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  • ‘À faire des livres il n’y a pas de fin’
    Réveillez-vous ! 1978 | 22 mai
    • paroles dictées par la sagesse divine. Elles ont le pouvoir d’aiguillonner ou d’inciter ceux qui les lisent ou les entendent à se conformer à la sagesse qu’elles renferment, et cela pour leur plus grand bien. Quand on s’occupe de faire “des recueils de sentences”, c’est-à-dire de donner de sages proverbes ou des avis vraiment utiles, on est également comparé à un clou. En quel sens? Tout comme un clou sert à soutenir ou à fixer solidement un objet, “ceux qui font des recueils de sentences” jouent un rôle de soutien et sont un appui solide pour leur prochain, grâce à leurs paroles de sagesse et de bon sens.

      Ne vous laissez donc pas distraire par la multitude de livres que l’on imprime continuellement. Prenez plutôt le temps d’examiner le plus précieux d’entre tous, la Bible, et de lire des publications qui sont en accord avec elle. Ainsi, vous ne connaîtrez pas le sentiment de cet homme qui, peu avant sa mort, confiait ce qui suit à un ami: “La Bible a plus de valeur que tous les autres livres qui ont jamais été écrits. Mon plus grand regret est de n’avoir pas trouvé jusqu’à ces derniers temps un moment pour la lire avec l’attention et l’intérêt qu’elle mérite.”

  • La composition progresse à pas de géant
    Réveillez-vous ! 1978 | 22 mai
    • La composition progresse à pas de géant

      De notre correspondant en Afrique du Sud

      LE TEXTE imprimé, parce qu’il couche définitivement par écrit ce qui a été dit oralement, occupe une place importante dans notre vie. On comprend donc sans peine le rôle qu’il joue aujourd’hui. Mais comment assemble-​t-​on les lettres avant de les imprimer? Peut-être avez-​vous déjà bricolé avec une petite presse équipée de lettres en caoutchouc. Outre que cette machine ne manquait pas de “caractères”, elle vous a sûrement donné une petite idée de ce qu’est l’imprimerie et de la façon dont on emploie les caractères pour marquer le papier. Ce mode d’expression graphique porte le nom de composition. Plus intéressé par le produit fini, la page imprimée, que par la technique, le public est peu au courant des changements profonds qui sont survenus dans le domaine de la composition au cours des dernières années.

      Examinez quelques instants la page que vous avez sous les yeux. Vous remarquerez que le texte est divisé en deux colonnes, que chaque ligne a rigoureusement la même longueur et que le texte est disposé en alignement strict. Vous noterez aussi que la page ne comporte pas de taches claires ou sombres, mais présente un ton gris uniforme. Ces résultats sont l’aboutissement de plusieurs années d’efforts et de perfectionnements apportés par les typographes pour faciliter la lecture des textes sans que la vue ni la concentration en pâtissent.

      Quel contraste entre les méthodes d’imprimerie modernes et les efforts que réclamait autrefois la composition! Avant l’invention de l’imprimerie à caractères mobiles, au quinzième siècle, les diverses techniques employées manquaient de finesse et de souplesse. Tout devait se faire à la main (on ne savait pas reproduire les documents autrement), ce qui ne rend que plus admirables la minutie et la fidélité scrupuleuses des copistes qui nous ont légué des écrits tels que les codex Alexandrinus, Vaticanus et Sinaiticus, ainsi que d’autres manuscrits de la Bible.

      Le besoin de duplication aidant, on conçut l’idée du caractère d’imprimerie. Celui-ci se révéla d’un emploi plus souple que les formes en bois péniblement gravées à la main et qui ne contenaient qu’une page, voire une portion de page de texte. Au onzième siècle, un alchimiste chinois inventa les premiers caractères mobiles d’imprimerie, qui étaient faits de terre glaise mélangée à de la colle et durcis après dessiccation. Malheureusement, son idée ne connut pas une large diffusion et le mérite de l’invention de l’imprimerie à caractères mobiles revint à Jean Gutenberg, qui vivait en Allemagne vers 1450. Grâce à son innovation, l’imprimeur n’avait plus qu’à prendre des lettres disposées dans une casse pour composer sans peine des pages entières de texte; cette méthode avait un avantage supplémentaire: les lettres étaient réutilisables. D’ailleurs, en dépit de sa lenteur, l’impression avec des caractères fondus est restée d’un emploi courant.

      Vers la fin du dix-neuvième siècle, on avait besoin de méthodes de composition plus rapides et plus rentables. Ottmar Mergenthaler contribua à résoudre ce problème en inventant une machine qui permettait de composer automatiquement à partir d’un clavier toute une ligne de caractères d’imprimerie, qui étaient fondus dans de petits moules de cuivre. C’était la linotype, saluée par les imprimeurs et les éditeurs comme la solution qu’ils attendaient depuis si longtemps. D’amélioration en amélioration, la linotype s’est maintenue partout et la revue que vous lisez en ce moment a été composée avec cette machine.

      Si la linotype répondait à un besoin urgent, d’autres composeuses firent également leur apparition, particulièrement la monotype qui, comme son nom l’indique, fond un par un les caractères en plomb. Les imprimeurs aiment beaucoup cette machine, car elle fond des lettres de très bonne qualité et elle convient parfaitement aux travaux délicats.

      Entre autres avantages, ces fondeuses sont d’une conception assez simple pour convenir à une petite imprimerie. De plus, le métal n’est pas perdu puisqu’il est refondu après chaque usage.

      Malgré les prouesses des machines traditionnelles, ces dernières années ont vu apparaître tant d’innovations que les éditeurs et les imprimeurs

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