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  • Pourquoi tenir compte de Jéhovah dans toutes vos entreprises?
    La Tour de Garde 1980 | 15 juin
    • Psaumes

      Pourquoi tenir compte de Jéhovah dans toutes vos entreprises?

      TOUT ce qui est contraire à la volonté de Dieu ne peut réussir. D’un point de vue humain, il peut sembler qu’une certaine entreprise sera couronnée de succès. Mais, en fin de compte, peut-être échouera-​t-​elle lamentablement. Nous devrions donc nous assurer que nous tenons compte du Créateur dans toutes nos activités.

      Le Psaume 127 nous rappelle avec force combien il est important d’agir ainsi. Nous y lisons: “Si Jéhovah lui-​même ne bâtit la maison, c’est inutilement que ses bâtisseurs y ont travaillé dur. Si Jéhovah lui-​même ne garde la ville, c’est inutilement que la garde s’est tenue éveillée. C’est inutilement que vous vous levez de bonne heure, que vous vous asseyez tard, que vous mangez de la nourriture dans les douleurs. C’est ainsi qu’il donne le sommeil à son bien-aimé.” — Ps. 127:1, 2.

      Un homme peut très bien construire une maison, mais cela ne veut pas dire qu’il en jouira forcément. Du fait d’une mort subite, d’une catastrophe ou d’un accident, son travail pourrait s’avérer inutile. Une ville pourrait être bien gardée et fortifiée. Cependant, sa destruction pourrait survenir lors d’une guerre, d’un tremblement de terre ou d’un incendie. Des hommes pourraient se lever tôt le matin et travailler dur jusqu’à une heure tardive avant de s’asseoir enfin pour se reposer et manger. Pourtant, il se peut que leur travail ne leur procure aucune satisfaction. Trop épuisés par leur dur labeur, peut-être ne trouveront-​ils même aucun plaisir à prendre leur nourriture. D’un autre côté, le serviteur de Dieu obtient, sans être obligé de se démener fiévreusement, ce que ces hommes ne parviennent à acquérir qu’à grand-peine. Sommeil et repos lui procurent de la joie, ce qui est véritablement un don de Dieu.

      En conséquence, le psalmiste considérait comme des bénédictions divines la sécurité d’un foyer ou d’une ville ainsi que la joie que nous procurent les dispositions que Dieu a prises pour entretenir la vie. À ses yeux, un homme que ses enfants rendaient heureux était également béni, car il déclara: “Voici, les fils sont un héritage de Jéhovah; le fruit du ventre est une récompense. Comme des flèches dans la main d’un homme puissant, ainsi sont les fils de la jeunesse. Heureux l’homme valide qui en a rempli son carquois! Ils n’auront pas honte, car ils parleront avec des ennemis dans la porte.” — Ps. 127:3-5.

      Pour un homme qui jouissait encore de la force et de la vigueur de la jeunesse, engendrer des enfants était à juste titre considéré comme une bénédiction. Quand ses enfants avaient grandi, ils étaient comme des flèches dans sa main. Ils étaient capables de défendre leur père contre ceux qui le poursuivaient en justice. Puisque les aînés de la ville rendaient leurs jugements en public près des portes, c’est à cet endroit que les fils prendraient la parole pour réduire au silence ceux qui intenteraient un procès à leur père en présentant des accusations non fondées et de faux témoignages.

      Puisque la bénédiction de Jéhovah est indispensable pour réussir dans toute entreprise, nous devrions nous efforcer d’agir en accord avec sa volonté. Il nous faut diriger nos affaires en harmonie avec l’esprit de ces paroles inspirées: “Si Jéhovah le veut, nous vivrons et ferons ceci ou cela” — Jacq. 4:15.

  • Questions des lecteurs
    La Tour de Garde 1980 | 15 juin
    • Questions des lecteurs

      ● La congrégation doit-​elle prendre des mesures disciplinaires à l’encontre d’un chrétien baptisé qui accepte la transplantation d’un organe humain, tel qu’une cornée ou un rein?

      En ce qui concerne la transplantation de tissus ou d’os d’un corps humain dans un autre, il appartient à chaque Témoin de Jéhovah de prendre une décision en accord avec sa conscience. Certains chrétiens peuvent avoir le sentiment qu’accepter la greffe d’un tissu ou d’une partie quelconque du corps d’un autre humain est du cannibalisme. Soutenant que le transplant est destiné à devenir partie intégrante de l’organisme du receveur et à le maintenir en vie et en état de fonctionner, ils ne voient peut-être aucune différence fondamentale entre cette opération et l’ingestion de chair. Une telle façon de voir peut reposer sur le fait que lorsque Dieu permit à l’homme de manger la chair des animaux préalablement vidés de leur sang, il ne lui dit pas qu’il pouvait manger la chair de ses semblables. Les chrétiens dont nous parlons peuvent aussi se référer à la façon dont on considérait l’anthropophagie aux temps bibliques (voir, par exemple, les récits de II Rois 6:24-30, de Deutéronome 28:53-57 et de Lamentations 2:20 et 4:10). Quand, selon Jean 6:48-66, Jésus parla de manger sa chair et de boire son sang au sens figuré, certains de ses disciples qui entendirent ces paroles, mais qui n’en comprirent pas la signification spirituelle, s’en scandalisèrent et cessèrent de le suivre. Ceci montre bien comment certains hommes réagissaient à l’idée de consommer de la chair humaine.

      D’autres chrétiens sincères peuvent cependant répondre que la Bible n’interdit pas expressément les transplantations d’organes, et que, dans certains cas, le transplant humain n’est pas destiné à toujours rester tel quel dans l’organisme du receveur. On dit en effet que les cellules du corps se renouvellent tous les sept ans environ, ce qui serait également vrai de n’importe quel tissu transplanté. Certains chrétiens ajouteront que les transplantations d’organes diffèrent du cannibalisme en ce qu’on ne tue pas le donneur pour se nourrir de sa chair. Des personnes qui étaient sur le point de mourir ont fait don volontairement de quelques-uns de leurs organes pour que ceux-ci servent à des transplantations. Si, maintenant, la greffe nécessite un apport de sang étranger, elle va alors incontestablement à l’encontre des commandements divins. — Actes 15:19, 20.

      Il est évident que les avis et les consciences sont partagés sur cette question des transplantations. Nul n’ignore que l’emploi de composants du corps humain va de petits éléments tels que les hormones et les cornées aux organes vitaux que sont les reins et le cœur. Bien que la Bible interdise formellement la consommation du sang, elle ne renferme aucun commandement précis condamnant la greffe d’autres tissus humains. Chaque chrétien qui se trouve dans l’obligation de prendre une décision devrait donc peser avec soin et dans la prière les facteurs impliqués et décider, en accord avec sa conscience, de ce qu’il peut ou ne peut pas faire devant Dieu. Il s’agit là d’une affaire personnelle (Gal. 6:5), et le comité judiciaire de la congrégation ne prendra aucune mesure disciplinaire si quelqu’un accepte une transplantation d’organe.

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