BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Michel
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • terre et à la mer.’” Plus loin, une description montre Jésus Christ à la tête des armées célestes menant le combat contre les nations de la terre (Rév. 19:11-16). Celles-ci vont donc connaître une période de détresse qui, logiquement, fera partie du “temps de détresse” qui doit suivre le moment où Michel se lèvera (Dan. 12:1). Puisque le Fils de Dieu doit lutter contre les nations, il est raisonnable de penser que c’est lui qui, avec ses anges, combat auparavant le dragon suprahumain, Satan le Diable, et ses démons.

      Avant sa venue sur la terre, Jésus était appelé “la Parole”. (Jean 1:1.) En outre, il portait le nom personnel de Michel. En gardant le nom de Jésus après sa résurrection (Actes 9:5), la “Parole” indique qu’elle ne fait qu’un avec le Fils de Dieu sur la terre. Par contre, quand elle reprend son nom céleste, Michel, et son titre (ou nom), “la Parole de Dieu” (Rév. 19:13), c’est pour établir le lien avec son existence préhumaine. Le nom même de Michel, qui pose la question: “Qui est comme Dieu?”, montre que Jéhovah Dieu est sans égal et que son archange Michel est son grand Défenseur.

  • Micloth
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MICLOTH

      {Article non traduit.}

  • Micmasch
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MICMASCH

      (probablement “caché”).

      Localité identifiée au village moderne de Mukhmas, situé sur une colline à quelque 600 mètres au-dessus du niveau de la mer et à 11 kilomètres au nord-est de Jérusalem. Elle se trouve au nord du ouadi Suweinit qui serait “le ravin de Micmasch”. (I Sam. 13:23.) Rejoint par d’autres ouadis venus du sud-ouest et du nord-ouest, le ouadi Suweinit s’étend de la région montagneuse d’Éphraïm à la vallée du Jourdain.

      Sans doute pour préparer Israël à se libérer du joug philistin, le roi Saül choisit 3 000 hommes; 2 000 d’entre eux campaient avec lui à Micmasch et dans la région montagneuse de Béthel, et les autres prirent position à Guibéah, avec son fils Jonathan. Par la suite, à Guéba (“Guibéah”, Vg) qui était proche, Jonathan abattit la “garnison” des Philistins. En vue de représailles, les Philistins rassemblèrent une grande armée, y compris des chars et des cavaliers, et il semble qu’ils obligèrent Saül à se retirer de Micmasch à Guilgal. Serrés de près par les Philistins, de nombreux Israélites se cachèrent dans des cavernes et des cavités, tandis que d’autres cherchèrent refuge à l’est du Jourdain. Par la suite, Saül se servit de cette dispersion des soldats israélites face à la menace des Philistins comme d’un prétexte pour expliquer pourquoi il avait désobéi en n’attendant pas que Samuel offre le sacrifice. Repris par Samuel pour son acte de présomption, Saül, accompagné de 600 hommes seulement, alla ensuite rejoindre Jonathan à Guéba (I Sam. 13:1-16). Si I Samuel 14:2 est bien conforme au texte original, Saül transporta de toute évidence son camp à Migron, aux abords de Guibéah.

      JONATHAN PROVOQUE LA DÉROUTE

      Dans le même temps, trois bandes de pillards philistins avaient l’habitude de sortir de leur camp à Micmasch, et un avant-poste des Philistins sortait vers le “ravin de Micmasch”. (I Sam. 13:16-23.) Pour conjurer cette menace, Jonathan décida de traverser le ravin qui (si c’est le ouadi Suweinit) forme une gorge profonde dont les parois sont presque verticales à l’est de Jéba (Guéba?). Deux grandes collines en forme de dôme, mais aux pentes rocheuses et escarpées, se dressent là où le ouadi Suweinit fait un coude. Il se peut que ce soient là les ‘dents de rocher’ Bozez et Sénéh que quelque trente siècles d’érosion ont arrondies (I Sam. 14:1-7). Pour un étranger, il aurait été à peu près impossible de se frayer un chemin dans le ouadi où s’enchevêtrent tells et rochers aux arêtes vives. Mais pour Jonathan, qui avait été élevé dans le territoire de Benjamin, le ouadi n’avait pas de secret. Pendant que les hommes de son père campaient à Micmasch et les siens à Guéba, il avait eu sans doute de nombreuses occasions de parfaire sa connaissance du terrain.

