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  • Peut-on introduire le Christ dans la fête de Noël ?
    La Tour de Garde 1958 | 1er décembre
    • Christ, étant mort à l’âge de trente-trois ans et demi, aurait donc eu trente-quatre ans six mois plus tard, soit vers le 1er octobre. Jésus naquit donc, non le 25 décembre, mais vers le 1er octobre de l’an 2 avant notre ère.

      Il existe des preuves à l’appui de la date d’octobre. Par exemple, la Bible nous dit que Jean-Baptiste avait six mois de plus que Jésus (Luc 1:26-38). Par conséquent, si nous connaissons la date de naissance de Jean nous saurons la date approximative de celle de Jésus.

      La Bible révèle la date de naissance de Jean. Zacharie, son père, servait en tant que prêtre juste avant sa conception. Il appartenait à “ la classe d’Abia ”. (Luc 1:5, 8-25.) Or, I Chroniques 24:7-18 nous parle des vingt-quatre classes de prêtres. La classe d’Abia, montre-​t-​elle, était la huitième. Sur les vingt-quatre classes, le second tour de la huitième classe tomberait pendant le quatrième mois juif, ou la deuxième moitié de juin de notre calendrier. Il s’ensuit que Jean-Baptiste fut conçu au cours de la seconde moitié de juin, en l’an 3 avant notre ère, et qu’il naquit par conséquent dans la seconde partie de mars, en l’an 2 avant J.-C. Puisque Jean avait six mois de plus que Jésus, ce dernier naquit autour du 1er octobre, en l’an 2 avant notre ère.

      La Bible n’indique donc pas le 25 décembre comme étant le jour de naissance de Jésus. En réalité, non seulement cette date n’est pas appuyée par la Bible mais elle est déraisonnable, comme un commentaire dans l’ouvrage Works de Joseph Mede le fait ressortir : “ À la naissance du Christ toutes les femmes et les enfants devaient se rendre, pour être imposés, à la ville à laquelle ils appartenaient ; certains avaient un long voyage à faire ; mais le milieu de l’hiver ne convenait pas à une telle affaire, surtout pour des femmes enceintes et pour des enfants. Par conséquent, le Christ n’a pu naître au cœur de l’hiver. Aussi, au temps de la naissance de Jésus, les bergers étaient couchés dehors, veillant leurs troupeaux pendant la nuit ; mais cela ne devait vraisemblablement pas se faire au milieu de l’hiver. Et si quelqu’un pense que le vent d’hiver n’était pas si fort dans ces régions-​là, qu’il se rappelle les paroles de Jésus dans l’évangile : “ Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver. ” Si l’hiver était une si mauvaise saison pour fuir, il ne semble pas un temps convenable pour des bergers de se coucher dans les champs, et pour des femmes et des enfants de voyager. ”

      LA CÉLÉBRATION DES ANNIVERSAIRES DE NAISSANCE N’EST PAS AUTORISÉE

      Nous ne voyons nulle part dans la Bible que les premiers chrétiens célébraient la naissance de Jésus, pas même à la date exacte. Le Christ n’autorisa jamais une telle célébration.

      Le Christ nous a fait connaître la date à commémorer. Il dit de se souvenir de la date de sa mort, et non de sa naissance. “ Faites ceci en mémoire de moi. ” Voilà le commandement du Christ concernant la célébration du souper commémoratif par ses disciples. Il n’existe pas de commandement semblable touchant sa naissance. — Luc 22:19.

      La Bible dit des vrais chrétiens que “ nous ne donnons aucune raison de trébucher ” et “ nous nous rendons à tous égards recommandables, comme ministres de Dieu ”. Comment ? Entre autres choses, “ par la pureté ” et “ par la parole de vérité ”. Qu’est-​ce qui est pur au sujet de Noël ? Qu’est-​ce qui est vrai le concernant ? Noël recommande-​t-​il le christianisme aux non-chrétiens ? Sa date fausse et le fait qu’elle honore un faux messie, et son faux père Noël sont-​ils des choses auxquelles le Christ voudrait être associé ? Les paroles de l’apôtre du Christ donnent la réponse : “ Repousse les fausses histoires qui violent ce qui est saint. ” “ Recommande à certaines personnes de ne pas enseigner d’autres doctrines, et de ne pas s’attacher à des fables et à des généalogies sans fin, qui produisent des discussions plutôt qu’elles n’avancent l’œuvre de Dieu dans la foi. ” “ C’est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain. ” — II Cor. 6:3-7, NW ; I Tim. 4:7, NW ; 1:3, 4 ; Éph. 4:25.

      Peu importe que les intentions soient bonnes, les hommes ne peuvent rendre chrétiens un jour de fête païen et des coutumes païennes en les blanchissant du nom du Christ, car le principe scriptural est clair : “ Quel rapport y a-​t-​il entre la justice et l’iniquité ? ou qu’y a-​t-​il de commun entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord y a-​t-​il entre Christ et Bélial ? ” — II Cor. 6:14, 15.

      Que ressort-​il de tout cela ? Le Christ n’est pas dans Noël. Même si la célébration était reportée de la date païenne du 25 décembre à celle d’octobre ; même si la légende du père Noël était complètement abandonnée ; même si la célébration ne voyait plus de gloutons et d’ivrognes ; même si l’immoralité grossière et le crime ne ravageaient pas Noël ; même si on renonçait à la coutume païenne d’échanger des présents ; même si les églises, à la place des magasins, s’installaient sous les feux de la rampe ; oui, même si tout cela se produisait — et il n’y a aucune probabilité même lointaine que cela arrive — le Christ ne pourrait être “ remis ” dans Noël, puisque jamais, à aucun moment, il n’y fut ! Combien il est donc déraisonnable, combien absurde, pour tout prétendu chrétien, ecclésiastique ou autre, de penser que des humains peuvent introduire le Christ dans Noël, dont le principe dans son intégralité est contraire aux Écritures !

      C’est pourquoi les vrais chrétiens fuient Noël, obéissant ainsi au commandement biblique : “ Ne touchez pas à ce qui est impur. ” — II Cor. 6:17.

  • Pour dire la vérité, le courage manque à l’église
    La Tour de Garde 1958 | 1er décembre
    • Pour dire la vérité, le courage manque à l’église

      Si une église qui se prétend chrétienne était capable de faire tant soit peu, elle serait déjà à même de dire à ses fidèles ce qui est bien et ce qui est mal. Un ministre de l’église baptiste d’Écosse, John Mc Kendrick, admet que son groupement est incapable de remplir cette condition à propos de la guerre, et ceci par manque de courage. Selon lui, la guerre est absolument opposée aux dispositions rédemptrices du Christ, et son église ne pourra vraiment trouver son épanouissement que le jour où elle aura le courage d’affirmer son attitude à l’égard de la guerre. Il dit encore : “ J’ai exercé un ministère au cours duquel je suis allé prêcher aux hommes en maintes occasions ; constamment, je me répète que l’église ne trouve rien à dire sur ce problème. Je suis navré de constater que le rapport du comité de notre service social ait été publié sans que paraisse un seul mot sur la situation présente. ” John Mc Kendrick se sentirait peut-être mieux à l’aise dans la société du monde nouveau des témoins de Jéhovah, car alors, le courage ne lui manquerait certainement pas pour proclamer ce que la Bible dit à propos de la guerre ! — Herald de Glasgow du 25 octobre 1957.

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