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  • Capernaüm
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    • attirent de nombreux poissons, ce qui en fait un lieu de pêche privilégié.

      C’est à Capernaüm, où habitaient les pêcheurs Pierre et André, que Jésus guérit la belle-mère de Pierre. À la suite de ce miracle, la maison fut assiégée par des gens qui amenaient des malades et des possédés pour qu’il les guérît. — Marc 1:29-34; Luc 4:38-41.

      Jésus fit remarquer que c’était à Capernaüm ainsi que dans les villes proches de Chorazin et de Bethsaïda qu’il avait accompli la plupart de ses œuvres de puissance (Mat. 11:20-24; Luc 10:13-15). Spirituellement parlant, Capernaüm avait été élevée jusqu’au ciel par la présence, la prédication et les miracles de Jésus. Mais elle allait être abaissée en quelque sorte jusque dans l’Hadès, ce dernier représentant toute la profondeur de son humiliation. L’ancienne Sodome aurait certainement produit dix justes si elle avait été hautement favorisée que Capernaüm. Aujourd’hui, la ville de Capernaüm, tout comme Sodome, n’existe plus; seules demeurent ses ruines, à Tell Hum, sur une étendue de 1 500 mètres le long de la côte.

      On a mis au jour, à Tell Hum, l’une des plus belles ruines de synagogue. Cet édifice, qui comportait à l’origine un étage, mesurait environ 20 mètres de long. Bien qu’il date du IIe ou du IIIe siècle de notre ère, on suppose qu’il a dû être construit sur l’emplacement d’une synagogue plus ancienne remontant à l’époque du ministère terrestre de Jésus.

  • Caphtor, Caphtorim
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    • CAPHTOR, CAPHTORIM

      {Article non traduit.}

  • Capitaine du temple
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    • CAPITAINE DU TEMPLE

      Fonctionnaire qui venait en dignité immédiatement après le grand prêtre (Actes 4:1) et qui était préposé à la surveillance des prêtres et des Lévites, eux-​mêmes placés sous les ordres de capitaines subalternes pour garder le temple de Jérusalem et faire respecter l’ordre (Luc 22:4, 52). Les Lévites étaient répartis en 24 classes qui servaient par roulement pendant une semaine, deux fois l’an. Chaque classe était vraisemblablement placée sous la responsabilité d’un capitaine, et d’autres capitaines étaient établis sur des groupes de moindre importance.

      Les capitaines étaient des hommes influents. Ce sont eux qui conspirèrent avec les prêtres en chef pour louer les services du traître Judas. Avec leurs gens armés et les prêtres, ils procédèrent à l’arrestation de Jésus (Luc 22:3, 4, 52). C’est le capitaine du temple qui appuya officiellement l’arrestation de Pierre et de Jean au temple (Actes 4:1, 3). Un peu plus tard, après que Pierre et quelques apôtres eurent été libérés de prison par un ange, le capitaine du temple et ses préposés partirent à leur recherche, afin de les amener devant le Sanhédrin avec les apparences de la légalité et sans violence. — Actes 5:24-26.

      C’est peut-être aux hommes placés sous l’autorité de tels capitaines que Pilate fit référence quand il dit ce qui suit aux prêtres en chef et aux Pharisiens à propos de la garde du tombeau de Jésus: “Vous avez une garde. Allez, assurez-​vous-​en, comme vous savez le faire.” Mais il se produisit un tremblement de terre, qui descella le tombeau, et l’ange de Jéhovah apparut à ces gardes qui se mirent à trembler, devenant comme morts. Quand ils rapportèrent aux prêtres en chef ce dont ils avaient été témoins, ceux-ci les payèrent pour dire que les disciples de Jésus étaient venus de nuit et avaient dérobé son corps pendant qu’ils dormaient. — Mat. 27:65 à 28:15.

      Certains ont pensé que le capitaine avait sous ses ordres des soldats romains du château Antonia pour faire régner la paix et garder l’enceinte du temple, mais cela semble improbable du fait que le temple était interdit aux Gentils (non prosélytes). Par conséquent, aucun Gentil incirconcis n’aurait pu circuler librement dans l’enceinte du temple.

      La Mishna donne une description intéressante des veilles au temple et parle du fonctionnaire du mont du temple. Il pouvait s’agir du capitaine de la classe qui officiait au temple à ce moment-​là. Selon la Mishna, les prêtres gardaient trois postes dans le temple tandis que les Lévites en gardaient 21.

      D’après la Mishna, “le fonctionnaire du mont du Temple avait l’habitude d’aller d’un veilleur à l’autre en s’éclairant de torches allumées; si l’un d’entre eux ne se levait pas pour lui dire: ‘Ô fonctionnaire du mont du Temple, que la paix soit avec toi!’ et qu’il était manifeste que ce veilleur dormait, le fonctionnaire le battait avec son bâton et il était en droit de brûler son vêtement. Et l’on disait: ‘Quel est ce bruit dans la cour du Temple?’ ‘C’est le bruit de quelque Lévite que l’on bat et dont on brûle le vêtement parce qu’il s’est endormi pendant sa veille.’ Rabbi Éliezer ben Jacob dit: ‘Un jour, ils ont trouvé le frère de ma mère endormi à son poste et ont brûlé son vêtement.’” — Middoth (“Règles”), chap. 1, par. 1, 2.

