guéba’; après leur retour, la ville fut habitée de nouveau (Esdras 2:1, 26; Néh. 7:6, 30; 11:31; 12:29). Faisant allusion à l’élévation que devrait connaître la Jérusalem reconstruite, le prophète Zacharie déclara que la région de collines et de montagnes située entre Guéba et Rimmon deviendrait aussi basse que l’Arabah. — Zach. 14:10.

  • Guébal
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    • GUÉBAL

      {Article non traduit.}

  • Guéber
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    • GUÉBER

      {Article non traduit.}

  • Guébim
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    • GUÉBIM

      {Article non traduit.}

  • Guédaliah
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    • GUÉDALIAH

      (Jéhovah est grand).

      “Fils d’Ahicam, fils de Schaphan.” Après la destruction de Jérusalem en 607 avant notre ère, le roi Nébucadnezzar nomma Guédaliah gouverneur des Juifs qui étaient restés dans le pays de Juda. Guédaliah élut domicile à Mizpah, ville où le prophète Jérémie vint aussi habiter. Lorsque les chefs militaires judéens qui n’avaient pas été capturés apprirent que Guédaliah avait été établi gouverneur, ils vinrent vers lui, à Mizpah, avec leurs hommes. Guédaliah leur jura que tout irait bien pour eux tant qu’ils continueraient à servir le roi de Babylone et il les invita à récolter du vin, de l’huile et des fruits d’été. Même les Juifs qui avaient été dispersés en Moab, chez les fils d’Ammon, en Édom et dans d’autres pays continuèrent à venir vers Guédaliah.

      Tout cela n’était évidemment pas pour plaire à Baalis, roi des Ammonites, qui réussit à obtenir le concours d’Ismaël dans un complot visant à assassiner le gouverneur Guédaliah. Lorsqu’ils l’apprirent, Johanan et les autres chef des forces militaires en informèrent le gouverneur, mais celui-ci refusa de les croire. Au cours d’un entretien privé qu’il eut avec Guédaliah, Johanan offrit même de faire avorter la conspiration en tuant Ismaël. Mais Guédaliah ne voulut rien entendre, car il s’imaginait qu’on lui mentait au sujet d’Ismaël. Aussi ne prit-​il aucune précaution lorsque ce dernier vint à Mizpah avec dix autres hommes. Alors qu’il mangeait avec eux, Ismaël et les hommes qui l’accompagnaient se

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