      Jonathan et son porteur d’armes avancèrent vers Micmasch et se découvrirent aux Philistins de l’avant-poste. En les voyant, ceux-ci leur dirent: “Montez vers nous, et nous vous ferons savoir quelque chose!” Alors, s’aidant des mains et des pieds, Jonathan, suivi de son porteur d’armes, escalada le passage escarpé jusqu’à l’avant-poste philistin. Ensemble, ils abattirent une vingtaine de Philistins sur une distance d’environ la moitié de la surface de terrain qu’une paire de taureaux laboure en une journée. — I Sam. 14:8, 11-14; voir NW, éd. de 1955, note en bas de page relative au verset 14.

      Un tremblement de terre provenant de Dieu et dont les guetteurs de Saül furent témoins mit en tumulte le camp des Philistins. Le temps que Saül et ses hommes passent à l’action, bon nombre de Philistins s’étaient entre-tués, tant le tumulte était grand, et le reste avait pris la fuite. L’armée de Saül, qui s’était probablement emparée des armes des Philistins, se lança à la poursuite des ennemis en déroute. Se rallièrent à elle les Israélites qui s’étaient cachés et ceux qui avaient pris le parti des Philistins, et ensemble ils “abattirent les Philistins de Micmasch à Aijalon”. — I Sam. 14:15-23, 31.

      Selon I Samuel 13:5, l’armée philistine à Micmasch comprenait 30 000 chars de guerre. Ce chiffre est de beaucoup supérieur à celui qui est avancé à propos d’autres campagnes militaires (voir Juges 4:13; II Chroniques 12:2, 3; 14:9), et il est difficile de concevoir comment un aussi grand nombre de chars aurait pu être utilisé sur un terrain montagneux. C’est pourquoi 30 000 est généralement considéré comme une erreur de scribe. La Syriaque et la Septante (éd. Lagardian) lisent 3 000 et bien d’autres traductions ont suivi leur exemple (Dh; Jé; Os). Des chiffres inférieurs ont même été suggérés.

      ÉVÉNEMENTS ULTÉRIEURS

      La prophétie d’Ésaïe mentionne Micmasch comme le lieu où le conquérant assyrien ‘déposait ses objets’. (És. 10:24, 28.) Après le retour des Israélites de l’exil à Babylone en 537 avant notre ère, Micmas(ch) fut, semble-​t-​il, de nouveau occupée par les Benjaminites. — Esdras 2:1, 2, 27; Néh. 7:31; 11:31.

  • Micméthath
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MICMÉTHATH

      {Article non traduit.}

  • Micnéïah
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MICNÉÏAH

      {Article non traduit.}

  • Micri
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MICRI

      {Article non traduit.}

  • Mictam
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MICTAM

      (peut-être “psaume d’expiation”).

      Terme hébreu dont la signification reste obscure et dont l’étymologie est incertaine. Il apparaît dans les suscriptions de six psaumes attribués à David (Ps. 16, 56-60). Plusieurs tentatives ont été faites pour dégager le sens du mot hébreu mikhtâm. Les lexicographes Koehler et Baumgartner font remarquer que mikhtâm peut être apparenté à l’akkadien katamou, qui signifie “couvrir”, et ils donnent comme définition possible pour ce mot “psaume d’expiation”. (Lexicon in Veteris Testamenti Libros, p. 523.) Par conséquent, “mictam” peut désigner un cantique ou un psaume destiné à couvrir une faute, à faire propitiation pour un péché, une culpabilité ou une impureté. Il semble que le mot mikhtâm ait un rapport avec la propitiation, étant donné que les psaumes de David auxquels est associée cette expression contiennent un certain nombre de lamentations, bien qu’ils décrivent aussi la reconnaissance du psalmiste pour l’aide de Jéhovah et la confiance qu’il plaçait en ce dernier.

  • Middin
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MIDDIN

      {Article non traduit.}

  • Miel, rayon de miel
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MIEL, RAYON DE MIEL

      Le terme “miel”, tel qu’il est employé dans les Écritures hébraïques, vient des mots yaʽar, nopheth et devash, ce dernier pouvant désigner non seulement le miel d’abeilles, mais aussi le sirop de fruits. Dans les Écritures grecques on trouve le mot méli associé à l’adjectif agriôs, qui veut dire “sauvage”, pour désigner le miel d’abeilles sauvages.

