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    • chapitre 6 montre que lorsque Christ ‘sort’ en sa qualité de roi vainqueur il ne fait pas aussitôt disparaître la méchanceté de la terre, mais que sa chevauchée s’accompagne de guerres qui ‘ôtent la paix de la terre’, de famines et de plaies meurtrières (Rév. 6:3-8). Cela correspond aux événements annoncés par Jésus en Matthieu 24, en Marc 13 et en Luc 21. Il apparaît donc que la prophétie de Jésus consignée dans les Évangiles, qui se rapporte avant tout à la destruction de Jérusalem et du temple (en 70) s’applique aussi au temps de la présence du Christ. De ce fait, elle décrit un “signe” qui permet de déterminer le moment où cette présence commence et où la “délivrance approche”. — Mat. 24:3, 32, 33; Luc 21:28-31.

      Les autres textes qui parlent de la présence du Christ ont généralement pour but d’encourager les chrétiens à la fidélité et à l’endurance jusqu’à cette période et durant celle-ci. — I Thess. 2:19; 3:12, 13; 5:23; Jacq. 5:7, 8; I Jean 2:28.

      LA PRÉSENCE DU JOUR DE JÉHOVAH

      Dans sa seconde lettre, Pierre exhorte ses frères à ‘attendre et à ne jamais oublier la présence du jour de Jéhovah’, et à le démontrer par leur mode de vie (II Pierre 3:11, 12). Cela s’oppose à l’attitude des moqueurs qui, dans les “derniers jours”, diraient: “Où est sa présence promise? Car depuis le jour où nos ancêtres se sont endormis dans la mort, toutes choses demeurent exactement comme dès le commencement de la création.” — II Pierre 3:2-4.

      Puisque Jéhovah Dieu agit par l’entremise de Jésus Christ, le Roi qu’il a établi (Jean 3:35; voir I Corinthiens 15:23, 24), il existe forcément une relation entre la “présence” de Jéhovah et la “présence” de Jésus Christ. Logiquement, ceux qui se moquent de l’une se moqueront aussi de l’autre. Une fois encore, leur attitude est comparée à celle des gens qui vivaient avant le déluge. — II Pierre 3:5-7; voir Matthieu 24:37-39.

      LA PRÉSENCE DE CELUI QUI MÉPRISE LA LOI

      En II Thessaloniciens 2:9-12 l’apôtre décrit la “présence de celui qui méprise la loi” comme étant “selon l’opération de Satan, avec toutes les œuvres de puissance, et avec des signes et des présages mensongers, et avec toutes les tromperies de l’injustice”. Cela confirme que le mot parousia signifie davantage qu’une venue ou une arrivée soudaine, car il faudrait nécessairement du temps pour que les œuvres, les signes et les présages mensongers en question se déploient.

  • Présent
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    • PRÉSENT

      Prix payé pour gagner la faveur de quelqu’un et l’amener à agir, souvent au mépris de l’équité, dans l’intérêt du donateur. Les Écritures indiquent que celui qui accepte ce genre de présents peut se rendre coupable d’injustice, voire d’effusion de sang. — Deut. 16:19; 27:25; Ézéch. 22:12.

      La loi que Dieu avait donnée à Israël interdisait formellement l’acceptation de présents. Jéhovah, le Juge suprême, donnait l’exemple en rendant toujours des décisions parfaitement impartiales et en n’acceptant jamais de présent (Ex. 23:8; II Chron. 19:7). Dès lors, quiconque veut être l’hôte de sa tente doit l’imiter sous ce rapport. — Ps. 15:1, 5; voir aussi Ésaïe 33:15, 16.

      Les expressions ‘un présent du sein’ et ‘un présent dans le sein’ se comprennent mieux quand on sait qu’en hébreu le mot “sein” désigne aussi le pli du vêtement qui se forme au-dessus de la ceinture. De ce fait, il semble que le présent était tenu caché dans ce pli, puis remis en secret à une autre personne qui, à son tour, le dissimulait de la même manière. — Prov. 17:23; 21:14. Voir aussi DONS, PRÉSENTS.

  • Présents
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    • PRÉSENTS

      {Article non traduit.}

  • Président
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    • PRÉSIDENT

      {Article non traduit.}

  • Présomption
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    • PRÉSOMPTION

      Attitude consistant à s’attribuer plus de prérogatives que le droit ou la bienséance n’en accorde, ou sans avoir été investi de l’autorité; conduite ou pensée d’une hardiesse insolente; le fait de prendre des libertés auxquelles on n’a pas droit; d’entreprendre quelque chose par bravade. Ce mot est apparenté à l’arrogance, à l’orgueil et à l’effronterie. Ses antonymes sont l’humilité et la modestie.

      L’ORGUEIL, LA COLÈRE, CAUSES DE PRÉSOMPTION

      Le mot hébreu zadhôn est dérivé du verbe zidh ou zoudh qui signifie “bouillir, faire bouillir”, d’où le sens “être gonflé d’orgueil, agir avec orgueil”. Quand on a l’esprit échauffé par la colère ou l’orgueil, on peut être amené à agir à la légère, à devenir hardi sans raison valable et à outrepasser ses droits. Le livre des Proverbes déclare: “Fanfaron présomptueux, prétentieux, tel est le nom de celui qui agit dans un déchaînement de présomption.” (Prov. 21:24). En Deutéronome 1:43, la forme verbale de ce mot est utilisée pour décrire l’action du peuple d’Israël qui avait désobéi au commandement de Jéhovah en se précipitant au combat sans son autorisation. Moïse déclara à ce propos: “Je vous ai donc parlé et vous n’avez pas écouté, mais vous avez commencé à vous comporter en rebelles envers l’ordre de Jéhovah et à vous échauffer fortement, et vous avez voulu monter dans la montagne.” Un autre mot hébreu, ʽaphal, signifie “enfler ou gonfler”. Ce terme est employé dans le récit du même incident tel qu’il est rapporté en Nombres 14:40-44: “Moïse dit: ‘(...) Ne montez pas, car Jéhovah n’est pas au milieu de vous (...).’ Ils eurent néanmoins la présomption de monter au sommet de la montagne.” Là, ils furent vaincus par les habitants de la région. Ils étaient ‘gonflés’ d’une confiance injustifiée.

      Que la colère puisse amener quelqu’un à se conduire présomptueusement d’une manière destructrice et à violer gravement la loi de Jéhovah, c’est ce que démontre également ce commandement que Dieu donna à Israël: “Si un homme s’échauffe [une forme de zidh] contre son prochain au point de le tuer par ruse, tu devras le prendre même d’auprès de mon autel, pour qu’il meure.” — Ex. 21:14.

      IL FAUT S’EN GARDER SOIGNEUSEMENT

      Le roi David à qui Dieu accorda de nombreuses faveurs et un grand pouvoir était conscient qu’il pouvait néanmoins se rendre coupable de présomption. Il pria en ces termes: “Les erreurs — qui peut les discerner? De péchés cachés déclare-​moi innocent. Retiens aussi ton serviteur loin des actes de présomption; qu’ils ne me dominent pas! Alors je serai un homme complet, et je serai resté innocent de beaucoup de transgressions.” (Ps. 19:12, 13). Le danger est donc grand, et il faut s’en garder soigneusement. Agir présomptueusement est un péché beaucoup plus grave que commettre une erreur. Que l’on occupe une position importante ou non, prendre des libertés est une chose détestable aux yeux de Dieu. Ozias était un roi puissant et il avait été béni par Dieu, mais il fut frappé de lèpre pour avoir présomptueusement voulu remplir les devoirs d’un prêtre (II Chron. 26:16-21). La présomption poussa le roi Saül à se rebeller contre Jéhovah. Ne voulant pas attendre l’arrivée de Samuel, il prit l’initiative d’offrir lui-​même l’holocauste (I Sam. 13:8-14). Il s’appuya également sur son propre jugement pour épargner le roi amalécite Agag et garder le meilleur des dépouilles, alors que Jéhovah avait ordonné de vouer les Amalécites à la destruction. En raison de sa conduite présomptueuse, Saül fut rejeté comme roi. — I Sam. 15:8, 9, 11, 18, 19.

      Uzzah, un Israélite qui n’appartenait pas à la lignée royale, est un exemple notable de présomption. On transportait l’arche de l’alliance à Jérusalem sur un chariot tiré par des bovins quand ces animaux faillirent la faire verser. Uzzah, qui n’était pas un Lévite de la famille des Kohathites et n’avait donc pas le droit de toucher à l’arche (Nomb. 4:15), avança la main et la saisit pour la retenir. À cause de cette action présomptueuse due à un manque de foi, Jéhovah le fit mourir. — II Sam. 6:6, 7.

      Si l’on n’est pas sûr de la conduite à tenir dans certaines circonstances, ou si l’on n’est pas certain d’avoir l’autorité voulue pour faire quelque chose, on devrait absolument consulter d’abord ceux qui ont de la connaissance et du discernement. Les Écritures conseillent ceci: “Par la présomption on ne fait que provoquer la lutte, mais la sagesse est chez ceux qui délibèrent.” (Prov. 13:10). La présomption donne des résultats désastreux, alors que la modestie peut sauver. Le sage déclare: “La présomption est-​elle venue? Alors viendra le déshonneur; mais la sagesse est avec les modestes.” — Prov. 11:2.

      MÉPRIS DE LA SOUVERAINETÉ DE DIEU

      Quand une personne agit présomptueusement envers Jéhovah, elle manque de respect pour la souveraineté et la divinité de celui-ci. Ceux qui affirment être ses serviteurs et le présentent sous un faux jour sont particulièrement répréhensibles. À propos des faux prophètes, Jéhovah déclara: “Le prophète qui a la présomption de dire en mon nom une parole que je ne lui ai pas commandé de dire (...), ce prophète devra mourir. (...) Quand le prophète parlera au nom de Jéhovah et que la parole n’aura pas lieu ou ne se réalisera pas, (...) le prophète l’a dite par présomption.” — Deut. 18:20-22.

      Le manque de respect pour Jéhovah se manifeste également par le manque de respect envers ses serviteurs qu’il a établis comme tels, attitude qui peut être causée par la présomption. En Israël, les affaires difficiles étaient portées ‘au lieu que choisissait Jéhovah’ (c’est-à-dire, à partir de l’époque de David, à Jérusalem). Quiconque méprisait le jugement rendu devait être mis à mort, car en se dressant contre les représentants de Dieu il bravait Dieu lui-​même. On pouvait lire dans la Loi: “Tu devras agir conformément à la loi qu’ils t’indiqueront et selon la décision judiciaire qu’ils te diront. (...) Et l’homme qui se comportera avec présomption en n’écoutant pas le prêtre qui se tient là pour servir Jéhovah, ton Dieu, ou le juge, cet homme devra mourir; et tu devras éliminer d’Israël ce qui est mauvais. Et tout le peuple entendra et aura peur, et ils n’agiront plus présomptueusement.” (Deut. 17:8-13; voir Nombres 15:30). L’apôtre Pierre parle de gens qui manquaient grandement de respect envers Dieu et ses serviteurs oints. Il les décrit en ces termes: “Audacieux [du grec tolmêtês, “présomptueux”, AC], obstinés, ils ne tremblent pas devant des glorieux, mais ils parlent en mal.” Ces hommes, déclare Pierre, “subiront (...) la destruction dans leur propre voie de destruction”. — II Pierre 2:10, 12.

      Compter présomptueusement sur ses liens familiaux peut représenter un piège. Ayant discerné la pensée des Juifs qui venaient à lui, Jean le Baptiseur leur donna cet avertissement: “N’ayez pas la présomption de dire en vous-​mêmes: ‘Nous avons Abraham pour père.’ Car je vous dis que Dieu peut de ces pierres susciter des enfants à Abraham.” (Mat. 3:9). Le mot grec employé ici est doxêté, qui provient de dokéô, lequel a pour sens premier “penser; se faire une opinion (vraie ou fausse)”.

      LA PRÉSOMPTION DISPARAÎTRA

      La Babylone antique était un modèle de présomption envers Dieu, de sorte qu’elle récolta l’inimitié éternelle de Dieu. Le prophète Jérémie lui dit: “‘Me voici contre toi, ô Présomption’, telle est la déclaration du Souverain Seigneur (...). ‘Et assurément elle trébuchera, Présomption, et elle tombera.’” (Jér. 50:29, 31, 32). Babylone la Grande, la Babylone symbolique, a prouvé qu’elle était, sur terre, l’ennemie de Dieu la plus implacable et la plus présomptueuse en enivrant les habitants de la planète “du vin de sa fornication” et en faisant couler “le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre”. Pour cette raison, elle subira la destruction éternelle (Rév. 17:2, 5; 18:7, 8, 20, 24). Cela est en harmonie avec la déclaration de Dieu qui a promis de mettre fin à toute présomption babylonienne, disant: “Je ferai bel et bien cesser l’orgueil des présomptueux, et j’abaisserai l’arrogance des tyrans.” — És. 13:11.

  • Pressoir
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    • PRESSOIR

      Comme l’olivaison a lieu après les vendanges, c’était souvent les mêmes pressoirs qui servaient pour extraire le vin et l’huile, bien qu’il existât également un type de pressoir vertical pour les olives.

      Les pressoirs courants étaient généralement constitués de deux bassins peu profonds creusés dans la pierre calcaire, le bassin supérieur étant relié au bassin inférieur par un petit conduit (Nomb. 18:27, 30; II Rois 6:27). Le raisin ou les olives étaient foulés aux pieds ou écrasés dans le bassin du haut (gath, Néh. 13:15), de sorte que le jus coulait par gravité dans la cuve de dessous (yèqèv, Juges 7:25; Prov. 3:10; Joël 2:24; Aggée 2:16). Ces deux termes apparaissent en Joël 3:13: “Venez, descendez, car le pressoir à vin [gath] est devenu plein. Les cuves [yeqavimʼ, pluriel de yèqèv] débordent.” Il semble que le terme yèqèv était aussi utilisé pour désigner des pressoirs constitués d’un seul bassin dans lequel on foulait les grappes et où l’on recueillait également le jus (Job 24:11; És. 5:2; 16:10; Jér. 48:33). Le fond de ces pressoirs était plus incliné que dans les modèles courants à deux bassins, afin de pouvoir recueillir le jus dans la partie la plus basse. Si le pressoir était de forme longue et étroite, comme une auge, on utilisait le mot hébreu pourah pour le désigner (És. 63:3; Aggée 2:16). Les Écritures grecques chrétiennes

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