      Jésus a peut-être fait allusion à cette coutume dans son illustration rapportée en Révélation 16:15, où il dit: “Voici, je viens comme un voleur. Heureux celui qui reste éveillé et qui garde ses vêtements de dessus, pour qu’il ne marche pas nu et qu’on ne regarde pas sa honte.” Le gardien que l’on surprenait en train de dormir pendant son service au temple était dépouillé de ses vêtements ministériels et devait essuyer la honte de la nudité. C’est là un avertissement approprié pour les chrétiens dont on exige qu’ils soient éveillés, tels des gardiens, quand Jésus viendra pour l’inspection (Luc 21:36). L’avertissement du Christ, qui se trouve intercalé entre deux versets (Rév. 16:14, 16) relatifs à la guerre du grand jour de Dieu le Tout-Puissant à Har-Maguédon, s’applique à l’inspection finale de son peuple. Les chrétiens qui en font partie devront se tenir éveillés pour garder leur identité ministérielle et être sauvés.

  • Cappadoce
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    • CAPPADOCE

      (Pays de Tuka ou pays des chevaux magnifiques).

      Vaste région continentale de l’est de l’Asie Mineure, située sur un plateau d’une altitude moyenne de 900 mètres. Bien que ses frontières aient varié au cours de son histoire, en règle générale le pays était borné au nord par le Pont, à l’ouest par la Galatie et la Lycaonie, au sud par la Cilicie et la chaîne du Taurus, et à l’est par l’Arménie et le cours supérieur de l’Euphrate. Cette région, au climat généralement rigoureux et couverte de rares forêts, se consacrait à l’élevage intensif des moutons, mais on y trouvait aussi d’importants troupeaux de bétail et de beaux chevaux. Le blé était la principale culture céréalière.

      L’Empire perse annexa la Cappadoce sous Cyrus, et l’ancienne région fut divisée en deux satrapies, celles du Pont et de la Cappadoce. Durant la dynastie syrienne des Séleucides, il fut permis à des rois tributaires de gouverner. L’empereur romain Tibère mit fin à cet état de choses en 17 de notre ère, et la Cappadoce devint une province romaine administrée par un procurateur. Vespasien agrandit la province en 70; il la réunit à l’Arménie, constituant ainsi une vaste province frontalière à l’est. La Cappadoce présentait un grand intérêt stratégique en raison des routes qui sillonnaient cette région. L’une d’elles partait de Tarse, sur la Méditerranée, franchissait la chaîne du Taurus par un défilé, les “Portes de Cilicie”, traversait la Cappadoce et la province du Pont pour atteindre les ports de la mer Noire.

      Les indigènes de la Cappadoce étaient sans doute des Aryens d’origine japhétique, mais des colonies juives y étaient déjà établies au deuxième siècle avant notre ère. Des Juifs cappadociens se trouvaient à Jérusalem le jour de la Pentecôte de l’an 33 (Actes 2:9), ce qui explique probablement pourquoi le christianisme se répandit très vite en Cappadoce. Ces chrétiens figurent parmi ceux à qui Pierre adressa sa première lettre. — I Pierre 1:1.

  • Câpre
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    • CÂPRE

      (héb. abîyônâh).

      Certaines traduction d’Ecclésiaste 12:5 donnent à ce mot hébreu le sens de “désir”, si bien que le passage est rendu comme suit: “Et le désir fait défaut.” (RS; AV). Toutefois, beaucoup de traducteurs modernes (AC; Sg; MN; Jé; Li) estiment que, dans ce chapitre qui dépeint l’état de l’homme dans sa vieillesse, le rédacteur de l’Ecclésiaste emploie une métaphore comme dans tout le reste de sa description, et que abîyônâh désigne la câpre (en tant que stimulant du désir ou de l’appétit). Cette opinion est corroborée par la façon dont ce mot est traduit dans LXX, Vg, Syr et dans les versions arabes.

      Le câprier (Capparis spinosa) peut atteindre un mètre de haut, mais, le plus souvent, ses branches s’étalent au-dessus du sol, comme la vigne. Il est répandu dans toute la Palestine, où il pousse souvent dans des fissures de rocher ou bien s’étale sur les murs et sur les ruines comme le lierre. Ses branches épineuses portent des feuilles ovales d’un vert éclatant. La plante fleurit en mai. Sa fleur se compose de grands pétales blancs et d’étamines au filet violet et à l’anthère jaune.

      Ce ne sont pas tant les fruits que les petits boutons à fleurs que l’on récolte. Confits dans le vinaigre, ils servent de condiment pour stimuler l’appétit, qualité qu’on leur connaît depuis les temps anciens. Le rédacteur du livre de l’Ecclésiaste semble donc dire que lorsque le sens du goût d’un vieillard s’affaiblit et qu’il perd l’appétit, même l’effet stimulant de la câpre ne suffit pas à réveiller son désir de manger.

  • Captif
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    • CAPTIF

      {Article non traduit.}

  • Captivité
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    • CAPTIVITÉ

      L’histoire biblique parle d’un certain nombre de captivités (Nomb. 21:29; II Chron. 29:9; És. 46:2; Ézéch. 30:17, 18; Dan. 11:33; Nahum 3:10; Rév. 13:10). Mais en général, “la Captivité” désigne la grande déportation des Juifs loin de la Terre promise, déportation qui eut lieu aux septième et huitième siècles avant notre ère et qui fut organisée par les Puissances mondiales assyrienne et babylonienne; on appelle “l’Exil” et “la déportation”. — Esdras 6:21; Mat. 1:17.

      Il semble que l’Assyrie fut la première puissance à transplanter de leur pays les habitants des villes conquises et à repeupler le territoire de captifs venus d’autres parties de l’empire. La pratique de la déportation ne fut pas seulement exercée à l’encontre des Juifs, car lorsque Damas, la capitale syrienne, fut écrasée par les forces militaires de cette Deuxième Puissance mondiale, ses habitants subirent la déportation à Kir, comme l’avait prédit le prophète Amos (II Rois 16:8, 9; Amos 1:5). Cette méthode présentait

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