      LE RAYON DE MIEL

      Le rayon de miel est une merveille de construction révélant la sagesse et l’intelligence incomparables du Créateur qui a doté les abeilles d’un tel instinct. La forme hexagonale des cellules est idéale, car le rayon peut ainsi contenir le maximum de miel avec un minimum de cire dont sont faites les parois de ces alvéoles. Quand les abeilles se mettent à édifier un rayon, certaines de leurs glandes sécrètent de la cire qui suinte par leurs pores et forme de petits flocons blancs dont elles s’emparent avec leurs pattes pour les amener à leurs mâchoires. Elles mastiquent ensuite cette cire et la fixent là où il faut sur le rayon en construction. Les parois du rayon n’ont que 3 dixièmes de millimètre d’épaisseur, mais elles peuvent supporter trente fois leur poids.

      LE MIEL

      Lorsque les Écritures parlent du miel d’abeilles, il s’agit le plus souvent de miel sauvage semblable à celui dont s’est nourri Jean le Baptiseur dans le désert (Mat. 3:1, 4). Les abeilles fondent leur colonie en des endroits divers, y compris dans les arbres et les rochers. En une certaine occasion, elles en ont même formé une dans la carcasse d’un animal qui, de toute évidence, n’était plus en décomposition mais avait été desséchée par le soleil. Cette carcasse était celle d’un lion dans laquelle Samson trouva du miel qu’il mangea. — Juges 14:8, 9.

      Une bonne nourriture

      Les propriétés énergétiques du miel sont illustrées par le cas de Jonathan, fils du roi Saül; épuisé par la bataille, il prit un peu de miel et aussitôt ses yeux “commencèrent à briller”. (I Sam. 14:25-30.) Cette nourriture énergétique figure parmi les vivres que Jéhovah fournit à son peuple dans le désert. Là où les arbres étaient peu nombreux, les Israélites mangèrent le “miel du rocher”, autrement dit le miel des rayons que les abeilles avaient construits dans des endroits pierreux. — Deut. 32:13.

      Propriétés curatives

      Le miel a aussi des vertus curatives. Il est comparé aux paroles agréables et à la sagesse, non seulement pour sa douceur et son goût raffiné, mais surtout parce qu’il est fortifiant. Les paroles agréables fortifient spirituellement, de même que le miel est tonique pour le corps. Le rédacteur des Proverbes dit: “Des paroles agréables sont un rayon de miel, doux pour l’âme et guérison pour les os.” — Prov. 16:24; 24:13, 14.

      De belles paroles

      La douceur du miel, qui flatte le palais, est une image souvent utilisée dans les Écritures. Des exemples nous sont donnés en Ézéchiel 3:2, 3 et en Révélation 10:9. Le miel vierge est fréquemment cité, car sa saveur, sa douceur et sa richesse sont considérées comme étant plus grandes que celles du miel qui a été exposé à l’air pendant un certain temps. Soulignant la douceur et le charme des propos de la Sulamite, son berger bien-aimé les compare à du “miel vierge” qui dégoutterait de ses lèvres (Cant. 4:11). Les décisions judiciaires de Jéhovah sont si excellentes et si bénéfiques qu’elles sont même “plus douces que le miel et que le miel qui coule des rayons”. (Ps. 19:9, 10.) Ses paroles ‘sont plus douces au palais que le miel à la bouche’. — Ps. 119:103.

      Un avertissement pour ceux qui cherchent leur propre gloire

      Le miel est bon, mais si on en abuse il donne la nausée (Prov. 25:16); cet abus du miel est comparé à la recherche de sa propre gloire. — Prov. 25:27.

      Une mise en garde contre l’immoralité sexuelle

      La tentation suscitée par la “femme étrangère”, qui use de ses charmes et de paroles douces comparables au miel pour amener l’homme à commettre l’immoralité sexuelle, est décrite en Proverbes chapitres cinq et sept. Cette description constitue un excellent avertissement pour les chrétiens aujourd’hui. — Prov. 5:3-5; 7:21, 22.

      LE MIEL DE FRUITS

      Le mot hébreu devash peut aussi désigner le jus ou sirop de fruits (figues, dattes, etc.). C’est souvent le contexte qui indique au lecteur s’il s’agit ou non de miel d’abeilles. De toute évidence, c’est le sirop de fruits que Lévitique 2:11 interdisait d’offrir sur l’autel, parce qu’il entre facilement en fermentation. Qu’il ne soit pas question du miel d’abeilles, c’est ce que montre le verset suivant 2:12, qui classe le “miel” interdit parmi les “prémices”. Le miel utilisé par les Israélites était essentiellement du miel sauvage et non une substance cultivée et récoltée comme les raisins, les figues, les dattes et autres fruits. Pour la même raison, le miel offert comme prémices par le peuple après qu’Ézéchias l’eut exhorté à soutenir la prêtrise était certainement du jus ou sirop de fruits. — II Chron. 31:5.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager